Henri TROYAT: La case de l'oncle Sam
Le club des rats de biblio-net :: Lectures communes à la une :: Auteurs du quadrimestre :: Janvier 2008 - Henri TROYAT
Page 1 sur 1
Henri TROYAT: La case de l'oncle Sam
De : gallomaniac (Message d'origine) Envoyé : 2008-01-02 15:34
La case de l'Oncle Sam, récit de voyage aux Ëtats-Unis par Henri Troyat. Ma note 2,5/5
Plon, 1948; edition poche 1953, 255 pg.
Après la guerre, (il a 37 ans environ et il est déjà lauréat du Prix Goncourt), il va en San-Francisco pour donner pendant un été des cours de littérature française. D'abord accueilli à New York, l'Up-Town des gratte-ciels, par un couple ami d'origine russe, il visite la ville et les bureaux d'organisations internationales; il apprend à boire du coca-cola et à faire du shopping, il va au coiffeur (la scène la plus drôle du livre peut-être); il admire les lumières publicitaires de Broadway et les orateurs de Central Park; on parle d'étiquette américaine et il assiste à une sorte de réception avec des cover-girls; avec l'homme ami il assiste à une soirée-dansante où on paye pour chaque danse la danseuse "professionnelle", ils sortent avec la danseuse pour un disco nègre à Harlem, où il admire la créativité chorégraphique des couples noirs.
Il part pour San-Francisco en train, trois jours et nuits, tout un chapitre sur son comportement bête et les inconvénients des couchettes. Il passe par Los Angeles, où il parle des grands studios de cinéma, fabriques de films, et il y visite un parc-cimetière; une fois à San-Francisco où il donnera ses cours admiré d'avance par les élèves, surtout des filles. Il complète cela avec une visite à un très beau mortuaire avec funeral parlour: même la mort est commercialisé outre mesure. Il assiste aussi à une service religieux de baptistes où les gens entrent facilement en extase.
Le retour à NeW York se fait en voiture; donc on profite davantage de la nature: Yellowstone Park, la foire et le musée historique à Minneapolis. Dans cette ville on tombe sur un marché de propagation de religions: des dizaines de religions: "Christ or chaos". Et à la fin: Niagara Falls.
Le livre est moyennement intéressant. Troyat sait divertir ses lecteurs avec des choses simples aussi bien qu'avec des choses curieuses et il a une façon à soi de décrire la vie de ses amis assez bourgeois.
La case de l'Oncle Sam, récit de voyage aux Ëtats-Unis par Henri Troyat. Ma note 2,5/5
Plon, 1948; edition poche 1953, 255 pg.
Après la guerre, (il a 37 ans environ et il est déjà lauréat du Prix Goncourt), il va en San-Francisco pour donner pendant un été des cours de littérature française. D'abord accueilli à New York, l'Up-Town des gratte-ciels, par un couple ami d'origine russe, il visite la ville et les bureaux d'organisations internationales; il apprend à boire du coca-cola et à faire du shopping, il va au coiffeur (la scène la plus drôle du livre peut-être); il admire les lumières publicitaires de Broadway et les orateurs de Central Park; on parle d'étiquette américaine et il assiste à une sorte de réception avec des cover-girls; avec l'homme ami il assiste à une soirée-dansante où on paye pour chaque danse la danseuse "professionnelle", ils sortent avec la danseuse pour un disco nègre à Harlem, où il admire la créativité chorégraphique des couples noirs.
Il part pour San-Francisco en train, trois jours et nuits, tout un chapitre sur son comportement bête et les inconvénients des couchettes. Il passe par Los Angeles, où il parle des grands studios de cinéma, fabriques de films, et il y visite un parc-cimetière; une fois à San-Francisco où il donnera ses cours admiré d'avance par les élèves, surtout des filles. Il complète cela avec une visite à un très beau mortuaire avec funeral parlour: même la mort est commercialisé outre mesure. Il assiste aussi à une service religieux de baptistes où les gens entrent facilement en extase.
Le retour à NeW York se fait en voiture; donc on profite davantage de la nature: Yellowstone Park, la foire et le musée historique à Minneapolis. Dans cette ville on tombe sur un marché de propagation de religions: des dizaines de religions: "Christ or chaos". Et à la fin: Niagara Falls.
Le livre est moyennement intéressant. Troyat sait divertir ses lecteurs avec des choses simples aussi bien qu'avec des choses curieuses et il a une façon à soi de décrire la vie de ses amis assez bourgeois.
Sujets similaires
» Henri TROYAT: L'araigne
» Henri TROYAT: Présentation
» Henri TROYAT: Aliocha
» Henri TROYAT: Youri
» Henri TROYAT: La dérision
» Henri TROYAT: Présentation
» Henri TROYAT: Aliocha
» Henri TROYAT: Youri
» Henri TROYAT: La dérision
Le club des rats de biblio-net :: Lectures communes à la une :: Auteurs du quadrimestre :: Janvier 2008 - Henri TROYAT
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|