Daniel WALLACE (Etats-Unis)
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Daniel WALLACE (Etats-Unis)
From: lassy Sent: 7/16/2004 9:58 AM
Big Fish
4e de couverture :
... "Imaginez un père extraordinaire ; imaginez des histoires à dormir debout qu'il vous ramène des quatre coins du monde, imaginez un héros mythique dont les berceuses sont comme autant d'épopées ; imaginez un homme incapable de rester sérieux plus de quelques secondes ; et puis, à l'heure de son dernier voyage, soudain, vous ne savez plus trop lequel de vous deux joue à faire l'enfant.
Daniel Wallace est né en 1959 dans cet Alabama fantasmagorique où, derrière chaque pierre, se cache un trésor, un monstre ou une histoire drôle. Il vit désormais en Caroline du nord."
Le narrateur raconte son père. Il est mourant, et voici toute sa vie déroulée devant nos yeux. Le ton est celui d'un enfant qui dirait fièrement " mon père, il est fort !"
avec un phrasé simple comme un conte de fée, il nous offre un frais bouquet d'émotions ponctuées de rêveries et de rires, avec la naïveté bienveillante d'un fils aimant.
Brillant ! 4,6 / 5.
From: Claarabel Sent: 3/2/2005 6:27 AM
BIG FISH
Impossible de ne pas repenser au film de Tim Burton en lisant le roman de Daniel Wallace ! Impossible, vraiment ! Autant le film est féérique, enchanteur, fantasmagorique, autant le livre est plus terre-à-terre, réaliste et amer. Oui ! Il y a très peu de ressemblances entre l'histoire d'Edward Bloom façonnée par Tim Burton et celle de base narrée par Daniel Wallace, sous la plume de William Bloom, fils de.
Là encore, un père se meurt et un fils tente de comprendre le mystère de ce père. En de brefs chapitres, la biographie d'Edward le Fantastique se profile : une naissance extraordinaire, une enfance émerveillée et des envies en Grand, Edward quitte son Alabama natal et son village d'Ashland pour voir du pays. Cet homme aime le mouvement, sera toute sa vie malheureux d'être sédentaire. Il rencontrera son épouse, Sandra Kay Templeton, mais aussi la femme de sa vie, Jenny Hill.
Car là où Tim Burton n'hésitait pas à polir la destinée d'Edward Bloom, de la paraître idyllique et fanfaronne, Daniel Wallace trace une existence où les déceptions flirtent avec l'amertume, où le bonheur d'une vie ne rime pas forcément avec l'amour unique et absolu.
Donc si l'on se base sur l'envie de lire une histoire aussi imaginative et jouissive que le film "Big Fish", on se trouve berné ! Le roman de Daniel Wallace, s'exilant de toutes images du film, est l'histoire d'un homme extraordinaire, qui n'a jamais voulu se prendre au sérieux, qui s'est ingénié d'être immortel, et ce, par le biais d'histoires légendaires et de blagues qui font le tour de la planète en faisant s'esclaffer une ribambelle d'amis, d'inconnus, etc... C'est une relation entre un père et un fils, lequel tente de percer le mystère de ce père, cet inconnu, désormais mourant et qui se refuse de livrer la clef de tous ses secrets.
Un roman beau, tout de même, mais triste et qui déforme de bien belles images d'un film féérique (ah! un champ entier de jonquilles !...).
3.5/5
From: ferdinante Sent: 10/30/2006 9:20 PM
BIG FISH
je n'ai vraiment pas apprecier ce livre . Jai trouver le film vraiment impressionnant alors je m'attendait a encore mieu avec le livre mais non , l'histoire ma vraiment deçu les chose se passe vraiment differamment dans le film et les personnages y sont beaucoup plus attachant . c'est la premiere fois que je prefere le film au livre . je ne croit pas vraiment que ce livre vaut la peine d'etre lu . Malheureusement . C'est peu etre seulement parce que je mattattait a vraiment plus que cela , je ne sais pas , .
ma note : 1/5
Big Fish
4e de couverture :
... "Imaginez un père extraordinaire ; imaginez des histoires à dormir debout qu'il vous ramène des quatre coins du monde, imaginez un héros mythique dont les berceuses sont comme autant d'épopées ; imaginez un homme incapable de rester sérieux plus de quelques secondes ; et puis, à l'heure de son dernier voyage, soudain, vous ne savez plus trop lequel de vous deux joue à faire l'enfant.
Daniel Wallace est né en 1959 dans cet Alabama fantasmagorique où, derrière chaque pierre, se cache un trésor, un monstre ou une histoire drôle. Il vit désormais en Caroline du nord."
Le narrateur raconte son père. Il est mourant, et voici toute sa vie déroulée devant nos yeux. Le ton est celui d'un enfant qui dirait fièrement " mon père, il est fort !"
avec un phrasé simple comme un conte de fée, il nous offre un frais bouquet d'émotions ponctuées de rêveries et de rires, avec la naïveté bienveillante d'un fils aimant.
Brillant ! 4,6 / 5.
From: Claarabel Sent: 3/2/2005 6:27 AM
BIG FISH
Impossible de ne pas repenser au film de Tim Burton en lisant le roman de Daniel Wallace ! Impossible, vraiment ! Autant le film est féérique, enchanteur, fantasmagorique, autant le livre est plus terre-à-terre, réaliste et amer. Oui ! Il y a très peu de ressemblances entre l'histoire d'Edward Bloom façonnée par Tim Burton et celle de base narrée par Daniel Wallace, sous la plume de William Bloom, fils de.
Là encore, un père se meurt et un fils tente de comprendre le mystère de ce père. En de brefs chapitres, la biographie d'Edward le Fantastique se profile : une naissance extraordinaire, une enfance émerveillée et des envies en Grand, Edward quitte son Alabama natal et son village d'Ashland pour voir du pays. Cet homme aime le mouvement, sera toute sa vie malheureux d'être sédentaire. Il rencontrera son épouse, Sandra Kay Templeton, mais aussi la femme de sa vie, Jenny Hill.
Car là où Tim Burton n'hésitait pas à polir la destinée d'Edward Bloom, de la paraître idyllique et fanfaronne, Daniel Wallace trace une existence où les déceptions flirtent avec l'amertume, où le bonheur d'une vie ne rime pas forcément avec l'amour unique et absolu.
Donc si l'on se base sur l'envie de lire une histoire aussi imaginative et jouissive que le film "Big Fish", on se trouve berné ! Le roman de Daniel Wallace, s'exilant de toutes images du film, est l'histoire d'un homme extraordinaire, qui n'a jamais voulu se prendre au sérieux, qui s'est ingénié d'être immortel, et ce, par le biais d'histoires légendaires et de blagues qui font le tour de la planète en faisant s'esclaffer une ribambelle d'amis, d'inconnus, etc... C'est une relation entre un père et un fils, lequel tente de percer le mystère de ce père, cet inconnu, désormais mourant et qui se refuse de livrer la clef de tous ses secrets.
Un roman beau, tout de même, mais triste et qui déforme de bien belles images d'un film féérique (ah! un champ entier de jonquilles !...).
3.5/5
From: ferdinante Sent: 10/30/2006 9:20 PM
BIG FISH
je n'ai vraiment pas apprecier ce livre . Jai trouver le film vraiment impressionnant alors je m'attendait a encore mieu avec le livre mais non , l'histoire ma vraiment deçu les chose se passe vraiment differamment dans le film et les personnages y sont beaucoup plus attachant . c'est la premiere fois que je prefere le film au livre . je ne croit pas vraiment que ce livre vaut la peine d'etre lu . Malheureusement . C'est peu etre seulement parce que je mattattait a vraiment plus que cela , je ne sais pas , .
ma note : 1/5
Re: Daniel WALLACE (Etats-Unis)
Avant le film, il y avait d'abord un livre, je parie que bien des gens ne le savent pas. Je n'ai pas lu le livre, j'ai commencé par le film.
Un film de Tim Burton c'est presque toujours fabuleux hein...! Ne serait-ce que pour les images.
Une relation père-fils.
Un fils est au chevet de son père mourrant. Celui-ci avait toujours une histoire à raconter et le fils ne croyait pas aux histoires de son père, il voudrait bien démêler le vrai du faux avant que son père disparaisse pour de bon.
L'Alabama est présent entre autres il y a une chanson de Hank Williams - Allman Brothers Band Ramblin' Man -, des pancakes pour le breakfast, des biscuits sur le table au soûper, le vieux avec son banjo sur une véranda à Spectre, et des paysages, des arbres si sudistes... Et du Southern Gothic.
Un film sur les histoires...
Féérique. Magique. Rafraîchissant. Poétique. Drôle. Et si touchant.
(J'ai particulièrement aimé la scène du vol de banque - tellement drôle.)
Note : 5/5
Pour tout savoir sur Big Fish - le film : http://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Fish
Pour le livre plein de critiques ici
Le film est au complet sur youtube - mais la qualité hum... : https://www.youtube.com/watch?v=JOu8vqorxqk
Daniel Wallace est un écrivain américain né à Birmingham, Alabama en 1959.
Il a fait des études de commerce à l'Université d'Emory et à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. Il n'a pourtant pas été diplômé, ayant préféré partir à Nagoya au Japon pour travailler dans une entreprise commerciale.
Wallace est ensuite retourné en Caroline du Nord pour travailler durant treize ans dans une librairie, parallèlement à une activité d'illustrateur.
Il est aujourd'hui professeur à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, où il vit avec sa femme Laura et son fils Henry.
Daniel Wallace illustre lui-même ses romans par de nombreux croquis à l'allure enfantine disséminés dans les chapitres.
Il est connu pour avoir écrit Big Fish, un roman adapté à l'écran en 2003 pour le film de Tim Burton : Big Fish.
_________________
Mousseline
Magasin général tome 2 : Serge de Loisel et Tripp et L'île des chasseurs d'oiseaux de Peter May
"Happiness is only real when shared." (Christopher McCandless)
Re: Daniel WALLACE (Etats-Unis)
Big Fish
n'ai pas vu le film...viens de finir le roman de Wallace.
C'est plaisant, peut-être un peu trop répétitif...
ai apprécié les passages où le fils tente désesperement d'obtenir de son père mourant autre chose que des blagues...
comme quoi, on ne connaît jamais qelqu'un, encore moins son père ou sa mère....
me souviens d'avoir demandé à la mienne, je devais avoir 30 ans, comme supporte-t-on de ne plus être une femme désirable dans les regard des autres, juste une vieille dame...
j'avais attendue, et 15 jours plus tard, sa réponse par lettre, une calligraphie fantastique, claire et aérée, m'avait déçue ( bien fait non?) et sciée:
t'en fais pas, t'auras pas le choix d'ailleurs, on s'habitue....
histoire sympa à lire, mais sans plus
3.5/5.
n'ai pas vu le film...viens de finir le roman de Wallace.
C'est plaisant, peut-être un peu trop répétitif...
ai apprécié les passages où le fils tente désesperement d'obtenir de son père mourant autre chose que des blagues...
comme quoi, on ne connaît jamais qelqu'un, encore moins son père ou sa mère....
me souviens d'avoir demandé à la mienne, je devais avoir 30 ans, comme supporte-t-on de ne plus être une femme désirable dans les regard des autres, juste une vieille dame...
j'avais attendue, et 15 jours plus tard, sa réponse par lettre, une calligraphie fantastique, claire et aérée, m'avait déçue ( bien fait non?) et sciée:
t'en fais pas, t'auras pas le choix d'ailleurs, on s'habitue....
histoire sympa à lire, mais sans plus
3.5/5.
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
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