Tiziano SCARPA (Italie )
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Tiziano SCARPA (Italie )
Stabat Mater
Tiziano Scarpa
Livre de poche juillet 2012
160 pages
4ème de couverture
Cecilia, la narratrice, est orpheline. Elle a été abandonnée à sa naissance et recueillie par l'hospice de la Pietà, à Venise. Chaque jour, masquée et dérobée au regard du public, Cecilia joue du violon. Dans cet univers confiné et reclus, la musique est sa seule source de joie et de réconfort, tandis que chaque nuit elle parle et écrit à cette mère inconnue dont l’absence la fait cruellement souffrir. L'année de ses seize ans, un nouveau professeur de musique vient remplacer le vieil abbé qui officiait auparavant : un jeune prêtre aux cheveux roux, Antonio Vivaldi.
Mon avis
Et c’est l’arrivée de Vivaldi à l’orphelinat qui va arracher Cécilia à la noirceur de ses pensées, à son désespoir, son anxiété et cette solitude intense qui la mène doucement vers la folie. Elle écrit des lettres tourmentées à cette mère absente qui l’a abandonnée, des mots qui ne vont nulle part, qui se perdent dans le silence. Ses délires et ses hallucinations occupent ses nuits, elle discute avec un esprit, celui de sa mort, qu’elle imagine une tête avec des cheveux de serpents. Alors voici Vivaldi qui confirme sa vocation de violoniste à laquelle elle va s’accrocher pour extirper les démons qui l’habitent et pouvoir s’adonner à sa passion pour la musique. J’ai aimé les descriptions imagées de Vivaldi pour les quatre saisons, l’écriture poétique chargée d’émotions qui nous fait évoluer à travers la musique de Vivaldi. L’auteur a eu la gentillesse de mettre sa discographie préférée à la fin du livre. 4,5/5
Tiziano Scarpa
Livre de poche juillet 2012
160 pages
4ème de couverture
Cecilia, la narratrice, est orpheline. Elle a été abandonnée à sa naissance et recueillie par l'hospice de la Pietà, à Venise. Chaque jour, masquée et dérobée au regard du public, Cecilia joue du violon. Dans cet univers confiné et reclus, la musique est sa seule source de joie et de réconfort, tandis que chaque nuit elle parle et écrit à cette mère inconnue dont l’absence la fait cruellement souffrir. L'année de ses seize ans, un nouveau professeur de musique vient remplacer le vieil abbé qui officiait auparavant : un jeune prêtre aux cheveux roux, Antonio Vivaldi.
Mon avis
Et c’est l’arrivée de Vivaldi à l’orphelinat qui va arracher Cécilia à la noirceur de ses pensées, à son désespoir, son anxiété et cette solitude intense qui la mène doucement vers la folie. Elle écrit des lettres tourmentées à cette mère absente qui l’a abandonnée, des mots qui ne vont nulle part, qui se perdent dans le silence. Ses délires et ses hallucinations occupent ses nuits, elle discute avec un esprit, celui de sa mort, qu’elle imagine une tête avec des cheveux de serpents. Alors voici Vivaldi qui confirme sa vocation de violoniste à laquelle elle va s’accrocher pour extirper les démons qui l’habitent et pouvoir s’adonner à sa passion pour la musique. J’ai aimé les descriptions imagées de Vivaldi pour les quatre saisons, l’écriture poétique chargée d’émotions qui nous fait évoluer à travers la musique de Vivaldi. L’auteur a eu la gentillesse de mettre sa discographie préférée à la fin du livre. 4,5/5
lalyre- Nombre de messages : 5805
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