Jim THOMPSON: Nuit de fureur
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Jim THOMPSON: Nuit de fureur
De : Philcabzi5 (Message d'origine) Envoyé : 2008-10-19 07:41
Nuit de fureur de Jim Thompson
Ed. Fleuve Noir, 1983, c1953, 253 pages, ISBN 2-265-02284-5
Titre original: Savage Night (traduit de l'américain par Jean-Paul Gratias)
Note: 2.5/5
Résumé:
Carl Bigelow ne mesure qu'un mètre cinquante, n'y voit rien, à les dents croches et crache du sang. Rien pour faire peur, même qu'il inspire plus la pitié et un sentiment protecteur. Mais c'est exactement pour ça que le Patron l'a engagé sur ce contrat. Et finalement ce contrat est pas si mal avec ces deux nanas qui lui tournent autour et M. Kendall qui fait des pieds et des mains pour lui faciliter la vie. Mais et si tout cela cachait autre chose...
Mon avis:
Sans avoir été passionnée par cette histoire, je tournait les pages avec entrain car je voulais vraiment savoir comment Carl allait se débrouiller pour remplir son contrat. Mais à environ 10 pages de la fin, tout s'est gâté. Thompson a tenté de décrire la dégradation physique et surtout mentale d'un homme traqué se mourant de tuberculose et de peur, mais sans grand succès. On dirait que la fin a été écrite à la va-vite, sur le coin d'une table, pour se débarrasser. Sans cela, je ne crois pas que le roman aurait de toute façon été un chef-d'œuvre mais aurait tout de même mérité un 3.5-4.
Nuit de fureur de Jim Thompson
Ed. Fleuve Noir, 1983, c1953, 253 pages, ISBN 2-265-02284-5
Titre original: Savage Night (traduit de l'américain par Jean-Paul Gratias)
Note: 2.5/5
Résumé:
Carl Bigelow ne mesure qu'un mètre cinquante, n'y voit rien, à les dents croches et crache du sang. Rien pour faire peur, même qu'il inspire plus la pitié et un sentiment protecteur. Mais c'est exactement pour ça que le Patron l'a engagé sur ce contrat. Et finalement ce contrat est pas si mal avec ces deux nanas qui lui tournent autour et M. Kendall qui fait des pieds et des mains pour lui faciliter la vie. Mais et si tout cela cachait autre chose...
Mon avis:
Sans avoir été passionnée par cette histoire, je tournait les pages avec entrain car je voulais vraiment savoir comment Carl allait se débrouiller pour remplir son contrat. Mais à environ 10 pages de la fin, tout s'est gâté. Thompson a tenté de décrire la dégradation physique et surtout mentale d'un homme traqué se mourant de tuberculose et de peur, mais sans grand succès. On dirait que la fin a été écrite à la va-vite, sur le coin d'une table, pour se débarrasser. Sans cela, je ne crois pas que le roman aurait de toute façon été un chef-d'œuvre mais aurait tout de même mérité un 3.5-4.
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