Emile ZOLA (France)
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Re: Emile ZOLA (France)
Dodie, je me joins à toi pour cet avis. C'est totalement le souvenir que j'en ai. Que de végétations ! A la fin du livre, j'était contente de me balader en ville Mais ne t'en fait pas Cyrielle, j'ai vu de très belles critiques de personnes qui ont adoré se retrouver au milieu de ce jardin d'Eden !
Dernière édition par Patience le Dim 30 Juin 2019 - 19:17, édité 1 fois
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Re: Emile ZOLA (France)
Merci Patience pour ton avis . Mais oui Cyrielle ne te laisse pas influencer !!!!!
Re: Emile ZOLA (France)
J'arrive pour rehausser la note de La faute de l'abbé Mouret .
J'ai aimé les descriptions de la nature et du Paradou qui sont omniprésentes dans le roman - Alors oui il y a quelques longueurs ,le pauvre abbé tergiverse. Pas facile de choisir entre la belle Albine du Paradou et la vierge Marie lui qui a voue sa vie naturellement à la prêtrise . Il y a aussi des personnages interessants l'oncle D'Albine que l'on appelle le philosophe , la Teuse et le detestable frère Archangias -A trvavers ce dernier Zola fait une véritable critique de ces prêtres plus "pères fouettards" que sauveurs d'âmes.
J'avais un bon souvenir de ma première lecture il y a 20 ans . Ecouté en audio c'est finalement plus la voix que je n'ai pas aimé
4/5
J'ai vu que les avis étaient aussi très différents sur babelio
Cyrielle c'est à toi de départager !
J'ai aimé les descriptions de la nature et du Paradou qui sont omniprésentes dans le roman - Alors oui il y a quelques longueurs ,le pauvre abbé tergiverse. Pas facile de choisir entre la belle Albine du Paradou et la vierge Marie lui qui a voue sa vie naturellement à la prêtrise . Il y a aussi des personnages interessants l'oncle D'Albine que l'on appelle le philosophe , la Teuse et le detestable frère Archangias -A trvavers ce dernier Zola fait une véritable critique de ces prêtres plus "pères fouettards" que sauveurs d'âmes.
J'avais un bon souvenir de ma première lecture il y a 20 ans . Ecouté en audio c'est finalement plus la voix que je n'ai pas aimé
4/5
J'ai vu que les avis étaient aussi très différents sur babelio
Cyrielle c'est à toi de départager !
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La Terre - Zola
Re: Emile ZOLA (France)
Intéressant ton avis Kattylou... ! Effectivement je me suis beaucoup plus attachée aux personnages secondaires qu’à ce pauvre abbé....
Re: Emile ZOLA (France)
Je vais le lire dans le courant du mois, je me souviens avoir beaucoup aimé La Curée alors que vous n'aviez pas aimé, alors je ne désespère pas
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Re: Emile ZOLA (France)
LA FAUTE DE L’ABBÉ MOURET
Nous suivons le fils Mouret dont les parents étaient les héros de la conquête de Plassans.
Il est l'abbé d'une petite paroisse, obsédé par la Sainte Vierge, au point d'en tomber malade. Il se retrouve en convalescence au Paradou, soigné par Albine.
Ce roman est divisé en 3 livres. le premier est assez intéressant, on découvre les personnages, le cadre pitoresque et j'ai retrouvé avec plaisir l'écriture de Zola. En revanche à partir du moment où Serge commence ses délires sur la Vierge ça part en cacahuète... le second livre est d'un ennui absolument, je me suis rarement autant ennuyée en lisant !! On se croirait à Jardiland on a tous les détails des plants du jardin du Paradou, Serge et Albine sont d'un mièvre absolu, ça dégouline de sentiments à en être écoeurant.
Le troisième livre a eu raison de moi et je n'ai pu que survoler les derniers chapitres pour connaître le dénouement.
Alors après renseignement Zola a voulu évoquer le Jardin d'Eden et Adam et Eve. L'idée de départ était bonne mais il s'est complètement perdu, en à fait beaucoup trop et a été d'un ennui mortel.
Au suivant...
1/5
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Challenge US : 29/51
Re: Emile ZOLA (France)
Son excellence Eugène Rougon
Trahisons, coups-bas, hypocrisie, magouilles et vengeance sont au programme de ce roman.......
Preuve s'il en était besoin que le monde politique n'a guère changé depuis....
Un roman qui se déroule entièrement dans les coulisses du pouvoir, avec des personnages hauts en couleur.
Pas mon préféré de la série mais plaisant à lire.
Ma note 3/5
Trahisons, coups-bas, hypocrisie, magouilles et vengeance sont au programme de ce roman.......
Preuve s'il en était besoin que le monde politique n'a guère changé depuis....
Un roman qui se déroule entièrement dans les coulisses du pouvoir, avec des personnages hauts en couleur.
Pas mon préféré de la série mais plaisant à lire.
Ma note 3/5
Re: Emile ZOLA (France)
Bon je vais bientôt m'y atteler j'espère que ça sera moins pénible que L'abbé Mouret.
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Re: Emile ZOLA (France)
SON EXCELLENCE EUGENE ROUGON
Dans ce 6ème tome de la saga des Rougon-Macquart, Emile Zola nous embarque dans le monde politique du 2nd empire, plus précisément entre 1856 et 1861.
Nous suivons Eugène Rougon qui est le fils de Pierre et Félicité Rougon que l’on a rencontré précédemment dans La fortune des Rougon. Quand le roman débute il vient de quitter la présidence du Conseil d’Etat car tombé en disgrâce. Tout le reste du roman va être sur sa poursuite de la reprise du pouvoir grâce à l’aide de ses dévoués amis. Mais cette dévotion va se transformer en vengeance.
Emile Zola nous peint un monde politique que j’ai trouvé semblable au notre, comme quoi 150 ans plus tard la politique s’est toujours faux semblant, piston, copinage et autres manipulations pour arriver au Graal.
Il ne faut s’attendre à des rebondissements et de l’action à chaque page, en même temps on lit Zola et pas le dernier roman Thilliez ! Le lecteur est immergé dans le système politique sous Napoléon III avec des discussions qui m’ont parfois perdu, mais avec des passages qui m’ont passionné, comme le baptême du Prince Impérial, grâce aux descriptions de Zola j’ai vraiment eu l’impression d’y être et de revivre ce moment de l’Histoire de notre pays.
En parallèle de l’aspect politique, nous suivons également le personnage de Clorinde, une italienne excentrique qui veut devenir l’épouse de Rougon mais quand elle se verra rejetée, fera tout pour son venger… C’est une personne qui tantôt m’a plu pour son côté libre, séducteur et très intelligente, qui sait mener son monde pour arriver à ses fins, tantôt elle m’a agacé pour sa perfidie et son hypocrisie. Décidément Zola ne donne pas une bonne image des femmes dans ses romans. Et je ne pense pas que ça va s’arranger avec ma prochaine lecture de L’Assommoir.
En conclusion, ce n’est pas un tome des plus passionnant en ce qui concerne l’intrigue mais pour son côté historique je vous le conseille si vous voulez en apprendre plus sur le règne de Napoléon III et particulièrement sur l’aspect politique.
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Re: Emile ZOLA (France)
L'assommoir
Quatrième de couverture - Zola (Paris, 1840 - Paris, 1902), dans « L'Assommoir », septième roman des « Rougon-Macquart » raconte le drame de la vie populaire : l'alcoolisme, propagé par les débits de boissons nommés à juste titre des « assommoirs ». Coupeau, bon ouvrier zingueur, après un accident, au cours d'une longue convalescence, se laisse gagner par l'alcool. Sa femme Gervaise, qui avait de haute lutte acquis une blanchisserie, après avoir résisté, est à son tour entraîné jusqu'à la pire déchéance.
Quelle écriture!!! Un roman époustouflant sur une véritable descente aux enfers....
Un coup de cœur 5/5
Quatrième de couverture - Zola (Paris, 1840 - Paris, 1902), dans « L'Assommoir », septième roman des « Rougon-Macquart » raconte le drame de la vie populaire : l'alcoolisme, propagé par les débits de boissons nommés à juste titre des « assommoirs ». Coupeau, bon ouvrier zingueur, après un accident, au cours d'une longue convalescence, se laisse gagner par l'alcool. Sa femme Gervaise, qui avait de haute lutte acquis une blanchisserie, après avoir résisté, est à son tour entraîné jusqu'à la pire déchéance.
Quelle écriture!!! Un roman époustouflant sur une véritable descente aux enfers....
Un coup de cœur 5/5
Re: Emile ZOLA (France)
L'ASSOMMOIR
L'assommoir ou l'ascension puis la chute d'une femme naïve
Devons nous encore résumer ce monument de la littérature, je crois que presque tout le monde connaît l'histoire de Gervaise, du moins dans les grandes lignes,même sans avoir lu le roman, c'était d'ailleurs mon cas mais cela n'a en rien troublé ma lecture.
Zola dans ce septième tome des Rougon Macques, nous raconte la vie dans la rue de la Goutte d'Or à Paris, l'Hôpital Lariboisière est en construction, les gens travaillent durs pour avoir de quoi manger et payer leur loyer. L'Assommoir est un roman très sombre, où la misère a une grande place, où pour oublier cette misère les gens tombent facilement dans l'alcool.
Et parmi tous ces gens qui se battent avec la misère, il y a Gervaise qui rêve de réussir, d'avoir de quoi manger, de quoi dormir au chaud pour enfin mourir dans son lit après une dur vie de labeur. Mais Gervais va faire de mauvaises rencontres, Gervaise va être trop naïve particulièrement vis à vis des hommes, Gervaise après avoir touché son rêve du bout du doigt va sombre.
Zola arrive parfaitement à nous immerger dans ce quartier grâce à l'usage de l'argot de l'époque, à ses descriptions des métiers oubliés, en revanche il ne nous donne pas foi au genre humain. Je pensais trouver de la solidarité je n'ai trouvé presque qu'hypocrisie, moquerie et même méchanceté surtout à l'encontre de Gervaise. Comme si elle, particulièrement, n'avait pas le droit à la réussite et au bonheur.
D'ailleurs avec Gervaise je suis passée par pas mal de sentiment, au début j'avais beaucoup de tendresse pour elle, j'avais vraiment envie qu'elle s'en sorte pour faire un pied de nez à l'horrible Lantier. Ensuite sa complaisance, sa naïveté m'a agacé, j'avais presque envie de lui dire bien fait pour toi ! Mais en même temps l'attitude des Lorilleux, des Poissons étaient vraiment révoltante et injuste envers elle. Enfin lors de son déclin, j'ai à nouveau eu énormément d'empathie pour elle, jusqu'à la dernière phrase qui m'a vraiment émue.
Un mot pour Lalie et Nana, deux personnages qui m'ont beaucoup touché pour l'une et beaucoup intrigué pour l'autre.
L'assommoir c'est l'histoire d'un quartier mais avant tout l'histoire d'une femme passionnée, amoureuse, qui à cause de sa volonté de plaire à tout le monde, se perdra totalement.
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Challenge US : 29/51
Re: Emile ZOLA (France)
Quatrième de couverture
Qu’est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille » de Gervaise Macquart ? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd’hui encore? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d’Or version Second Empire? L’existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s’expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l’intimité comme de la fête. Et tant pis si, la fatalité aidant, divers « assommoirs » – un accident de travail, l’alcool, les « autres », la faim – ont finalement raison d’elle et des siens. Gervaise aura parcouru une glorieuse trajectoire dans sa déchéance même. Relisons L’Assommoir, cette « passion de Gervaise », cet étonnant chef-d’oeuvre, avec des yeux neufs.
Mon avis
Quel changement par rapport aux premiers volumes des Rougon-Macquart qui m’ont ennuyée prodigieusement! Finies les magouilles financières soporifiques, Zola nous amène ici à la découverte du petit peuple à travers l’histoire de Gervaise, une blanchisseuse abandonnée par son mari avec deux enfants sur les bras. Dans un premier temps, grâce à sa volonté et à son travail, Gervaise arrive à s’extraire de sa condition et à posséder sa propre boutique. Mais, malheureusement pour elle, les aléas de la vie mais surtout son insouciance et sa désinvolture précipiteront sa déchéance.
C’est une peinture très réaliste (peut-être même trop) de la misère qui pousse à l’aigreur, à la violence et l’alcoolisme. Zola nous décrit la vie d’un quartier populaire avec ses jalousies et ses querelles de voisinage qui m’ont bien souvent semblé être de la méchanceté gratuite. Chacun cherche à paraître plus prospère que son voisin et du coup, il y a très peu d’entraide entre les membres du quartier, chacun au mieux restant dans sa misère, au pire tentant d’enfoncer celui qui est plus faible que lui. C’est assez désolant.
D’une manière générale et, ce tome ne fait que le confirmer, j’ai vraiment du mal avec les personnages de Zola. Il fait vraiment trop ressortir leurs mauvais côtés pour que je les trouve attachants. Et j’ai du mal à vraiment accrocher à un roman quand je ne m’attache pas aux personnages.
Alors, oui c’est un roman qui a un intérêt historique indéniable et je suis contente d’avoir enfin lu ce classique parmi les classiques mais je ne suis pas sure que Zola soit un auteur pour moi. Sa vision de l’humanité est bien trop sombre à mon goût et le lire est un peu trop déprimant pour moi.
3,5/5
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Re: Emile ZOLA (France)
Une page d'amour
Hélène, une jeune femme veuve, s'est retirée dans un petit appartement à Passy avec sa fille de dix ans Jeanne. Sa vie s'écoule calmement entre travaux d'aiguilles et visites aux démunis. Paris, elle n'y descend pas et se contente d'admirer la ville d'en haut tout en rêvassant.
Lorsque Jeanne, de santé fragile, est prise soudain de convulsions, elle s'adresse en urgence à son voisin, le docteur Deberle. Le coup de foudre entre les deux est immédiat et réciproque. Hélène, pour qui ce sentiment est nouveau, lutte contre dans un premier temps. Mais la passion et l'élan amoureux sont trop forts et l'emporteront sur sa conscience, malgré la tyrannie que lui fait subir Jeanne, jalouse et possessive.
Ce roman semble une bulle d'air, après L'assommoir. Pas de considération politique, peu de description de la misère sociale, Emile Zola se contente de raconter l'histoire d'une passion et des déchirements qu'elle peut entraîner.
L'apparition du sentiment amoureux et son emprise progressive sur Hélène sont décrits avec justesse.
Dans ce roman, l'auteur nous fait survoler Paris, nous laissant juste deviner l'animation de la cité.
Une lecture qui surprend, venant de l'auteur. Je le rapprocherai peut-être de La faute de l'abbé Mouret. Mais dans Une page d'amour, les sentiments semblent plus crédibles. Il n'y a pas ces grands élans de folie dans la passion qui m'avaient profondément lassée dans le premier.
Ma note 3,5/5
Hélène, une jeune femme veuve, s'est retirée dans un petit appartement à Passy avec sa fille de dix ans Jeanne. Sa vie s'écoule calmement entre travaux d'aiguilles et visites aux démunis. Paris, elle n'y descend pas et se contente d'admirer la ville d'en haut tout en rêvassant.
Lorsque Jeanne, de santé fragile, est prise soudain de convulsions, elle s'adresse en urgence à son voisin, le docteur Deberle. Le coup de foudre entre les deux est immédiat et réciproque. Hélène, pour qui ce sentiment est nouveau, lutte contre dans un premier temps. Mais la passion et l'élan amoureux sont trop forts et l'emporteront sur sa conscience, malgré la tyrannie que lui fait subir Jeanne, jalouse et possessive.
Ce roman semble une bulle d'air, après L'assommoir. Pas de considération politique, peu de description de la misère sociale, Emile Zola se contente de raconter l'histoire d'une passion et des déchirements qu'elle peut entraîner.
L'apparition du sentiment amoureux et son emprise progressive sur Hélène sont décrits avec justesse.
Dans ce roman, l'auteur nous fait survoler Paris, nous laissant juste deviner l'animation de la cité.
Une lecture qui surprend, venant de l'auteur. Je le rapprocherai peut-être de La faute de l'abbé Mouret. Mais dans Une page d'amour, les sentiments semblent plus crédibles. Il n'y a pas ces grands élans de folie dans la passion qui m'avaient profondément lassée dans le premier.
Ma note 3,5/5
Re: Emile ZOLA (France)
L'oeuvre (saga des Rougon-Macquart n°14)
Claude Lantier, le fils de Gervaise, héroine malheureuse du roman "L'Assomoir", est artiste peintre à Paris. Lui et ses jeunes amis artistes essaient de percer dans leurs domaines respectifs : peinture, sculpture, architecture ou littérature. Son plus proche ami, Sandoz, est un alter-égo d'Emile Zola lui-meme.
Un soir Claude rencontre une jeune femme, Christine, qui pose involontairement pour lui. Les deux jeunes gens tombent amoureux et se mettent en ménage. Mais Claude est un peintre torturé, pour lequel rien ne compte plus que son oeuvre. Une oeuvre qui est raillée et rejetée par ses pairs.
Un petit Zola pour le thème "Sagas familiales". Un roman excellent mais tellement sombre. La description du monde artistique est trés intéressante, on découvre le Salon (l'officiel), le Salon des refusés, les soirées entre amis artistes, les ateliers d'artistes... On peut voir en Claude Lantier un précurseur de la peinture impressioniste qui boulversa tant le monde de l'Art à la fin du XIX° siècle.
Note : 4/5
Claude Lantier, le fils de Gervaise, héroine malheureuse du roman "L'Assomoir", est artiste peintre à Paris. Lui et ses jeunes amis artistes essaient de percer dans leurs domaines respectifs : peinture, sculpture, architecture ou littérature. Son plus proche ami, Sandoz, est un alter-égo d'Emile Zola lui-meme.
Un soir Claude rencontre une jeune femme, Christine, qui pose involontairement pour lui. Les deux jeunes gens tombent amoureux et se mettent en ménage. Mais Claude est un peintre torturé, pour lequel rien ne compte plus que son oeuvre. Une oeuvre qui est raillée et rejetée par ses pairs.
Un petit Zola pour le thème "Sagas familiales". Un roman excellent mais tellement sombre. La description du monde artistique est trés intéressante, on découvre le Salon (l'officiel), le Salon des refusés, les soirées entre amis artistes, les ateliers d'artistes... On peut voir en Claude Lantier un précurseur de la peinture impressioniste qui boulversa tant le monde de l'Art à la fin du XIX° siècle.
Note : 4/5
Le petit montagnard- Nombre de messages : 1330
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Re: Emile ZOLA (France)
Nana
Voici le neuvieme roman de la série des Rougons Macquart
Nous retrouvons Nana la fille de Gervaise et Coupeau dont l'histoire avait été racontée dans l'Assomoir .Déjà alors qu'elle était petite Nana promettait d'être rebelle ! La jeune fille devient actrice mais c'est plus ses formes généreuses et sa gouiaille qui vont la rendre célèbre.
Prenant des amants de plus en plus riches elle va devenir l'une de ces cocottes dont les hommes du second empire raffolent et avec qui il faut s'afficher
Lu en audio lors de trajet pour aller travailler j’ai suspendu l’écoute pendant plusieurs mois je n’avais pas accroché . La reprise a été plus heureuse et j’ai finalement bien aimé ce volume Zola nous raconte une facette de ce XIX eme siècle avec les fameuses cocottes célèbres comme la belle Otero ou Liane de Pougy qui avaient tendance à ruiner leurs protecteurs qui érigaient parfois des hotels comme celui de la PaÏva sur les champs Elysées
4/5
Voici le neuvieme roman de la série des Rougons Macquart
Nous retrouvons Nana la fille de Gervaise et Coupeau dont l'histoire avait été racontée dans l'Assomoir .Déjà alors qu'elle était petite Nana promettait d'être rebelle ! La jeune fille devient actrice mais c'est plus ses formes généreuses et sa gouiaille qui vont la rendre célèbre.
Prenant des amants de plus en plus riches elle va devenir l'une de ces cocottes dont les hommes du second empire raffolent et avec qui il faut s'afficher
Lu en audio lors de trajet pour aller travailler j’ai suspendu l’écoute pendant plusieurs mois je n’avais pas accroché . La reprise a été plus heureuse et j’ai finalement bien aimé ce volume Zola nous raconte une facette de ce XIX eme siècle avec les fameuses cocottes célèbres comme la belle Otero ou Liane de Pougy qui avaient tendance à ruiner leurs protecteurs qui érigaient parfois des hotels comme celui de la PaÏva sur les champs Elysées
4/5
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La Terre - Zola
Re: Emile ZOLA (France)
Kattylou: Nana est une de mes premières lectures de Zola. Cela remonte à loin et les souvenirs en détail de l'histoire se sont estompés. Mais l'empreinte du portrait de cette femme "rebelle" est toujours un peu présente dans ma mémoire quand on évoque Nana.
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Re: Emile ZOLA (France)
Pot-Bouille
Octave Mouret arrive à Paris, bien décidé à séduire les femmes et faire fortune.
Il trouve à se loger dans un immeuble de la rue Choiseul, clinquant, tout en marbre, dorures et tapis moelleux au sol. Dès son arrivée, on le prévient: ici ne vivent que des gens respectables.....Hors de question d'amener une femme.....
Oui mais voilà sous son aspect cossu, cette maison héberge tout ce que la petite bourgeoisie a de pire....Il n'est question que de paraître, de marier ses filles au meilleur prix, d'adultères, d'arnaques financières, de tyrannie vis à vis du petit personnel.....
Un extrait tout à fait révélateur: "Et de ce flot de paroles, montait le respect, l'appétit furieux de l'argent dont elle avait pris le culte dans sa famille, en voyant les vilénies où l'on tombe pour paraître seulement en avoir."
Pot-Bouille n'est pas le plus connu de la série et pourtant sa lecture et indispensable ne serait-ce que pour connaître les "débuts" d'Octave Mouret avant le fameux Bonheur des Dames.
Juste une petite remarque négative, le côté un peu répétitif des situations.....Mais ce roman est vraiment très plaisant à lire.
Ma note: 4/5
Octave Mouret arrive à Paris, bien décidé à séduire les femmes et faire fortune.
Il trouve à se loger dans un immeuble de la rue Choiseul, clinquant, tout en marbre, dorures et tapis moelleux au sol. Dès son arrivée, on le prévient: ici ne vivent que des gens respectables.....Hors de question d'amener une femme.....
Oui mais voilà sous son aspect cossu, cette maison héberge tout ce que la petite bourgeoisie a de pire....Il n'est question que de paraître, de marier ses filles au meilleur prix, d'adultères, d'arnaques financières, de tyrannie vis à vis du petit personnel.....
Un extrait tout à fait révélateur: "Et de ce flot de paroles, montait le respect, l'appétit furieux de l'argent dont elle avait pris le culte dans sa famille, en voyant les vilénies où l'on tombe pour paraître seulement en avoir."
Pot-Bouille n'est pas le plus connu de la série et pourtant sa lecture et indispensable ne serait-ce que pour connaître les "débuts" d'Octave Mouret avant le fameux Bonheur des Dames.
Juste une petite remarque négative, le côté un peu répétitif des situations.....Mais ce roman est vraiment très plaisant à lire.
Ma note: 4/5
Re: Emile ZOLA (France)
La terre
A Rognes, petit village de la Beauce, le vieux Fouan, devenu trop vieux pour travailler sa terre, décide de la partager entre ses trois enfants, en plus d'une petite pension. Le père Fouan pense ainsi finir sa vie tranquillement, entretenu par ses enfants. Dans le même village, Jean, le frère de Gervaise héroïne du roman L'Assommoir, est ouvrier agricole dans un grand domaine. Il est secrètement amoureux de Françoise, la nièce des Fouans, qu'il désire épouser. Ce mariage le ferait rentrer dans cette famille et lui donnerait sa propre terre à cultiver.
Waou, quel roman sombre, du début à la fin, on plonge de plus en plus loin dans la misère, la noirceur d'âme, le vice... Ce 15° roman de la saga des Rougon-Macquart surprend par ce ton terriblement pessimiste. A côté de lui, L'assommoir passe pour une gentille fête de village. Je ne m'attendais pas du tout à cela pour ce volume dédié à la terre et aux paysans. La Beauce y est d'ailleurs merveilleusement bien décrite: les champs à perte de vue, les travaux saisonniers, foin, vendange, labour...
Note : 4,5/5
A Rognes, petit village de la Beauce, le vieux Fouan, devenu trop vieux pour travailler sa terre, décide de la partager entre ses trois enfants, en plus d'une petite pension. Le père Fouan pense ainsi finir sa vie tranquillement, entretenu par ses enfants. Dans le même village, Jean, le frère de Gervaise héroïne du roman L'Assommoir, est ouvrier agricole dans un grand domaine. Il est secrètement amoureux de Françoise, la nièce des Fouans, qu'il désire épouser. Ce mariage le ferait rentrer dans cette famille et lui donnerait sa propre terre à cultiver.
Waou, quel roman sombre, du début à la fin, on plonge de plus en plus loin dans la misère, la noirceur d'âme, le vice... Ce 15° roman de la saga des Rougon-Macquart surprend par ce ton terriblement pessimiste. A côté de lui, L'assommoir passe pour une gentille fête de village. Je ne m'attendais pas du tout à cela pour ce volume dédié à la terre et aux paysans. La Beauce y est d'ailleurs merveilleusement bien décrite: les champs à perte de vue, les travaux saisonniers, foin, vendange, labour...
Note : 4,5/5
Dernière édition par Le petit montagnard le Mar 21 Sep 2021 - 9:13, édité 1 fois
Le petit montagnard- Nombre de messages : 1330
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Re: Emile ZOLA (France)
"Au bonheur des dames" Le livre de poche 1977 505 pages
Après la mort de ses parents, Denise quitte Valognes et débarque à Paris avec ses deux frères, en pensant trouver logement et travail chez son oncle Baudu, drapier. Mais pour celui-ci les affaires sont mauvaises depuis qu'un certain Mouret a installé un grand magasin de prêt-à-porter à proximité de sa modeste échoppe. D'ailleurs, tous les petits commerces avoisinants souffrent. Baudu ne peut garder Denise, qui n'ayant pas d'autre choix -il faut bien vivre, qui plus est avec ses deux frères à charge- parvient à se faire embaucher au Bonheur des dames. Au grand dépit de son oncle qui voit cela comme une presque trahison. Les débuts de Denise sont amers. C'est dans les larmes et résignée qu'elle doit faire face aux moqueries et à la méchanceté gratuite des autres employés ainsi que des clientes qui ne sont pas en reste en terme d'aigreur envers elle.
Il y a chez Zola quelques incontournables, celui-ci en est un. Je l'avais lu il y a bien des années avec beaucoup de plaisir. Cette re-lecture m'est toujours aussi agréable.
Zola décortique sous tous les aspects la naissance d'une nouvelle forme de commerce: les grands magasins. Accompagnés de stratégies commerciales agressives (emprunts monumentaux, vente à perte, etc..), ces rouleaux compresseurs écrasent sans pitié ni état d'âme les petites échoppes, ruinant des quartiers entiers en mettant sur la paille les commerçants et leurs employés. L'engrenage mis en place par Mouret pour arriver à ses fins est fascinant! Un des points fort du roman est la capacité qu'a Zola de nous faire pénétrer dans le fourmillement du magasin, du début à la fin, sans jamais qu'on se lasse (ou presque...). Bon, d'accord les dernières pages me pesaient un peu, mais c'était surtout pour arriver au dénouement.
Une autre apparence du livre est cet environnement miséreux qu'il décrit avec tant de réalisme et de profondeur noire. On est submergé par la puissance des mots et la force des descriptions.
Un mot des personnages: ils sont tous parfaits! Chacun est à sa place, du plus petit rôle au plus important. Et chacun colle parfaitement au tableau.
Un chef d'oeuvre.
Note: 5/5
Après la mort de ses parents, Denise quitte Valognes et débarque à Paris avec ses deux frères, en pensant trouver logement et travail chez son oncle Baudu, drapier. Mais pour celui-ci les affaires sont mauvaises depuis qu'un certain Mouret a installé un grand magasin de prêt-à-porter à proximité de sa modeste échoppe. D'ailleurs, tous les petits commerces avoisinants souffrent. Baudu ne peut garder Denise, qui n'ayant pas d'autre choix -il faut bien vivre, qui plus est avec ses deux frères à charge- parvient à se faire embaucher au Bonheur des dames. Au grand dépit de son oncle qui voit cela comme une presque trahison. Les débuts de Denise sont amers. C'est dans les larmes et résignée qu'elle doit faire face aux moqueries et à la méchanceté gratuite des autres employés ainsi que des clientes qui ne sont pas en reste en terme d'aigreur envers elle.
Il y a chez Zola quelques incontournables, celui-ci en est un. Je l'avais lu il y a bien des années avec beaucoup de plaisir. Cette re-lecture m'est toujours aussi agréable.
Zola décortique sous tous les aspects la naissance d'une nouvelle forme de commerce: les grands magasins. Accompagnés de stratégies commerciales agressives (emprunts monumentaux, vente à perte, etc..), ces rouleaux compresseurs écrasent sans pitié ni état d'âme les petites échoppes, ruinant des quartiers entiers en mettant sur la paille les commerçants et leurs employés. L'engrenage mis en place par Mouret pour arriver à ses fins est fascinant! Un des points fort du roman est la capacité qu'a Zola de nous faire pénétrer dans le fourmillement du magasin, du début à la fin, sans jamais qu'on se lasse (ou presque...). Bon, d'accord les dernières pages me pesaient un peu, mais c'était surtout pour arriver au dénouement.
Une autre apparence du livre est cet environnement miséreux qu'il décrit avec tant de réalisme et de profondeur noire. On est submergé par la puissance des mots et la force des descriptions.
Un mot des personnages: ils sont tous parfaits! Chacun est à sa place, du plus petit rôle au plus important. Et chacun colle parfaitement au tableau.
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géromino- Nombre de messages : 5624
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Date d'inscription : 07/11/2008
Re: Emile ZOLA (France)
Au bonheur des dames
Que rajouter à la critique de Géronimo ? Et bien rien car elle colle parfaitement à mon ressenti à cette (re)lecture!
J'en sors éblouie par les couleurs et les lumières du magasin, étourdie par le tourbillon de la foule s'y pressant, à la limite de la suffocation.
Quel contraste avec les petites échoppes noires, vides de leurs propriétaires laminés, ruinés par ce "monstre" commercial!
Le génie de Zola transparaît à chaque page.
Ma note 5/5
Que rajouter à la critique de Géronimo ? Et bien rien car elle colle parfaitement à mon ressenti à cette (re)lecture!
J'en sors éblouie par les couleurs et les lumières du magasin, étourdie par le tourbillon de la foule s'y pressant, à la limite de la suffocation.
Quel contraste avec les petites échoppes noires, vides de leurs propriétaires laminés, ruinés par ce "monstre" commercial!
Le génie de Zola transparaît à chaque page.
Ma note 5/5
Re: Emile ZOLA (France)
Je n'ai pas (encore) lu "Au bonheur des Dames", mais l'avis de Petitmontagnard au sujet de "La terre" m'a encouragé à le commander sur Recyclivre (je l'attends pour cette fin de semaine). Une façon de redécouvrir cet important auteur de la littérature Française.
Dkois- Nombre de messages : 3544
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Date d'inscription : 10/01/2015
Re: Emile ZOLA (France)
Au Bonheur des Dames
Dans ce roman l’auteur nous parle de la naissance des grands magasins. Ces nouvelles enseignes ou le tissu cotoie les gants ou les parapluie sont des emblèmes de la modernité du XIX eme début XX eme . Mais forcément c’est la lutte de David contre Goliath et les petits magasins familiaux aux alentours sont désertés par les clients qui se pressent dans ces grands magasins J’ai aimé les couleurs et la lumière et la description de toutes ces dentelles dans ce roman que j’ai trouvé moins noir que d’autres même si Zola nous raconte tout de même la misère de ces petits boutiquiers qui sont parfois expulsés mais aussi la rivalité entre vendeurs prêts à tout pour écraser l’autre
Zola était visionnaire j'ai relevé ce passage et je me suis dit si il savait ....nous avons des supermarches maintenant
"Quand des calicots se mettent à vendre des savons et des galoches, ils peuvent bien avoir l'ambition de vendre des pommes de terre frites "
4.5/5
Dans ce roman l’auteur nous parle de la naissance des grands magasins. Ces nouvelles enseignes ou le tissu cotoie les gants ou les parapluie sont des emblèmes de la modernité du XIX eme début XX eme . Mais forcément c’est la lutte de David contre Goliath et les petits magasins familiaux aux alentours sont désertés par les clients qui se pressent dans ces grands magasins J’ai aimé les couleurs et la lumière et la description de toutes ces dentelles dans ce roman que j’ai trouvé moins noir que d’autres même si Zola nous raconte tout de même la misère de ces petits boutiquiers qui sont parfois expulsés mais aussi la rivalité entre vendeurs prêts à tout pour écraser l’autre
Zola était visionnaire j'ai relevé ce passage et je me suis dit si il savait ....nous avons des supermarches maintenant
"Quand des calicots se mettent à vendre des savons et des galoches, ils peuvent bien avoir l'ambition de vendre des pommes de terre frites "
4.5/5
_________________
La Terre - Zola
Re: Emile ZOLA (France)
Nana
Zola brûlait d'écrire Nana.
"Je crois que ce sera bien raide. Je veux tout dire, et il y a des choses bien grosses.
Vous serez content de la façon paternelle et bourgeoise dont je vais peindre les bonnes filles de joie."
En fait de joie, l'actrice, Nana, dévore les hommes, croque les héritages et plonge les familles dans le désespoir.
Belle et prodigue, elle mène une danse diabolique dans le Paris des lettres, de la finance et du plaisir. En se détruisant elle-même, elle donne le coup de grâce à une société condamnée, détestée par Zola.
Neuvième volume de la série des Rougon-Macquart, Nana est le plus enivrant d'érotisme et de passion déchaînée.
J'ai détesté ce roman parce que j'ai détesté Nana et toutes les personnes qui gravitent autour d'elle.
Zola voulait certainement nous montrer l'humanité dans toute sa crasse et bien ma foi il a réussit.
Le problème est que je détestais tellement Nana que je me fichais de ce qu'il pouvait lui arriver. du coup ma lecture en a pâti...
Point positif, les magnifiques descriptions de Zola.
2/5
Zola brûlait d'écrire Nana.
"Je crois que ce sera bien raide. Je veux tout dire, et il y a des choses bien grosses.
Vous serez content de la façon paternelle et bourgeoise dont je vais peindre les bonnes filles de joie."
En fait de joie, l'actrice, Nana, dévore les hommes, croque les héritages et plonge les familles dans le désespoir.
Belle et prodigue, elle mène une danse diabolique dans le Paris des lettres, de la finance et du plaisir. En se détruisant elle-même, elle donne le coup de grâce à une société condamnée, détestée par Zola.
Neuvième volume de la série des Rougon-Macquart, Nana est le plus enivrant d'érotisme et de passion déchaînée.
J'ai détesté ce roman parce que j'ai détesté Nana et toutes les personnes qui gravitent autour d'elle.
Zola voulait certainement nous montrer l'humanité dans toute sa crasse et bien ma foi il a réussit.
Le problème est que je détestais tellement Nana que je me fichais de ce qu'il pouvait lui arriver. du coup ma lecture en a pâti...
Point positif, les magnifiques descriptions de Zola.
2/5
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Challenge US : 29/51
Re: Emile ZOLA (France)
Ça c’est dit
C’est vrai que de mémoire cette Nana était une vraie tête à claques
Néanmoins j’avais bien aimé ce roman aussi.
Je me souviens encore de la fin, tragique...
Mes préférés restent Au bonheur des dames et Germinal. Tu les aimeras peut-être mieux.
C’est vrai que de mémoire cette Nana était une vraie tête à claques
Néanmoins j’avais bien aimé ce roman aussi.
Je me souviens encore de la fin, tragique...
Mes préférés restent Au bonheur des dames et Germinal. Tu les aimeras peut-être mieux.
_________________
Lectures en cours :
Terre des oublis, THU HUONG DUONG.
Liza_lou- Nombre de messages : 1625
Age : 40
Location : France, à coté de Nantes
Date d'inscription : 07/12/2008
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