Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Marina
Résumé de l'éditeur :
Solitaire, Oscar aime se promener après les cours dans les rues envoûtantes de Barcelone. Un jour, il rencontre la jolie et mystérieuse Marina. Liés par un amour de plus en plus fort, les adolescents n'ont peur de rien, pas même de suivre une femme au comportement bizarre... Qui est-elle et pourquoi se rend-elle sur une tombe gravée d'un papillon noir? Lancés sur la piste d'une énigme qui hante la ville depuis trente ans, Oscar et Marina risquent de se perdre...
Une histoire captivante, d'amour et de suspense!
L’écriture est simple, elle se lit bien et vite. J’ai été un peu surprise car j’ai lu L’ombre du vent il y a quelques années et j’avais en mémoire un style différent.
Un livre d’aventure qui peut plaire autant aux adolescents qu’aux adultes, on y retrouve une touche d’horreur avec des créatures à la Frankenstein. Je me suis très vite laissée prendre par l’histoire et j’ai passé un très bon moment de lecture.
4/5
Résumé de l'éditeur :
Solitaire, Oscar aime se promener après les cours dans les rues envoûtantes de Barcelone. Un jour, il rencontre la jolie et mystérieuse Marina. Liés par un amour de plus en plus fort, les adolescents n'ont peur de rien, pas même de suivre une femme au comportement bizarre... Qui est-elle et pourquoi se rend-elle sur une tombe gravée d'un papillon noir? Lancés sur la piste d'une énigme qui hante la ville depuis trente ans, Oscar et Marina risquent de se perdre...
Une histoire captivante, d'amour et de suspense!
L’écriture est simple, elle se lit bien et vite. J’ai été un peu surprise car j’ai lu L’ombre du vent il y a quelques années et j’avais en mémoire un style différent.
Un livre d’aventure qui peut plaire autant aux adolescents qu’aux adultes, on y retrouve une touche d’horreur avec des créatures à la Frankenstein. Je me suis très vite laissée prendre par l’histoire et j’ai passé un très bon moment de lecture.
4/5
Invité- Invité
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Le prince des brumes
Carlos Ruiz Zafon
Pocket jeunesse novembre 2011
206 pages
Présentation de l’éditeur
1943, Angleterre. Fuyant la guerre, la famille Carver - les parents et leurs trois enfants, Max, Alicia et Irene - se réfugie dans un village de bord de mer. Leur nouvelle maison appartenait précédemment à un riche couple qui a quitté le pays après la mort de Jacob, leur petit garçon. Peu après son emménagement, la famille Carver est confrontée à de troublants événements. La maison de la plage paraît hantée par le souvenir de Jacob. Les films que le jeune garçon a tournés avant de mourir et que la famille Carver a retrouvés dans la cave réveillent des ombres inquiétantes. Quelque chose ou quelqu'un rôde entre les murs, une ombre cruelle et insatisfaite. Max et Alicia commencent à enquêter sur les circonstances obscures de la mort de Jacob. Roland, un adolescent du village, les aide dans leurs recherches. Il les entraîne dans des plongées exploratoires autour d'un cargo qui gît dans la baie après avoir été victime d'une tempête des années plus tôt. Autour de cette épave, tout respire le mystère et la peur : les poissons ne s'y risquent jamais, des ombres paraissent à l'affut derrière les cloisons rouillées et dans les coursives délabrées... Et c'est Roland qu'elles épient, Roland dont elles veulent se saisir. Qui accumule les pièges mortels autour du jeune homme ? Quel secret entoure Roland pour qu'il soit l'objet d'une si terrible haine ? En interrogeant le grand-père de Roland, Max et Alicia exhument involontairement les secrets du passé. Un passé terrible dont émerge un être machiavélique, le Prince de la brume... Doté de pouvoirs diaboliques, le Prince de la brume peut emprunter toutes les formes et tous les visages. Il est le maître d'une troupe de grotesques statues à demi-vivantes qui ont élu domicile dans le jardin de la maison des Carver... Le Prince de la brume réclame le paiement d'une dette contractée peu avant la naissance de Jacob. Une dette dont Roland est le prix... S'ils veulent sauver leur ami, Max et Alicia doivent affronter l'être maléfique sur son territoire : dans le jardin des statues vivantes mais aussi dans le terrifiant cargo enseveli sous les eaux.
Mon avis
La présentation de l’éditeur révélant déja beaucoup, ce que je peux dire c’est que ce roman pour les adolescents reflète bien l’immense talent de l’auteur. Attirée par la couverture, je pensais lire un roman spécifique pour adultes, je ne fus pas déçue car dans la note de l’auteur on lit : J’aime croire que ces contes ( y inclus le roman Marina ) sont faits pour tous les âges, et j’espère que des adultes auront envie d’explorer ces histoires de magie, de mystères et d’aventures. L’auteur nous dit qu’il a tenté d’écrire le genre de roman qu’il aurait aimé lire quand il était adolescent, mais qui continuerait à l’intéresser à l’âge de vingt-trois, quarante-trois et quatre-vingt-trois ans. Ceci dit, j’ai beaucoup aimé ce livre, une intrigue bien tournée, une histoire développée simplement, des maléfices, une figure diabolique et du suspense, ce qui en fait un coup de coeur.....5/5
Deux passages que j’ai aimé parmi d’autres
En haut des falaises, le faisceau du phare récoltait les dernières ombres de la nuit comme une cuillère de feu à travers la brume.
Nous marchons vers une unique fin. la vie se partage en trois périodes. Dans la première, on ne pense même pas que l’on va vieillir, ni que le temps passe, nique, dès le premier jour lors de notre naissance, nous marchons vers une unique fin. Commence alors la deuxième période ou l’on se rend compte de la fragilité de sa vie. Enfin, au terme de la vie, s’ouvre la troisième période, celle de l’acceptation de la réalité et, en conséquence, la résignation et l’attente.
Carlos Ruiz Zafon
Pocket jeunesse novembre 2011
206 pages
Présentation de l’éditeur
1943, Angleterre. Fuyant la guerre, la famille Carver - les parents et leurs trois enfants, Max, Alicia et Irene - se réfugie dans un village de bord de mer. Leur nouvelle maison appartenait précédemment à un riche couple qui a quitté le pays après la mort de Jacob, leur petit garçon. Peu après son emménagement, la famille Carver est confrontée à de troublants événements. La maison de la plage paraît hantée par le souvenir de Jacob. Les films que le jeune garçon a tournés avant de mourir et que la famille Carver a retrouvés dans la cave réveillent des ombres inquiétantes. Quelque chose ou quelqu'un rôde entre les murs, une ombre cruelle et insatisfaite. Max et Alicia commencent à enquêter sur les circonstances obscures de la mort de Jacob. Roland, un adolescent du village, les aide dans leurs recherches. Il les entraîne dans des plongées exploratoires autour d'un cargo qui gît dans la baie après avoir été victime d'une tempête des années plus tôt. Autour de cette épave, tout respire le mystère et la peur : les poissons ne s'y risquent jamais, des ombres paraissent à l'affut derrière les cloisons rouillées et dans les coursives délabrées... Et c'est Roland qu'elles épient, Roland dont elles veulent se saisir. Qui accumule les pièges mortels autour du jeune homme ? Quel secret entoure Roland pour qu'il soit l'objet d'une si terrible haine ? En interrogeant le grand-père de Roland, Max et Alicia exhument involontairement les secrets du passé. Un passé terrible dont émerge un être machiavélique, le Prince de la brume... Doté de pouvoirs diaboliques, le Prince de la brume peut emprunter toutes les formes et tous les visages. Il est le maître d'une troupe de grotesques statues à demi-vivantes qui ont élu domicile dans le jardin de la maison des Carver... Le Prince de la brume réclame le paiement d'une dette contractée peu avant la naissance de Jacob. Une dette dont Roland est le prix... S'ils veulent sauver leur ami, Max et Alicia doivent affronter l'être maléfique sur son territoire : dans le jardin des statues vivantes mais aussi dans le terrifiant cargo enseveli sous les eaux.
Mon avis
La présentation de l’éditeur révélant déja beaucoup, ce que je peux dire c’est que ce roman pour les adolescents reflète bien l’immense talent de l’auteur. Attirée par la couverture, je pensais lire un roman spécifique pour adultes, je ne fus pas déçue car dans la note de l’auteur on lit : J’aime croire que ces contes ( y inclus le roman Marina ) sont faits pour tous les âges, et j’espère que des adultes auront envie d’explorer ces histoires de magie, de mystères et d’aventures. L’auteur nous dit qu’il a tenté d’écrire le genre de roman qu’il aurait aimé lire quand il était adolescent, mais qui continuerait à l’intéresser à l’âge de vingt-trois, quarante-trois et quatre-vingt-trois ans. Ceci dit, j’ai beaucoup aimé ce livre, une intrigue bien tournée, une histoire développée simplement, des maléfices, une figure diabolique et du suspense, ce qui en fait un coup de coeur.....5/5
Deux passages que j’ai aimé parmi d’autres
En haut des falaises, le faisceau du phare récoltait les dernières ombres de la nuit comme une cuillère de feu à travers la brume.
Nous marchons vers une unique fin. la vie se partage en trois périodes. Dans la première, on ne pense même pas que l’on va vieillir, ni que le temps passe, nique, dès le premier jour lors de notre naissance, nous marchons vers une unique fin. Commence alors la deuxième période ou l’on se rend compte de la fragilité de sa vie. Enfin, au terme de la vie, s’ouvre la troisième période, celle de l’acceptation de la réalité et, en conséquence, la résignation et l’attente.
lalyre- Nombre de messages : 5801
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Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Je note ce livre merci pour la critique Lalyre
matw25- Nombre de messages : 865
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Date d'inscription : 10/01/2011
Carlos Ruiz Zafon
Carlos Ruiz Zafón (né le 25 septembre 1964 à Barcelone) est un auteur espagnol. Ruíz Zafón écrit principalement en castillan. Il habite depuis 1993 à Los Angeles où il écrit des scénarios de films.
À l'âge de quatorze ans, Carlos Ruiz Zafon écrit son premier roman, une histoire de 500 pages. À dix-neuf ans, il choisit de commencer sa carrière dans la publicité, qu'il quitte pour se consacrer à son roman El principe de la niebla (Le Prince du brouillard, 1993) qui gagne le prix de la jeunesse d'Edebé en 2000.
Son quatrième roman, L'Ombre du vent a été traduit en de nombreuses langues. Il a été sélectionné dans les romans étrangers pour le prix Femina 2004. Il a reçu aussi des prix littéraires français, comme le Prix des Amis du Scribe et le Prix Michelet en 2005, ainsi qu'au Québec, comme le Prix des libraires du Québec 2005 (Roman hors Québec). En janvier 2010, le classement de plusieurs magazines dédiés à l'édition, dont Livres-Hebdo en France et The Bookseller en Grande-Bretagne, le place à la cinquième place des écrivains de fiction les plus vendus en Europe en 2009[1].
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carlos_Ruiz_Zafon
nauticus45- Nombre de messages : 2413
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Location : Haut-Rhin, France
Date d'inscription : 27/10/2008
L'ombre du vent
- Poche: 636 pages
- Editeur : Le Livre de Poche; Édition : EDITIONS LIVRE DE POCHE N° 30473 (4 janvier 2006)
- Collection : Le Livre de Poche
- Langue : Français
- ISBN-10: 2253114863
- ISBN-13: 978-2253114864
Présentation de l'éditeur
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Commentaire:
Bien que "L'ombre du vent" ait manifestement remporté un succès mondial, je ne connaissais ni son titre ni son auteur jusqu'à ce que le bibliothécaire me le conseille. Pourtant, dès les premières pages, je me suis demandée comment j'avais pu ne pas entendre parler de ce roman, tellement il est dense, bien écrit, et capable de vous emporter dès les premières pages dans la Barcelone de l'après-guerre, envoûtante et effrayante à la fois. Difficile pour autant de parler de l'histoire car au fond il y en a plusieurs très habilement entremêlées: celle de Daniel, d'abord, un jeune garçon qui vit seul avec son père libraire depuis le décès de sa mère, celle de Julian Carax, dont Daniel découvre le dernier roman "L'ombre du vent" et qu'il entreprend de retrouver, et enfin celles des personnes qui ont connu Julian et son incroyable destin. A ces trois histoires principales se mêlent la vie de Barcelone et de ses habitants de l'époque, partagés entre la peur, la violence et l'espoir. Toutes ces vies auraient pu se croiser dans un mélodrame un peu mielleux mais ce n'est pas le cas, car Carlos Ruiz Zafon réussit à les regrouper dans un mélange de roman policier, fantastique et romantique, le tout formant une véritable alchimie qui nous emmène dès les premières phrases et nous ensorcèle jusqu'au dénouement, lequel parvient encore à nous surprendre.
5/5
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Commentaire:
Bien que "L'ombre du vent" ait manifestement remporté un succès mondial, je ne connaissais ni son titre ni son auteur jusqu'à ce que le bibliothécaire me le conseille. Pourtant, dès les premières pages, je me suis demandée comment j'avais pu ne pas entendre parler de ce roman, tellement il est dense, bien écrit, et capable de vous emporter dès les premières pages dans la Barcelone de l'après-guerre, envoûtante et effrayante à la fois. Difficile pour autant de parler de l'histoire car au fond il y en a plusieurs très habilement entremêlées: celle de Daniel, d'abord, un jeune garçon qui vit seul avec son père libraire depuis le décès de sa mère, celle de Julian Carax, dont Daniel découvre le dernier roman "L'ombre du vent" et qu'il entreprend de retrouver, et enfin celles des personnes qui ont connu Julian et son incroyable destin. A ces trois histoires principales se mêlent la vie de Barcelone et de ses habitants de l'époque, partagés entre la peur, la violence et l'espoir. Toutes ces vies auraient pu se croiser dans un mélodrame un peu mielleux mais ce n'est pas le cas, car Carlos Ruiz Zafon réussit à les regrouper dans un mélange de roman policier, fantastique et romantique, le tout formant une véritable alchimie qui nous emmène dès les premières phrases et nous ensorcèle jusqu'au dénouement, lequel parvient encore à nous surprendre.
5/5
nauticus45- Nombre de messages : 2413
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Date d'inscription : 27/10/2008
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Nauticus merci pour cette critique. Cela m'a donné envie d'en savoir un peu plus sur ce livre et j'ai donc lu les autres critiques. Que d'éloges sur ce livre !!! Je me le note pour le lire absolument.
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Lecture en cours : En un monde parfait - Laura Kasischke
Challenge USA : 18/50
Fabienne- Nombre de messages : 1957
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Le Palais de Minuit
Carlos Ruiz Zafon
Pocket jeunesse janvier 2012
285 pages
Présentation de l'éditeur
Calcutta, 1916. Un soldat anglais fuit dans les ombres nocturnes de la Cité des palais. Au creux de ses bras, il abrite des jumeaux de quelques jours qu'il vient d'arracher à un mystérieux criminel. Confiés à leur grand-mère, les jumeaux, un garçon et une fille, sont séparés. Sheere reste avec sa grand-mère, Ben est confié à un orphelinat. Le jour de leur seize ans, Sheere retrouve Ben à l'orphelinat. Il s'y est fait six fidèles amis avec lesquels il a formé la Chowdar Society. La nuit, les sept enfants se réunissent dans une grande bâtisse désolée qu'ils ont baptisée le "Palais de Minuit". A son tour, Sheere est admise à la Chowdar Society. Mais dès que les jumeaux sont réunis, une force maléfique semble se réveiller. Un train de feu tout droit sorti de l'enfer les terrorise. Une ombre liquide s'acharne contre eux. Qui est l'être, ou le démon, à l'œuvre derrière les attaques répétées contre Sheere et Ben ? Pourquoi leur manifeste-t-il une haine aussi implacable ? Le père disparu de Ben et de Sheere, architecte de génie possédé par une folie homicide, a bâti l'extraordinaire garde de Jheeter's Gate. Cathédrale élevée à la gloire de la technologie ferroviaire, ce bâtiment sans égal dans le monde a été la proie d'un terrible incendie le jour même de son inauguration. Depuis, sa carcasse noire, dressée au centre de Calcutta, est hantée par l'âme en colère de Jawahal. C'est au coeur de ce lieu maudit que Ben et Sheere doivent affronter les vérités douloureuses de leur passé. Ensemble, les huit membres de la Chowdar Society s'enfoncent dans les ténèbres de la gare maudite. Au bout des tunnels les attend le plus cruel et le plus attachant des criminels. Il veut l'âme de Sheere et la mort de Ben. Pour cela, il doit détruire l'amitié qui unit les adolescents. Mais l'amour est toujours plus fort que la mort : armés de leur courage, de leur attachement et de leur sincérité, Sheere, Ben et leurs six amis vont tout risquer pour apaiser l'esprit malade de Jawahal.
Mon avis
Fantastique et polar, ce roman m’a accrochée de la première page jusqu’à la fin et pourtant je ne suis guère fan de fantastique mais en lisant j’ai ressenti beaucoup d’émotion. Je me suis attachée aux huit membres de la Chowdar Sociéty, j’ai imaginé la construction colossale de cette gare avec ses tunnels terrifiants, évidement j’ai détesté l’ignoble et cruel Jawahal avec son allure monstrueuse ( cela aussi je l’ai imaginé tout de noir vêtu avec des yeux lançant des éclairs). Ce qui m’a le plus touchée pendant ma lecture même s’il y a de la terreur et de la haine de la part de Jawahal, c’est la grande amitié et la fraternité qui unissent les jeunes gens. C’est un roman que j’ai beaucoup aimé et qui s’adresse aux adultes et grands adolescents, qui sera un gros coup de coeur...5/5
Carlos Ruiz Zafon
Pocket jeunesse janvier 2012
285 pages
Présentation de l'éditeur
Calcutta, 1916. Un soldat anglais fuit dans les ombres nocturnes de la Cité des palais. Au creux de ses bras, il abrite des jumeaux de quelques jours qu'il vient d'arracher à un mystérieux criminel. Confiés à leur grand-mère, les jumeaux, un garçon et une fille, sont séparés. Sheere reste avec sa grand-mère, Ben est confié à un orphelinat. Le jour de leur seize ans, Sheere retrouve Ben à l'orphelinat. Il s'y est fait six fidèles amis avec lesquels il a formé la Chowdar Society. La nuit, les sept enfants se réunissent dans une grande bâtisse désolée qu'ils ont baptisée le "Palais de Minuit". A son tour, Sheere est admise à la Chowdar Society. Mais dès que les jumeaux sont réunis, une force maléfique semble se réveiller. Un train de feu tout droit sorti de l'enfer les terrorise. Une ombre liquide s'acharne contre eux. Qui est l'être, ou le démon, à l'œuvre derrière les attaques répétées contre Sheere et Ben ? Pourquoi leur manifeste-t-il une haine aussi implacable ? Le père disparu de Ben et de Sheere, architecte de génie possédé par une folie homicide, a bâti l'extraordinaire garde de Jheeter's Gate. Cathédrale élevée à la gloire de la technologie ferroviaire, ce bâtiment sans égal dans le monde a été la proie d'un terrible incendie le jour même de son inauguration. Depuis, sa carcasse noire, dressée au centre de Calcutta, est hantée par l'âme en colère de Jawahal. C'est au coeur de ce lieu maudit que Ben et Sheere doivent affronter les vérités douloureuses de leur passé. Ensemble, les huit membres de la Chowdar Society s'enfoncent dans les ténèbres de la gare maudite. Au bout des tunnels les attend le plus cruel et le plus attachant des criminels. Il veut l'âme de Sheere et la mort de Ben. Pour cela, il doit détruire l'amitié qui unit les adolescents. Mais l'amour est toujours plus fort que la mort : armés de leur courage, de leur attachement et de leur sincérité, Sheere, Ben et leurs six amis vont tout risquer pour apaiser l'esprit malade de Jawahal.
Mon avis
Fantastique et polar, ce roman m’a accrochée de la première page jusqu’à la fin et pourtant je ne suis guère fan de fantastique mais en lisant j’ai ressenti beaucoup d’émotion. Je me suis attachée aux huit membres de la Chowdar Sociéty, j’ai imaginé la construction colossale de cette gare avec ses tunnels terrifiants, évidement j’ai détesté l’ignoble et cruel Jawahal avec son allure monstrueuse ( cela aussi je l’ai imaginé tout de noir vêtu avec des yeux lançant des éclairs). Ce qui m’a le plus touchée pendant ma lecture même s’il y a de la terreur et de la haine de la part de Jawahal, c’est la grande amitié et la fraternité qui unissent les jeunes gens. C’est un roman que j’ai beaucoup aimé et qui s’adresse aux adultes et grands adolescents, qui sera un gros coup de coeur...5/5
lalyre- Nombre de messages : 5801
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Date d'inscription : 01/03/2009
L'ombre du vent
L'ombre du vent, Le livre de poche - 636p.
Mon résumé : Daniel Sempere a 4 ans lors du décès de sa maman. Il vit depuis exclusivement avec son papa, bouquiniste à Barcelone, plongé dans l'univers des livres depuis son plus jeune âge. Cette plongée sera d'autant plus forte lorsque son père lui fera découvrir quelques années plus tard le Cimetière des Livres Oubliés : un endroit magique où des millions de livres sont rangés, voire cachés là pour l'éternité... ou presque !
Daniel va y faire la découverte d'un livre : L'ombre du vent de Julian Carax, auteur quasiment inconnu, tombé dans l'oubli et qui n'aura de cesse de hanter Daniel toute sa vie.
Ayant très peu d'informations sur cet auteur, il va chercher à connaître sa vie, son oeuvre, qui il est etc... et va aller de surprise en surprise. Au fur et à mesure de ses investigations, aidé par son ami Fermin, Daniel va se retrouver mêlé à une étrange histoire d'amour, d'amitié, de haine...
Mon avis : Une fois n'est pas coutume : Whaou !!!
Bon, essayons d'argumenter cela... Tout d'abord l'ambiance. Nous sommes dans le Barcelone des années 1940, après guerre, époque de la reconstruction. La pauvreté est encore fort présente, les moeurs ne sont pas déridées mais on sent naître une certaine note d'espoir malgré tout. L'amour entre le père et le fils Sempere est magnifique, on ne tombe à un aucun moment dans le côté pathos mais juste dans une relation belle et conflictuelle comme elle peut l'être dans ces circonstances.
Le thème de l'amitié est également superbement traité : que ce soit entre Daniel et Fermin, un enfant avec un adulte, des confidences, des coups montés à l'insu du père, mais aussi entre Julian, Molina, Jorge Aldaya, Fumero, un groupe d'amis dont l'amitié se confond souvent avec rivalité, jalousie...
Et que dire de l'amour, clé de toute cette histoire ? Mais il ne s'agit pas d'une histoire d'amour, ce livre est bien plus que cela : c'est l'amour d'abord de Daniel pour Julian qu'il ne connait pas mais qui le subjugue ; l'amour de Daniel pour Clara, une jeune femme plus âgée que lui, aveugle, qui lui fera espérer tant... ; l'amour des livres, l'amour de Barcelone, et bien sûr l'amour de Julian pour Penelope et de Daniel pour Bea...
Carlos Ruiz Zafon a su mener un parallèle entre Daniel Sempere et Julian Carax assez époustouflant et nous promène dans une villa mystérieuse, lieu de réponses à de nombreuses questions...
Au fil des pages, on va de surprise en surprise, le rythme est soutenu. Il m'a été très difficile de quitter les personnages et de passer à autre chose.
Je ne l'oublierai pas de sitôt !
Ma note : 5/5
Mon résumé : Daniel Sempere a 4 ans lors du décès de sa maman. Il vit depuis exclusivement avec son papa, bouquiniste à Barcelone, plongé dans l'univers des livres depuis son plus jeune âge. Cette plongée sera d'autant plus forte lorsque son père lui fera découvrir quelques années plus tard le Cimetière des Livres Oubliés : un endroit magique où des millions de livres sont rangés, voire cachés là pour l'éternité... ou presque !
Daniel va y faire la découverte d'un livre : L'ombre du vent de Julian Carax, auteur quasiment inconnu, tombé dans l'oubli et qui n'aura de cesse de hanter Daniel toute sa vie.
Ayant très peu d'informations sur cet auteur, il va chercher à connaître sa vie, son oeuvre, qui il est etc... et va aller de surprise en surprise. Au fur et à mesure de ses investigations, aidé par son ami Fermin, Daniel va se retrouver mêlé à une étrange histoire d'amour, d'amitié, de haine...
Mon avis : Une fois n'est pas coutume : Whaou !!!
Bon, essayons d'argumenter cela... Tout d'abord l'ambiance. Nous sommes dans le Barcelone des années 1940, après guerre, époque de la reconstruction. La pauvreté est encore fort présente, les moeurs ne sont pas déridées mais on sent naître une certaine note d'espoir malgré tout. L'amour entre le père et le fils Sempere est magnifique, on ne tombe à un aucun moment dans le côté pathos mais juste dans une relation belle et conflictuelle comme elle peut l'être dans ces circonstances.
Le thème de l'amitié est également superbement traité : que ce soit entre Daniel et Fermin, un enfant avec un adulte, des confidences, des coups montés à l'insu du père, mais aussi entre Julian, Molina, Jorge Aldaya, Fumero, un groupe d'amis dont l'amitié se confond souvent avec rivalité, jalousie...
Et que dire de l'amour, clé de toute cette histoire ? Mais il ne s'agit pas d'une histoire d'amour, ce livre est bien plus que cela : c'est l'amour d'abord de Daniel pour Julian qu'il ne connait pas mais qui le subjugue ; l'amour de Daniel pour Clara, une jeune femme plus âgée que lui, aveugle, qui lui fera espérer tant... ; l'amour des livres, l'amour de Barcelone, et bien sûr l'amour de Julian pour Penelope et de Daniel pour Bea...
Carlos Ruiz Zafon a su mener un parallèle entre Daniel Sempere et Julian Carax assez époustouflant et nous promène dans une villa mystérieuse, lieu de réponses à de nombreuses questions...
Au fil des pages, on va de surprise en surprise, le rythme est soutenu. Il m'a été très difficile de quitter les personnages et de passer à autre chose.
Je ne l'oublierai pas de sitôt !
Ma note : 5/5
_________________
Anne-Claire
anna44- Nombre de messages : 1736
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
L'ombre du vent
livre de poche
2001
3.75/5
J'avais ce livre dans ma PAl depuis plurieurs années et j'hésitais à le lire. On m'en avait dit tant de bien que mes attentes étaient élevées, probablement démesurées. Les 200 premières pages du livres m'on totalement conquises. Je toruvais le rythme très bon et l'idée de départ de ce cimetière des livres oubliés vraiment accrocheuse pour une amoureuse des livres comme moi.
L'histoire.... En gros, c'est l'histoire d'un garçon qui lors d'un rite initiatique choisi un livre dans le cimetière des livres oubliés. Il choisi un livre d'un auteur dénommé Julian Carax et s'engage à protéger ce livre tout au long de sa vie. Après lecture du Livre qui, oh mystère, se nomme l'ombre du vent, Daniel souhaite lire d'autres livres de Julian Carax, mais voilà, ils sont introuvables... Qu'est-il donc arrivé? S'amorçe alors une enquête menée par le jeune homme le menant sur les traces des mystères entourant la vie de Julian Carax.
L'ombre du vent n'est pas un coup de coeur pour moi, mais j'en garderai tout de même un bon souvenir. Carlos Ruiz Zafon a une belle écriture, il sait faire ressortir de l'atmosphère mystérieuse qui ne nous quitte pas jusqu'à la fin du livre. Aussi, merveilleuse qualité s'il en est une, il a un humour fort intelligent ce monsieur Zafon! En ce qui concerne les personnages, ils sont intéressants, mais peut-être un peu trop caricaturaux...et trop nombreux. Il y en avait au total une quarantaine. Chacun de ces personnages apporte sa part d'éléments à l'enquête, mais les déclarations des personnages sont si longues qu'on perd l'intérêt... le rythme s'en trouve ralenti, sans parler de l'épilogue qui n'en finissait pas de finir! C'est principalement pour cette raison que ce roman, dont je reconnais les qualités, n'a pas transformé cet instant de lecture en coup de coeur littéraire. Si vous avez eu un coup de coeur pour Carlos ruis Zafon, je vous recommande de lire Isabel Allende.
livre de poche
2001
3.75/5
J'avais ce livre dans ma PAl depuis plurieurs années et j'hésitais à le lire. On m'en avait dit tant de bien que mes attentes étaient élevées, probablement démesurées. Les 200 premières pages du livres m'on totalement conquises. Je toruvais le rythme très bon et l'idée de départ de ce cimetière des livres oubliés vraiment accrocheuse pour une amoureuse des livres comme moi.
L'histoire.... En gros, c'est l'histoire d'un garçon qui lors d'un rite initiatique choisi un livre dans le cimetière des livres oubliés. Il choisi un livre d'un auteur dénommé Julian Carax et s'engage à protéger ce livre tout au long de sa vie. Après lecture du Livre qui, oh mystère, se nomme l'ombre du vent, Daniel souhaite lire d'autres livres de Julian Carax, mais voilà, ils sont introuvables... Qu'est-il donc arrivé? S'amorçe alors une enquête menée par le jeune homme le menant sur les traces des mystères entourant la vie de Julian Carax.
L'ombre du vent n'est pas un coup de coeur pour moi, mais j'en garderai tout de même un bon souvenir. Carlos Ruiz Zafon a une belle écriture, il sait faire ressortir de l'atmosphère mystérieuse qui ne nous quitte pas jusqu'à la fin du livre. Aussi, merveilleuse qualité s'il en est une, il a un humour fort intelligent ce monsieur Zafon! En ce qui concerne les personnages, ils sont intéressants, mais peut-être un peu trop caricaturaux...et trop nombreux. Il y en avait au total une quarantaine. Chacun de ces personnages apporte sa part d'éléments à l'enquête, mais les déclarations des personnages sont si longues qu'on perd l'intérêt... le rythme s'en trouve ralenti, sans parler de l'épilogue qui n'en finissait pas de finir! C'est principalement pour cette raison que ce roman, dont je reconnais les qualités, n'a pas transformé cet instant de lecture en coup de coeur littéraire. Si vous avez eu un coup de coeur pour Carlos ruis Zafon, je vous recommande de lire Isabel Allende.
_________________
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Les lumières de septembre
Pocket Jeunesse mars 2012
262 pages
lSBN9782266213059
Quatrième de couverture
1937. Irène et Dorian Déménagent en Normandie. Leur mère a accepté un poste de gouvernante chez l’étrange Lazarus, un fabricant d’automate qui vit dans un immense manoir rempli de ses créations….A peine installée, Irène va devenir l’amie d’Hannah, une fille du village. Et surtout tomber amoureuse d’Ismaël, seize ans, un orphelin qui vit chez son oncle. Mais une force obscure est à l’œuvre dans la vieille maison…Irène, Ismaël et Hannah arriveront-ils à échapper à l’âme damnée qui semble les poursuivre ?
Mon avis
Quelle est donc cette force criminelle qui a pris possession du vieux manoir de Gravenmoore ? Pourquoi tue t-elle Hannah et cherche à assassiner, Simone et ses enfants ? Ismaël le petit ami d’Irène est-il aussi en danger ? Qui est Lazarus, le fabricant d’automates qui semblent presque vivants ? C’est à la fin du roman que toutes ces questions trouveront réponses….Car Irène et Ismaël trouveront la clé de ces mystères mais pour cela, ils vont devoir traverser les pièges tendus par l’ombre, une ombre jalouse, plus noire que les recoins les plus obscurs. Une voix qui émerge d’on ne sait ou, une mort suspect, un phare hanté, une mystérieuse chambre d’enfant et l’ombre sans cesse présente….De quoi créer de l’angoisse et surtout de la terreur lorsque le mal enlève son masque…. Un roman fantastique et magique qui est le dernier volet de la trilogie après " Le prince de la Brume et le Palais de Minuit ". Adultes et adolescents qui aiment le fantastique liront ce livre avec plaisir……4,5/5
Pocket Jeunesse mars 2012
262 pages
lSBN9782266213059
Quatrième de couverture
1937. Irène et Dorian Déménagent en Normandie. Leur mère a accepté un poste de gouvernante chez l’étrange Lazarus, un fabricant d’automate qui vit dans un immense manoir rempli de ses créations….A peine installée, Irène va devenir l’amie d’Hannah, une fille du village. Et surtout tomber amoureuse d’Ismaël, seize ans, un orphelin qui vit chez son oncle. Mais une force obscure est à l’œuvre dans la vieille maison…Irène, Ismaël et Hannah arriveront-ils à échapper à l’âme damnée qui semble les poursuivre ?
Mon avis
Quelle est donc cette force criminelle qui a pris possession du vieux manoir de Gravenmoore ? Pourquoi tue t-elle Hannah et cherche à assassiner, Simone et ses enfants ? Ismaël le petit ami d’Irène est-il aussi en danger ? Qui est Lazarus, le fabricant d’automates qui semblent presque vivants ? C’est à la fin du roman que toutes ces questions trouveront réponses….Car Irène et Ismaël trouveront la clé de ces mystères mais pour cela, ils vont devoir traverser les pièges tendus par l’ombre, une ombre jalouse, plus noire que les recoins les plus obscurs. Une voix qui émerge d’on ne sait ou, une mort suspect, un phare hanté, une mystérieuse chambre d’enfant et l’ombre sans cesse présente….De quoi créer de l’angoisse et surtout de la terreur lorsque le mal enlève son masque…. Un roman fantastique et magique qui est le dernier volet de la trilogie après " Le prince de la Brume et le Palais de Minuit ". Adultes et adolescents qui aiment le fantastique liront ce livre avec plaisir……4,5/5
lalyre- Nombre de messages : 5801
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Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Bon ben, il faut que je lise les deux premiers avant celui là si j'ai bien compris. Voilà comment augmenter une LAL de 3 bouquins avec juste un seul avis
belledenuit- Nombre de messages : 1067
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Tu peux le lire sans avoir lu les 2 premiers car on n'y retrouve guère les personnagesbelledenuit a écrit:Bon ben, il faut que je lise les deux premiers avant celui là si j'ai bien compris. Voilà comment augmenter une LAL de 3 bouquins avec juste un seul avis
Bonne lecture
lalyre- Nombre de messages : 5801
Age : 92
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Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Je le note aussi il serai tant qu'il soit auteur du mois ce monsieur car sinon je n'y arriverais pas
matw25- Nombre de messages : 865
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon
Edition Grasset
Résumé :
Nous sommes à Barcelone en 1945. Daniel Sempere a 10 ans. Son père l'emmène dans un endroit exceptionnel : Le cimetière des livres oubliés. Il doit y choisir un livre et le sortir ainsi de l'oubli. Ce livre "L'ombre du vent" à travers son auteur, Julian Carax, l'entraîne dans toute une série de découvertes, mésaventures, secrets de famille..., dans une Barcelone pleine de secrets.
Ma critique :
L'intrigue est bien construite et finement amenée. Les personnages de Daniel et de Julian s'emboitent parfaitement. C'est une idée originale.
J'ai trouvé beaucoup de mystère, un envoûtement réel à travers la ville de Barcelone, une poésie et un contexte historique que l'auteur m'a fait découvrir (la guerre civile Espagnole) .
Les principales critiques négatives parlent de longueur. Personnellement, je ne l'ai pas ressenti. L'auteur multiplie les rebondissements et j'ai adoré arpenter les rues de Barcelone avec les yeux de Daniel, Fermin, Julian...
Une belle découverte.
Ma note : 4.5/5
Edition Grasset
Résumé :
Nous sommes à Barcelone en 1945. Daniel Sempere a 10 ans. Son père l'emmène dans un endroit exceptionnel : Le cimetière des livres oubliés. Il doit y choisir un livre et le sortir ainsi de l'oubli. Ce livre "L'ombre du vent" à travers son auteur, Julian Carax, l'entraîne dans toute une série de découvertes, mésaventures, secrets de famille..., dans une Barcelone pleine de secrets.
Ma critique :
L'intrigue est bien construite et finement amenée. Les personnages de Daniel et de Julian s'emboitent parfaitement. C'est une idée originale.
J'ai trouvé beaucoup de mystère, un envoûtement réel à travers la ville de Barcelone, une poésie et un contexte historique que l'auteur m'a fait découvrir (la guerre civile Espagnole) .
Les principales critiques négatives parlent de longueur. Personnellement, je ne l'ai pas ressenti. L'auteur multiplie les rebondissements et j'ai adoré arpenter les rues de Barcelone avec les yeux de Daniel, Fermin, Julian...
Une belle découverte.
Ma note : 4.5/5
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Lecture en cours : En un monde parfait - Laura Kasischke
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Fabienne- Nombre de messages : 1957
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Le Prince de la brume
Résumé : voir commentaire de Lalyre
Ce petit roman où fantastique et réalité se côtoient se lit d'une traite.
L'écriture de
Carlos Ruiz Zafon est toujours aussi agréable à lire. N'étant pas
amatrice de fantastique, je me suis pourtant laissée bercée par ce
récit, ou plutôt par ce conte, joliment mis en scène.
J'avais adoré L'ombre du vent, lu il y a plusieurs années. J'ai été heureuse de retrouver le plume de cet auteur espagnol.
Ma note : 3,25/5
Résumé : voir commentaire de Lalyre
Ce petit roman où fantastique et réalité se côtoient se lit d'une traite.
L'écriture de
Carlos Ruiz Zafon est toujours aussi agréable à lire. N'étant pas
amatrice de fantastique, je me suis pourtant laissée bercée par ce
récit, ou plutôt par ce conte, joliment mis en scène.
J'avais adoré L'ombre du vent, lu il y a plusieurs années. J'ai été heureuse de retrouver le plume de cet auteur espagnol.
Ma note : 3,25/5
Pistoufle- Nombre de messages : 1487
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
L' ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon
Livre de poche / 634 pages
Quatrième de couverture :
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Des dizaines de fois commencé, des dizaines de fois reposé, je viens enfin de parvenir à le terminer.
Ce ne devait pas être une lecture pour moi, je m' y suis ennuyée d' un bout à l'autre même si certains passages parvenaient de temps à autre à raviver mon intérêt. C'est un ouvrage qui m' a paru calibré pour plaire, une dose de mystère, une dose d' humour, des personnages attachants par leur blessure ou leur caractères, je voyais trop de ficelle.
Une grosse déception bien loin du coup de cœur.
Livre de poche / 634 pages
Quatrième de couverture :
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l'Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Des dizaines de fois commencé, des dizaines de fois reposé, je viens enfin de parvenir à le terminer.
Ce ne devait pas être une lecture pour moi, je m' y suis ennuyée d' un bout à l'autre même si certains passages parvenaient de temps à autre à raviver mon intérêt. C'est un ouvrage qui m' a paru calibré pour plaire, une dose de mystère, une dose d' humour, des personnages attachants par leur blessure ou leur caractères, je voyais trop de ficelle.
Une grosse déception bien loin du coup de cœur.
3/5
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Lectures en cours : Indépendance de Richard Ford ([i]Frank Bascombe T2) $
Dernières lectures : L' Intérêt de l' enfant de Ian McEWAN (4/5), Un week-end dans le Michigan de Richard Ford (4,5/5)(Frank Bascombe T1), [/i]L' Homme du verger d' Amanda COPLIN (4/5), La Pyramide de glace J-F Parot (3,75/5)(T12)
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Le prisonnier du ciel
Ruiz Zafon Carlos
Robert Laffont 2012
340 pages
Quatrième de couverture
Ruiz Zafon Carlos
Robert Laffont 2012
340 pages
Quatrième de couverture
"Barcelone, Noël 1957. À la librairie Sempere, un inquiétant personnage achète un exemplaire du Comte de Monte Cristo. Puis il l'offre à Fermín, accompagné d'une menaçante dédicace. La vie de Fermín vole alors en éclats. Qui est cet inconnu ? De quels abîmes du passé surgit-il ? Interrogé par Daniel, Fermín révèle ce qu'il a toujours caché. La terrible prison de Montjuïc en 1939. Une poignée d'hommes condamnés à mourir lentement dans cette antichambre de l'enfer. Parmi eux Fermín et David Martín, l'auteur de La Ville des maudits. Une évasion prodigieuse et un objet volé? Dix-huit ans plus tard, quelqu'un crie vengeance. Des mensonges enfouis refont surface, des ombres oubliées se mettent en mouvement, la peur et la haine rôdent. Foisonnant de suspense et d'émotion, Le Prisonnier du ciel nous rapproche pas à pas de l'énigme cachée au cœur du Cimetière des Livres oubliés." Mon avis Voici un roman ou le décor et l’ambiance m’a donné le désir d’en savoir toujours plus au fil des pages, c’est compréhensible puisqu’on se trouve dans une librairie en 1957 ou l’on retrouve Daniel aidant son père avec Fermin, un personnage assez drôle mais cependant attachant. Il faut aussi dire que ce sont des personnages dont nous avons déjà fait connaissance dans les deux premiers livres 1939…Revenons avec Fermin qui par son récit à Daniel, nous fait découvrir l’horreur des prisons en Espagne sous le régime de Franco. Fermin sait de quoi il parle ayant séjourné dans une de ces prisons sous le joug de Mauricio Walls, un homme machiavélique. Il y a aussi David Martin, un prisonnier qui n’a pas toute sa tête mais les apparences sont parfois trompeuses….. Mais revenons en 1959, ou la vie suit son cours, sinon que…….J’ai très envie de m’étendre plus sur cette histoire forte avec un passé interpellant beaucoup de questions, j’ai beaucoup aimé cette façon d’écrire sur les livres, car au cœur de ce roman psychologique, l’auteur rend un hommage chaleureux à la littérature. En lisant les premières parties du roman, je voyais un coup de cœur se profiler, mais le dernier chapitre m’a carrément fait changer d’avis par sa lenteur, certes il y a des rebondissements mais ils ne m’ont pas tellement intéressée bien que j’ai beaucoup apprécié le roman ou j’ai trouvé la fin un peu simplistece qui m’a laissée sur ma faim. dommage….. 4,5/5 |
lalyre- Nombre de messages : 5801
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
LE JEU DE L'ANGE
Dans la turbulente Barcelone des années 1920, David, un jeune écrivain hanté par un amour impossible, reçoit l'offre inespérée d'un mystérieux éditeur : écrire un livre comme il n'en a jamais existé, "une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d'être tués", en échange d'une fortune et, peut-être, de beaucoup plus.
Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique de destruction se met en place autour de lui, menaçant les êtres qu'il aime le plus au monde. En moyennant son talent d'écrivain, David aurait-il vendu son âme au diable ?
Moins bien que L'ombre du vent, qui est un des livres qui m'a donné le goût de la lecture, Le Jeu de l'ange reste un roman assez efficace.
On retrouve l'univers de Carlos Ruiz Zafon, emprunt de fantastique avec ce mystérieux personnage d'Andrea Correli. Mais l'intrigue est très tarabiscotée, j'ai parfois été perdue dans l'enquête que mène David sur la disparition de l'ancien propriétaire de sa maison.
En revanche j'ai beaucoup aimé les passages avec Isabella, une gamine très attachante.
Malgré quelques longueurs c'est un roman qui tient en haleine jusqu'à la fin, très surprenante.
3.5/5
Dans la turbulente Barcelone des années 1920, David, un jeune écrivain hanté par un amour impossible, reçoit l'offre inespérée d'un mystérieux éditeur : écrire un livre comme il n'en a jamais existé, "une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d'être tués", en échange d'une fortune et, peut-être, de beaucoup plus.
Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique de destruction se met en place autour de lui, menaçant les êtres qu'il aime le plus au monde. En moyennant son talent d'écrivain, David aurait-il vendu son âme au diable ?
Moins bien que L'ombre du vent, qui est un des livres qui m'a donné le goût de la lecture, Le Jeu de l'ange reste un roman assez efficace.
On retrouve l'univers de Carlos Ruiz Zafon, emprunt de fantastique avec ce mystérieux personnage d'Andrea Correli. Mais l'intrigue est très tarabiscotée, j'ai parfois été perdue dans l'enquête que mène David sur la disparition de l'ancien propriétaire de sa maison.
En revanche j'ai beaucoup aimé les passages avec Isabella, une gamine très attachante.
Malgré quelques longueurs c'est un roman qui tient en haleine jusqu'à la fin, très surprenante.
3.5/5
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Le labyrinthe des esprits
Carlos Ruiz Zafon
Editions Actes Sud 2 mai 2018
840 pages
Dans la Barcelone franquiste des années de plomb, la disparition d'un ministre déchaîne une cascade d'assassinats, de représailles et de mystères. Mais pour contrer la censure, la propagande et la terreur, la jeune Alicia Gris, tout droit sortie des entrailles de ce régime nauséabond, est habile à se jouer des miroirs et des masques. Son enquête l'amène à croiser la route du libraire Daniel Sempere. Il n'est plus ce petit garçon qui trouva un jour dans les travées du Cimetière des Livres oubliés l'ouvrage qui allait changer sa vie, mais un adulte au coeur empli de tristesse et de colère. Le silence qui entoure la mort de sa mère a ouvert dans son âme un abîme dont ni son épouse Bea, ni son jeune fils Juliàn, ni son fidèle compagnon Fermin ne parviennent à le tirer. En compagnie d'Alicia, tous les membres du clan Sempere affrontent la vérité sur l'histoire secrète de leur famille et, quel qu'en soit le prix à payer, voguent vers l'accomplissement de leur destin.
Copié en 1ère page
Cette nuit j’ai rêvé que je retournais au Cimetière des Livres Oubliés. j’avais de nouveau dix ans er je me réveillais dans mon ancienne chambre pour sentir que le visage de ma mère m’avait abandonné. Le livre commence comme cela pour dire que ce ivre fait partie d’un cycle de romans qui s’entrecroisent dans l’univers littéraire du Cimetière des Livres Oubliés. Les romans qui composent ce cycle sont liés entre eux par des personnages et des fils qui tissent des ponts narratifs et thématiques, même si chacun offre une histoire complète, indépendante et se suffisant à elle-même.
Mon avis
C’est en 1959, entre Madrid et Barcelone que l’histoire principale se déroule, un des principaux personnages est Alicia Gris qui fait partie du Service Secret sous le régime franquiste. On connaît déjà Mauricio Walls, qui faisait partie du roman précédent, cet homme fit mourir beaucoup de gens qui étaient prisonniers dans les caves obscurs du Château Monjuic dont il en était le principal dirigeant. Un certain Leandro Montalvo demandant l’aide de Alicia pour retrouver le-dit Walls qui a disparu mais aussi pour résoudre une histoire étroitement liée à la famille Fermin Semper, libraire. Il est aussi question de trois écrivains maudits tels que Julian Carax, David Martin et Victor Mataix qui tous tombent par la faute de leurs écrits, ou de ce qu’on leur a demandé d’écrire, Car le pouvoir des mots est très fort étant pour eux la seul manière de s’exprimer mais cela à quel prix. Un roman sombre avec des passages un peu trop longs, qui se lit comme un labyrinthe de phrases, impliquant des découvertes avec des intrigues, passion, tortures, aventures et vengeance, écrit avec maîtrise et intelligence, c’est un formidable hommage à la littérature. Et ce qui ne gâte rien une belle couverture 4,5/5
Les divers romans de la série du Cimetière des Livres Oubliés peuvent être lus dans n’importe quel ordre. Ce qui permet au lecteur d’explorer le labyrinthe d’histoire en y accédant par différentes portes et différents chemins qui, mis bout à bout, le conduiront au coeur du récit.
Carlos Ruiz Zafon
Editions Actes Sud 2 mai 2018
840 pages
Présentation de l'éditeur
Dans la Barcelone franquiste des années de plomb, la disparition d'un ministre déchaîne une cascade d'assassinats, de représailles et de mystères. Mais pour contrer la censure, la propagande et la terreur, la jeune Alicia Gris, tout droit sortie des entrailles de ce régime nauséabond, est habile à se jouer des miroirs et des masques. Son enquête l'amène à croiser la route du libraire Daniel Sempere. Il n'est plus ce petit garçon qui trouva un jour dans les travées du Cimetière des Livres oubliés l'ouvrage qui allait changer sa vie, mais un adulte au coeur empli de tristesse et de colère. Le silence qui entoure la mort de sa mère a ouvert dans son âme un abîme dont ni son épouse Bea, ni son jeune fils Juliàn, ni son fidèle compagnon Fermin ne parviennent à le tirer. En compagnie d'Alicia, tous les membres du clan Sempere affrontent la vérité sur l'histoire secrète de leur famille et, quel qu'en soit le prix à payer, voguent vers l'accomplissement de leur destin.
Copié en 1ère page
Cette nuit j’ai rêvé que je retournais au Cimetière des Livres Oubliés. j’avais de nouveau dix ans er je me réveillais dans mon ancienne chambre pour sentir que le visage de ma mère m’avait abandonné. Le livre commence comme cela pour dire que ce ivre fait partie d’un cycle de romans qui s’entrecroisent dans l’univers littéraire du Cimetière des Livres Oubliés. Les romans qui composent ce cycle sont liés entre eux par des personnages et des fils qui tissent des ponts narratifs et thématiques, même si chacun offre une histoire complète, indépendante et se suffisant à elle-même.
Mon avis
C’est en 1959, entre Madrid et Barcelone que l’histoire principale se déroule, un des principaux personnages est Alicia Gris qui fait partie du Service Secret sous le régime franquiste. On connaît déjà Mauricio Walls, qui faisait partie du roman précédent, cet homme fit mourir beaucoup de gens qui étaient prisonniers dans les caves obscurs du Château Monjuic dont il en était le principal dirigeant. Un certain Leandro Montalvo demandant l’aide de Alicia pour retrouver le-dit Walls qui a disparu mais aussi pour résoudre une histoire étroitement liée à la famille Fermin Semper, libraire. Il est aussi question de trois écrivains maudits tels que Julian Carax, David Martin et Victor Mataix qui tous tombent par la faute de leurs écrits, ou de ce qu’on leur a demandé d’écrire, Car le pouvoir des mots est très fort étant pour eux la seul manière de s’exprimer mais cela à quel prix. Un roman sombre avec des passages un peu trop longs, qui se lit comme un labyrinthe de phrases, impliquant des découvertes avec des intrigues, passion, tortures, aventures et vengeance, écrit avec maîtrise et intelligence, c’est un formidable hommage à la littérature. Et ce qui ne gâte rien une belle couverture 4,5/5
Les divers romans de la série du Cimetière des Livres Oubliés peuvent être lus dans n’importe quel ordre. Ce qui permet au lecteur d’explorer le labyrinthe d’histoire en y accédant par différentes portes et différents chemins qui, mis bout à bout, le conduiront au coeur du récit.
lalyre- Nombre de messages : 5801
Age : 92
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Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
LE JEU DE L’ANGE
Carlos RUIZ ZAFON
POCKET 667 Pages
Résumé (Editeur)
« Je t'emmènerai dans un endroit secret où les livres ne meurent jamais et où personne ne peut les détruire. »
Barcelone, années 1920. David Martin, dix-sept ans, travaille au journal La Voz de la Industria. Son existence bascule un soir de crise au journal : il faut trouver de toute urgence un remplaçant au feuilletoniste dominical. Sur les conseils de Pedro Vidal, chroniqueur à ses heures, David est choisi. Son feuilleton rencontre un immense succès et, pour la première fois, David est payé pour ce qu'il aime le plus au monde : écrire.
En plein succès, David accepte l'offre de deux éditeurs peu scrupuleux : produire à un rythme effréné des feuilletons sous pseudonyme. Mais après quelques années, à bout de force, David va renoncer. Ses éditeurs lui accordent alors neuf mois pour écrire son propre roman. Celui-ci, boudé par la critique et sabordé par les éditeurs, est un échec. David est d'autant plus désespéré que la jeune fille dont il est amoureux depuis toujours - et à laquelle le livre est secrètement dédié - va épouser Pedro Vidal.
Son ami libraire, Sempere, choisit ce moment pour l'emmener au Cimetière des livres oubliés, où David dépose le sien. Puis arrive une offre extraordinaire : un éditeur parisien, Corelli, lui propose, moyennant cent mille francs, une fortune, de créer un texte fondateur, sorte de nouvelle Bible, « une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d'être tués, d'offrir leur âme ».
Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique du meurtre se met en place autour de David. En vendant sa liberté d'écrivain, aurait-il vendu son âme au diable ? Épouvanté et fasciné, David se lance dans une enquête sur ce curieux éditeur, dont les pouvoirs semblent transcender le temps et l'espace.
Mon avis :
En mains dans une bouquinerie, ce livre m’a renvoyé à ma lecture, d’y il y a bien longtemps déjà, de « L’ombre du vent ».
M’est revenu le souvenir d’une histoire originale et surprenante et d’une écriture très romanesque. D’une intrigue mystérieuse où l’imaginaire finement dosé avait bluffé mon attention de lecteur réaliste. Bref d’un bon souvenir. Pourtant, jamais l’idée m’était venue de poursuivre l’œuvre de cet écrivain, comme si une petite voix angélique me disait « Arrête-là Dkois. Reste sur cette bonne impression. N’en n’abuse pas ».
Dans cette bouquinerie, donc, une autre petite voix, quelque peu plus diabolique, m’a dit « Allons Dkois, achète-le ce livre. Pourquoi te priver. Pourquoi te déplairai-t-il ? ». Et me voilà donc propriétaire de ce livre…et lecteur. Et même ex-lecteur, car le voici terminé.
Quelle petite voix ma raison aurait donc dû-t-elle écouter ?
Si je m’en tiens à la première partie du livre, à la voix du diable.
Oui, parce que le décor se plante admirablement. Parce que les personnages sont rapidement attachants et que le mystère, que l’on attend, s’installe astucieusement. Comme dans le souvenir de ma lecture précédente l’écriture, qui mélange romanesque et fantastique, emporte promptement le lecteur vers l’intrigue.
Mais voilà, à cette première partie succède, et c’est logique, une seconde. Et dans cette seconde, on bascule maladroitement dans une débauche de personnages et de situations les plus rocambolesques les unes que les autres. L’intrigue devient totalement incompréhensible (du moins me concernant). Toute la poésie qui faisait le charme du début se transforme en un scénario d'une mauvaise série policière. Au fil de ma lecture, je me suis réellement demandé si l’auteur lui-même savait où il emmenait son personnage tant les événements se suivent sans liant. Toujours dans l’attente d’une amélioration et bien sûr de la découverte de l’issue de l’histoire, j’ai accéléré la rotation des pages. Peine perdue.
Si mon souvenir est lointain, je considère cette œuvre comme une pâle copie de « L’ombre du vent ». Cet écrivain s’est-il fait spécialiste d’un univers dont il a du mal à sortir et surtout à faire évoluer ???
Si rats et rates vous avez la réponse…
Moralité : Toujours écouter la voix de la sagesse !!!
Ma note 2.5 / 5
Carlos RUIZ ZAFON
POCKET 667 Pages
Résumé (Editeur)
« Je t'emmènerai dans un endroit secret où les livres ne meurent jamais et où personne ne peut les détruire. »
Barcelone, années 1920. David Martin, dix-sept ans, travaille au journal La Voz de la Industria. Son existence bascule un soir de crise au journal : il faut trouver de toute urgence un remplaçant au feuilletoniste dominical. Sur les conseils de Pedro Vidal, chroniqueur à ses heures, David est choisi. Son feuilleton rencontre un immense succès et, pour la première fois, David est payé pour ce qu'il aime le plus au monde : écrire.
En plein succès, David accepte l'offre de deux éditeurs peu scrupuleux : produire à un rythme effréné des feuilletons sous pseudonyme. Mais après quelques années, à bout de force, David va renoncer. Ses éditeurs lui accordent alors neuf mois pour écrire son propre roman. Celui-ci, boudé par la critique et sabordé par les éditeurs, est un échec. David est d'autant plus désespéré que la jeune fille dont il est amoureux depuis toujours - et à laquelle le livre est secrètement dédié - va épouser Pedro Vidal.
Son ami libraire, Sempere, choisit ce moment pour l'emmener au Cimetière des livres oubliés, où David dépose le sien. Puis arrive une offre extraordinaire : un éditeur parisien, Corelli, lui propose, moyennant cent mille francs, une fortune, de créer un texte fondateur, sorte de nouvelle Bible, « une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d'être tués, d'offrir leur âme ».
Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique du meurtre se met en place autour de David. En vendant sa liberté d'écrivain, aurait-il vendu son âme au diable ? Épouvanté et fasciné, David se lance dans une enquête sur ce curieux éditeur, dont les pouvoirs semblent transcender le temps et l'espace.
Mon avis :
En mains dans une bouquinerie, ce livre m’a renvoyé à ma lecture, d’y il y a bien longtemps déjà, de « L’ombre du vent ».
M’est revenu le souvenir d’une histoire originale et surprenante et d’une écriture très romanesque. D’une intrigue mystérieuse où l’imaginaire finement dosé avait bluffé mon attention de lecteur réaliste. Bref d’un bon souvenir. Pourtant, jamais l’idée m’était venue de poursuivre l’œuvre de cet écrivain, comme si une petite voix angélique me disait « Arrête-là Dkois. Reste sur cette bonne impression. N’en n’abuse pas ».
Dans cette bouquinerie, donc, une autre petite voix, quelque peu plus diabolique, m’a dit « Allons Dkois, achète-le ce livre. Pourquoi te priver. Pourquoi te déplairai-t-il ? ». Et me voilà donc propriétaire de ce livre…et lecteur. Et même ex-lecteur, car le voici terminé.
Quelle petite voix ma raison aurait donc dû-t-elle écouter ?
Si je m’en tiens à la première partie du livre, à la voix du diable.
Oui, parce que le décor se plante admirablement. Parce que les personnages sont rapidement attachants et que le mystère, que l’on attend, s’installe astucieusement. Comme dans le souvenir de ma lecture précédente l’écriture, qui mélange romanesque et fantastique, emporte promptement le lecteur vers l’intrigue.
Mais voilà, à cette première partie succède, et c’est logique, une seconde. Et dans cette seconde, on bascule maladroitement dans une débauche de personnages et de situations les plus rocambolesques les unes que les autres. L’intrigue devient totalement incompréhensible (du moins me concernant). Toute la poésie qui faisait le charme du début se transforme en un scénario d'une mauvaise série policière. Au fil de ma lecture, je me suis réellement demandé si l’auteur lui-même savait où il emmenait son personnage tant les événements se suivent sans liant. Toujours dans l’attente d’une amélioration et bien sûr de la découverte de l’issue de l’histoire, j’ai accéléré la rotation des pages. Peine perdue.
Si mon souvenir est lointain, je considère cette œuvre comme une pâle copie de « L’ombre du vent ». Cet écrivain s’est-il fait spécialiste d’un univers dont il a du mal à sortir et surtout à faire évoluer ???
Si rats et rates vous avez la réponse…
Moralité : Toujours écouter la voix de la sagesse !!!
Ma note 2.5 / 5
Dkois- Nombre de messages : 3550
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
L'ombre du vent
À Barcelone au sortir de la guerre, un garçon se voit confier un bouquin du cimetière des livres oubliés. Par ce livre, il découvre un monde insoupçonné, mais met ainsi le pieds dans une mécanique infernale qui remonte à avant la guerre civile et implique de nombreux personnages louches toujours présents dans la ville. Au fil des ans, Daniel passe à l’âge adulte, découvre sa ville, l’amour et la trahison. Les personnages louches deviennent aussi dangereux : le livre caché devient fortement convoité, les blessures et les morts s’accumulent. Quels mystères tente-t-on de cacher?
J’ai d’abord été très intéressé par l’intrigue, surtout qu’elle traite de livre. J’ai aussi adoré me promener dans Barcelone avec les personnages; je classerais ce livre dans la catégorie « roman touristique », car l’écrivain veut nous faire longer les principales artères, arrêter sur les principales places et visiter des commerces encore ouverts aujourd’hui. Mais à la longue, car c’est très long, les personnages se multiplient ainsi que les revirements et les couches de mystère. Le style est aussi très descriptif (pas seulement des décors, mais aussi de toutes les actions) et basé sur des dialogues. C’est un style que j’ai déjà aimé, mais moins maintenant. En bref, j’ai lu rapidement le livre : durant la première moitié par passion mais ensuite pour passer à autre chose. Au point que je ne me souviens plus de la conclusion, qui avait fait quoi finalement?
3,5/5
RR
À Barcelone au sortir de la guerre, un garçon se voit confier un bouquin du cimetière des livres oubliés. Par ce livre, il découvre un monde insoupçonné, mais met ainsi le pieds dans une mécanique infernale qui remonte à avant la guerre civile et implique de nombreux personnages louches toujours présents dans la ville. Au fil des ans, Daniel passe à l’âge adulte, découvre sa ville, l’amour et la trahison. Les personnages louches deviennent aussi dangereux : le livre caché devient fortement convoité, les blessures et les morts s’accumulent. Quels mystères tente-t-on de cacher?
J’ai d’abord été très intéressé par l’intrigue, surtout qu’elle traite de livre. J’ai aussi adoré me promener dans Barcelone avec les personnages; je classerais ce livre dans la catégorie « roman touristique », car l’écrivain veut nous faire longer les principales artères, arrêter sur les principales places et visiter des commerces encore ouverts aujourd’hui. Mais à la longue, car c’est très long, les personnages se multiplient ainsi que les revirements et les couches de mystère. Le style est aussi très descriptif (pas seulement des décors, mais aussi de toutes les actions) et basé sur des dialogues. C’est un style que j’ai déjà aimé, mais moins maintenant. En bref, j’ai lu rapidement le livre : durant la première moitié par passion mais ensuite pour passer à autre chose. Au point que je ne me souviens plus de la conclusion, qui avait fait quoi finalement?
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
L'OMBRE DU VENT
Le Livre de Poche 635 pages
Ma note : 4/5
Quatrième de couverture : Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant est ainsi convié par son père à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y "adopter" un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets "enterrés dans l'âme de la ville" : L'Ombre du vent.
Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes. Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Mon avis : J'ai terminé ce livre juste avant le décès de l'auteur (RIP). Son nom revient régulièrement sur les forums et les groupes de lecture, d'où mon envie de découvrir sans vraiment savoir à quoi m'attendre.
J'ai découvert un univers plein de livres et de magie. Daniel Semper découvre un livre d'un auteur qui s'appelle Julian Carax, alors qu'il n'est encore qu'un enfant qui a perdu sa mère. La vie de cet auteur va vite s'avérer entourée de mystère. Daniel n'aura de cesse de vouloir en découvrir plus sur ce personnage et ce , pendant plusieurs années. Il va mener une enquête où chaque réponse apportera son lot de nouvelles questions.
J'ai beaucoup apprécié cette lecture. Je me suis immergée dans cet univers aux accents fantastiques. La plume aérienne vous emporte du début à la fin. Les personnages sont entiers, recherchés. L'auteur ne se contente pas d'effleurer les émotions et les personnalités, il va chercher l'âme humaine et s'adresse au lecteur avec sincérité. C'est un peu plus de 600 pages que j'ai aimé voir passer et qui laissent un bon souvenir.
Le Livre de Poche 635 pages
Ma note : 4/5
Quatrième de couverture : Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant est ainsi convié par son père à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y "adopter" un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets "enterrés dans l'âme de la ville" : L'Ombre du vent.
Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes. Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
Mon avis : J'ai terminé ce livre juste avant le décès de l'auteur (RIP). Son nom revient régulièrement sur les forums et les groupes de lecture, d'où mon envie de découvrir sans vraiment savoir à quoi m'attendre.
J'ai découvert un univers plein de livres et de magie. Daniel Semper découvre un livre d'un auteur qui s'appelle Julian Carax, alors qu'il n'est encore qu'un enfant qui a perdu sa mère. La vie de cet auteur va vite s'avérer entourée de mystère. Daniel n'aura de cesse de vouloir en découvrir plus sur ce personnage et ce , pendant plusieurs années. Il va mener une enquête où chaque réponse apportera son lot de nouvelles questions.
J'ai beaucoup apprécié cette lecture. Je me suis immergée dans cet univers aux accents fantastiques. La plume aérienne vous emporte du début à la fin. Les personnages sont entiers, recherchés. L'auteur ne se contente pas d'effleurer les émotions et les personnalités, il va chercher l'âme humaine et s'adresse au lecteur avec sincérité. C'est un peu plus de 600 pages que j'ai aimé voir passer et qui laissent un bon souvenir.
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Lecture en cours : La guerre de la faille I : Magicien - L'apprenti de Raymond E. Feist
PAL : 571
Livres lus depuis le début de l'année : 17 (7478 pages)
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Marina
Oscar est élève d’internat qui ne voit que rarement ses parents. Il aime se balader seul dans les quartiers moins fréquentés de Barcelone, entre autre Sarrià. Il rencontre, et devient ami, de la charmante Marina, qui elle ne vit qu’avec son père dans une grande demeure un peu abandonnée. Leur curiosité pour le manège étrange d’une vieille dame au cimetière les amène à remonter le fil d’une intrigue très complexe, inquiétante et dangereuse, dévoilant une histoire sombre du passé récent de la ville.
Je n’avais pas été convaincu par L’ombre du vent, et ici j’ai eu l’impression de retrouver les mêmes fils, comme une repise de son célèbre roman : personnage principal adolescent, découverte de la vie, de l’amour et de la méchanceté des hommes, balades dans Barcelone, autant dans les quartiers excentrés (Sarrià au lieu de Tibidabo), mais aussi les ramblas et le quartier gothique très connus des touristes. Les méchants sont vraiment méchants, l’intrigue est mystérieuse avec débordements sur le surnaturelle (du réalisme magique?), les fils de l’intrigue se nouent au fil des rencontres séquentielles avec les personnages, certains contredisant toutefois les précédents. Et aussi quelques scènes haletantes hautes en action, surtout vers la fin. Ce n’est pas un style pour moi, alors ici j’ai encore moins aimé que L’ombre du vent, car il n’y avait pas l’attrait des livres comme personnages.
2,5/5
RR
Oscar est élève d’internat qui ne voit que rarement ses parents. Il aime se balader seul dans les quartiers moins fréquentés de Barcelone, entre autre Sarrià. Il rencontre, et devient ami, de la charmante Marina, qui elle ne vit qu’avec son père dans une grande demeure un peu abandonnée. Leur curiosité pour le manège étrange d’une vieille dame au cimetière les amène à remonter le fil d’une intrigue très complexe, inquiétante et dangereuse, dévoilant une histoire sombre du passé récent de la ville.
Je n’avais pas été convaincu par L’ombre du vent, et ici j’ai eu l’impression de retrouver les mêmes fils, comme une repise de son célèbre roman : personnage principal adolescent, découverte de la vie, de l’amour et de la méchanceté des hommes, balades dans Barcelone, autant dans les quartiers excentrés (Sarrià au lieu de Tibidabo), mais aussi les ramblas et le quartier gothique très connus des touristes. Les méchants sont vraiment méchants, l’intrigue est mystérieuse avec débordements sur le surnaturelle (du réalisme magique?), les fils de l’intrigue se nouent au fil des rencontres séquentielles avec les personnages, certains contredisant toutefois les précédents. Et aussi quelques scènes haletantes hautes en action, surtout vers la fin. Ce n’est pas un style pour moi, alors ici j’ai encore moins aimé que L’ombre du vent, car il n’y avait pas l’attrait des livres comme personnages.
2,5/5
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Réaliste-romantique- Nombre de messages : 3254
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Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Le Prince de la brume
En 1943 la famille Carver quitte la ville pour habiter une maison dans un village de pêcheurs au bord de l’Atlantique Cette maison a appartenu à Joseph et Eva Fleischman ;ils l’ont quitté quand leur fils Jacob s’est noyé . Très vite des phénomènes étranges se produisent dans la maison et Max l'ainé trouve un jardin ou sont érigées des statues inquiétantes représentant des silhouettes de cirques Max et sa soeur Alicia font la connaissance de Roland le petit fils du gardien du phare
J’avais envie de relire Carlos Ruiz Zafon j’avais beaucoup aimé A l’ombre du vent .Le prince de la brume est un de ses premiers romans paru comme roman jeunesse en 1992.J’ai plonge très vite dans l’histoire au fil des pages le récit monte en puissance et devient haletant . Cela m’a fait penser à Ca de Stephen King . Si j'avais pu j'aurais lu ce court roman d'une traite
4,5/5
En 1943 la famille Carver quitte la ville pour habiter une maison dans un village de pêcheurs au bord de l’Atlantique Cette maison a appartenu à Joseph et Eva Fleischman ;ils l’ont quitté quand leur fils Jacob s’est noyé . Très vite des phénomènes étranges se produisent dans la maison et Max l'ainé trouve un jardin ou sont érigées des statues inquiétantes représentant des silhouettes de cirques Max et sa soeur Alicia font la connaissance de Roland le petit fils du gardien du phare
J’avais envie de relire Carlos Ruiz Zafon j’avais beaucoup aimé A l’ombre du vent .Le prince de la brume est un de ses premiers romans paru comme roman jeunesse en 1992.J’ai plonge très vite dans l’histoire au fil des pages le récit monte en puissance et devient haletant . Cela m’a fait penser à Ca de Stephen King . Si j'avais pu j'aurais lu ce court roman d'une traite
4,5/5
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La Terre - Zola
Re: Carlos RUIZ ZAFON (Espagne)
Éditeur : Pocket (8 novembre 2012)
Langue : Français
Poche : 192 pages
ISBN-10 : 2266212567
ISBN-13 : 978-2266212564
Présentation de l'éditeur:
1943. Menacée par la guerre, la famille Carver gagne la côte anglaise et emménage dans une belle maison de station balnéaire. Mais un démon les y a précédés... Intrigués par l'histoire trouble de la maison et ses ombres rôdeuses, Max et Alicia, les enfants Carver, explorent les alentours : le jardin aux statues si expressives, l'épave du cargo échoué dans la baie... De redoutables secrets les attendent. D'un Prince, surgi de la brume, la malédiction attend son accomplissement.
Commentaire:
Ce roman est un roman jeunesse mais Carlos Ruiz Zafon a expliqué que son but en l'écrivant était qu'il puisse plaire aux jeunes, comme à leurs parents et grands parents. Le résultat est réussi puisque ce conte fascinant est à la portée de tous et peut enchanter. Au départ très ancrée dans la réalité puisque le récit commence pendant la deuxième guerre mondiale, l'intrigue se gorge progressivement de fantastique et nous fait suivre des jeunes gens innocents mais perspicaces et solidaires. Ils sont attachants et on sent dès le départ une menace diffuse autour d'eux et celle-ci se précise peu à peu...
4/5
nauticus45- Nombre de messages : 2413
Age : 47
Location : Haut-Rhin, France
Date d'inscription : 27/10/2008
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