Romain GARY - Adieu Gary Cooper
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Romain GARY - Adieu Gary Cooper
Romain GARY, Adieu Gary Cooper, 1969, 251 pages
Pour échapper à la guerre du Vietnam, Lenny un marginal amateur de ski s'installe en Suisse. Il y fréquente une colonie de skieurs américains du même acabit et fait la rencontre de Jess, la fille de l'atypique consul des Etats-Unis à Genève...
Je ne sais pas si j'ai commencé avec le livre de Romain Gary, le plus facile. Il est très farfelu, presque surréaliste ou postmoderne (un peu comme Pynchon). La lecture ne m'a pas été facile car il est intégralement écrit en langage parlé... L'auteur ne manque pas d'humour, c'est souvent très drôle mais je n'ai pas adhérer au style. Lenny fait un étrange usage des mots "démographie" et "aliénation". Cela revient sans arrêt. Il y a même tout un chapitre où les personnages sont transportés dans la Genève de 1928... Il s'agit bien en somme un livre des années 1960, avec tout ce que cela comporte d'expérience littéraire. Plusieurs thèmes sont abordés comme la situation des Noirs aux Etats-Unis... D'après ce que j'ai pu lire sur Internet, il faut comprendre le titre et le livre comme la fin d'une époque pour les Etats-Unis... Gary utilise aussi sont expérience de diplomate, peut-être règle-t-il certains comptes avec ce milieu.
J'imagine que ce roman doit être génial à étudier en classe en décryptant patiemment tous les messages cachés. J'espère toutefois que mes prochaines lectures de Gary seront plus ordinaires.
Ma note : 3/5
Pour échapper à la guerre du Vietnam, Lenny un marginal amateur de ski s'installe en Suisse. Il y fréquente une colonie de skieurs américains du même acabit et fait la rencontre de Jess, la fille de l'atypique consul des Etats-Unis à Genève...
Je ne sais pas si j'ai commencé avec le livre de Romain Gary, le plus facile. Il est très farfelu, presque surréaliste ou postmoderne (un peu comme Pynchon). La lecture ne m'a pas été facile car il est intégralement écrit en langage parlé... L'auteur ne manque pas d'humour, c'est souvent très drôle mais je n'ai pas adhérer au style. Lenny fait un étrange usage des mots "démographie" et "aliénation". Cela revient sans arrêt. Il y a même tout un chapitre où les personnages sont transportés dans la Genève de 1928... Il s'agit bien en somme un livre des années 1960, avec tout ce que cela comporte d'expérience littéraire. Plusieurs thèmes sont abordés comme la situation des Noirs aux Etats-Unis... D'après ce que j'ai pu lire sur Internet, il faut comprendre le titre et le livre comme la fin d'une époque pour les Etats-Unis... Gary utilise aussi sont expérience de diplomate, peut-être règle-t-il certains comptes avec ce milieu.
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