YOSHIDA Shuichi (Japon)

Présentation de l'éditeur

Ce petit roman est une bouffée d'air pur dans la vie affairée et raisonnable des citoyens du XXIe siècle que nous sommes. Un air venu du parc de Hibiya à Tôkyô, où l'on pénètre sur les pas d'un jeune employé légèrement excentrique, et soudain " l'exhalaison de terre et d'herbe vous chatouille les narines ". Là, il croise une triathlonienne consommatrice de bains moussants, rencontre un vieil homme qui fait voler un capricieux aérostat rouge, rêve, médite, s'exerce à chambouler la perspective pour voir le monde autrement. Il arrive que s'y nouent des idylles, à peine plus tangibles que le bruissement des pigeons qui s'envolent. Ce récit a le charme des parenthèses qui s'ouvrent parfois dans la vie pour laisser entrer l'enchantement, comme un léger vertige teinté de déraison. La ville n'est pas loin, les buildings cernent l'horizon, mais dans cet espace clos et protégé, se jouent les menues aventures qui donnent son goût unique à l'existence, la petite musique d'un grand parc au cœur d'une immense capitale. Park Lift a été couronné en 2002 du prix Akutagawa, le Goncourt japonais.

Voici la présentation de l'éditeur mais je ne suis pas du tout d'accord avec ce qu'il écrit.Personnellement ,je n'ai pas du tout aimé ce livre ,je l'ai lu jusqu'au bout pour savoir la fin et parce que c'est un petit livre . Il n'y a aucune intrigue ,du début jusqu'au bout ,deux personnages anonymes,il ne se passe rien ou presque rien entre eux ,un sujet flou et banal.Le park est le sujet principal ou il ne se passe rien ,sauf le regard des autres sur le "Je " 2/5

Je trouvais la présentation de l'éditeur très tentante mais ta critique a calmé mon enthousiasme!

Moi aussi, il me tentait, et je viens de faire une autre critique mitigée sur le net ! Je le raye de mes tablettes !

Park life, Ed. Picquier Poche 125 pages

Quatrième de couverture

Ce petit roman est une bouffée d'air pur dans la vie affairée et raisonnable des citoyens du XXIème siècle que nous sommes. Un air venu du parc de Hibiya à Tokyo, où l'on pénètre sur les pas d'un jeune employé légèrement excentrique, et soudain " l'exhalaison de terre et d'herbe vous chatouille les narines". Là, il croise une triathlonnienne consommatrice de bains moussants, rencontre un iveil homme qui fait voler un capricieux aérostat rouge, rêve, médite, s'exerce à chambouler la perspective pour voir le monde autrement. Il arrive que s'y nouent des idylles, à peine plus tangibles que le bruissemenet des pigeons qui s'envolent. Ce récit a le charme des parenthèses qui s'ouvrent parfois dan sla vie pour laisser entrer l'enchantement, comme un léger vertige teinté de déraison. La ville n'est pas loin, les buildings cernent l'horizon, mais dans cet espace clos et protégé, se jouent les menues aventures qui donnent goût unique à l'existence, la petite musique d'un grand parc au coeur d'une immense capitale.

Avis

Il m'avais l'air tentant sur les étagères de mon libraire, et bien j'ai été déçue. Il n'y a ni début ni fin, le supposé fil conducteur , le parc Hibiya, est à peine décrit, il ne sert que de cadre à ce qui se passe. Je ne suis pas arrivé à me représenter le parc dans la tête : où était le mare, de quel côté était supposé être le banc habituel du narrateur, et celui de la " dame au Starba". On s'embrouille facilement dans les personnages du couple possédant le singe Lagerfeld...Je pensais y trouver quelquechose sur la vie mouvementée des tokyoites, des employés de bureau. Au lieu de ça on assiste à une pseudo idylle, laconique, sans aucun rebondissement, j'ai trouvé ça ennuyant, à tel point que au bout d'un moment, les personnages principaux me semblaient être devenus de simples anecdotes.

1/5

Il me tentait aussi mais tu viens de passer mon enthousiasme à la douche écossaise ! Merci.