Tim WINTON (Australie)
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Re: Tim WINTON (Australie)
La femme égarée
Tim Winton
Rivages poche 2003
448 pages
Fred Scully et sa femme Jennifer ont quitté l'Australie pour vivre en Irlande, ils ont déniché une vieille bâtisse dans un endroit isolé, ils décident de l'acheter et de la restaurer. Jennifer est repartie en Australie avec Billie, leur fille de sept ans pour régler quelques affaires et vendre leur maison. Lorsque arrive un télégramme annonçant leur retour , Fred est heureux, il part pour les accueillir à l'aéroport, mais la petite Billie est seule, cette enfant normalement très bavarde, est devenue muette. Qu'est-il donc arrivé à Jennifer ? Fred ne peut vivre sans savoir ce que sa femme est devenue, il se lance à sa poursuite en compagnie de Billie, ballottée à travers l'Europe,traversant l'Italie, la Grèce, la France et la Hollande dans la traque infernale de son père qui poursuit un fantôme. Avec eux nous rencontrons des personnages qui disent ne rien savoir, on est emporté dans un voyage au long-cours .De déchéances en déchéances, Fred n'en peut plus de ne pas savoir, ils partent à la dérive et plus la traque avance, plus la disparition de Jennifer devient mystèrieuse et pourtant ce sera la petite Billie qui sauvera son père du marasme ou il s'enfonce.......
Mon avis
Franchement j'ai ramé en lisant ce livre qui n'a pas de fin, une grosse déception car si je l'ai lu jusqu'à la fin, c'est que je voulais savoir.Je n'aime pas ce genre de roman ou l'on reste sur sa faim, j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps et pourtant des thèmes sont abordés telles que la souffrance des proches de personnes disparues dont on ne saura jamais faire le deuil,la quête pour savoir et le calvaire ou chacun se pose des questions .Beaucoup de longueurs car tout le voyage est décrit dans les moindres détails, un roman trop long pour ce qu'il renferme, mais pour les thèmes abordés je note tout de même 4/5
Tim Winton
Rivages poche 2003
448 pages
Fred Scully et sa femme Jennifer ont quitté l'Australie pour vivre en Irlande, ils ont déniché une vieille bâtisse dans un endroit isolé, ils décident de l'acheter et de la restaurer. Jennifer est repartie en Australie avec Billie, leur fille de sept ans pour régler quelques affaires et vendre leur maison. Lorsque arrive un télégramme annonçant leur retour , Fred est heureux, il part pour les accueillir à l'aéroport, mais la petite Billie est seule, cette enfant normalement très bavarde, est devenue muette. Qu'est-il donc arrivé à Jennifer ? Fred ne peut vivre sans savoir ce que sa femme est devenue, il se lance à sa poursuite en compagnie de Billie, ballottée à travers l'Europe,traversant l'Italie, la Grèce, la France et la Hollande dans la traque infernale de son père qui poursuit un fantôme. Avec eux nous rencontrons des personnages qui disent ne rien savoir, on est emporté dans un voyage au long-cours .De déchéances en déchéances, Fred n'en peut plus de ne pas savoir, ils partent à la dérive et plus la traque avance, plus la disparition de Jennifer devient mystèrieuse et pourtant ce sera la petite Billie qui sauvera son père du marasme ou il s'enfonce.......
Mon avis
Franchement j'ai ramé en lisant ce livre qui n'a pas de fin, une grosse déception car si je l'ai lu jusqu'à la fin, c'est que je voulais savoir.Je n'aime pas ce genre de roman ou l'on reste sur sa faim, j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps et pourtant des thèmes sont abordés telles que la souffrance des proches de personnes disparues dont on ne saura jamais faire le deuil,la quête pour savoir et le calvaire ou chacun se pose des questions .Beaucoup de longueurs car tout le voyage est décrit dans les moindres détails, un roman trop long pour ce qu'il renferme, mais pour les thèmes abordés je note tout de même 4/5
lalyre- Nombre de messages : 5794
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Tim WINTON (Australie)
Les ombres de l'hiver
Je vous renvoie au résumé de Lulu qui est très bien fait.
Par contre concernant mon avis je rejoindrai plutôt Zozinette et Elfe: cette histoire ne m'a pas touchée. Pourtant l'idée était attrayante: quatre personnes voisines et pourtant étrangères les unes aux autres se réunissent pour combattre un ennemi invisible. Mais voilà je n'ai pas aimé le style de narration de l'auteur. Les rêves des uns et des autres emmêlés à l'histoire: tout cela était bien confus pour moi. Rien n'est vraiment dit et je suis restée sur ma faim.
Ma note 3/5 pour l'histoire.
Je vous renvoie au résumé de Lulu qui est très bien fait.
Par contre concernant mon avis je rejoindrai plutôt Zozinette et Elfe: cette histoire ne m'a pas touchée. Pourtant l'idée était attrayante: quatre personnes voisines et pourtant étrangères les unes aux autres se réunissent pour combattre un ennemi invisible. Mais voilà je n'ai pas aimé le style de narration de l'auteur. Les rêves des uns et des autres emmêlés à l'histoire: tout cela était bien confus pour moi. Rien n'est vraiment dit et je suis restée sur ma faim.
Ma note 3/5 pour l'histoire.
Re: Tim WINTON (Australie)
PAR-DESSUS LE BORD DU MONDE : Tim Winton
Traduit de l'anglais par Nadine Gassie - Finaliste du Booker Prize - Australia's Miles Franklin Literary Award (2002).
Rivages Poche/Bibliothèque étrangère. 489 pages.
Georgie Jutland, 40 ans, vit depuis quelques années à White Point, petite bourgade de pêcheurs sur la côte occidentale de l'Australie, auprès de Jim Buckridge, veuf et pêcheur de langoustes, et de ses deux fils. Elle qui a abandonné son métier d'infirmière, passe ses journées à s'occuper des corvées domestiques, des enfants, ses nuits à surfer sur internet en buvant pas mal. Elle est au bord de la déprime, ne se plaît pas à White Point où elle ne s'est liée à personne, et se rend compte qu'elle se détache de plus en plus de Jim.
Un matin, au sortir d'une nuit blanche, elle surprend un braconnier qui, aux toutes premières heures de l'aube, part à la pêche bien avant tous les autres pêcheurs, en laissant son chien attaché à son vieux 4X4 sur la plage. Intriguée et attirée par cette homme, elle choisit de ne pas le dénoncer. Ce braconnier, c'est Luther Fox, dit Lu, le seul survivant d'une famille originale de musiciens, un homme qui vit isolé dans une vieille ferme et que tout le monde évite, car il est réputé amener le malheur et la malchance.
Les deux vont se rencontrer, "flasher" et "fusionner", mais ce ne sera pas sans dommages....
J'ai eu un peu de mal au début. L'histoire me plaisait bien mais je trouve le style vraiment spécial : phrases souvent courtes et hachées, dialogues peu clairs. Et puis, et puis....je fus peu à peu complètement accro, à la fois à l'histoire, et à l'écriture elle-même. Plus j'avançais dans la lecture, plus j'avais l'impression que l'écriture se sublimait, devenait de plus en plus profonde, de plus en plus puissante. Il y a tout un crescendo dans le livre : dans l'histoire et dans l'écriture. Les deux dernières parties où Lu vit seul en ermite sur une île en pleine nature sont magnifiques. L'histoire du début plutôt très calme, très plane, alternée entre les deux héros, prend peu à peu de l 'ampleur, du suspense et ce jusqu'au dernier mot. J'ai lu ces dernières parties d'une traite sans pouvoir lâcher le livre. En dehors de cette histoire d'amour difficile, ça parle de plein d'autres choses : la mer, la pêche, le surf, la musique, les livres... Les paysages (bush et bords de mer) sont décrits avec énormément de vérité. Le lecteur se sent vraiment en pleine Australie. Une grande partie des personnages du livre, même ceux plus secondaires, sont souvent "hors conventions", rebelles, libres, prêts à tout changer dans leur vie. Un souffle australien très dépaysant parcourt complètement ce livre. (J'ai ressenti ces mêmes sensations en lisant "Le pays des marées").
Je n'ai lu qu'un livre pour le thème, mais je crois que j'ai choisi le bon ! Et je relirai Tim Winton !
5/5
Traduit de l'anglais par Nadine Gassie - Finaliste du Booker Prize - Australia's Miles Franklin Literary Award (2002).
Rivages Poche/Bibliothèque étrangère. 489 pages.
Georgie Jutland, 40 ans, vit depuis quelques années à White Point, petite bourgade de pêcheurs sur la côte occidentale de l'Australie, auprès de Jim Buckridge, veuf et pêcheur de langoustes, et de ses deux fils. Elle qui a abandonné son métier d'infirmière, passe ses journées à s'occuper des corvées domestiques, des enfants, ses nuits à surfer sur internet en buvant pas mal. Elle est au bord de la déprime, ne se plaît pas à White Point où elle ne s'est liée à personne, et se rend compte qu'elle se détache de plus en plus de Jim.
Un matin, au sortir d'une nuit blanche, elle surprend un braconnier qui, aux toutes premières heures de l'aube, part à la pêche bien avant tous les autres pêcheurs, en laissant son chien attaché à son vieux 4X4 sur la plage. Intriguée et attirée par cette homme, elle choisit de ne pas le dénoncer. Ce braconnier, c'est Luther Fox, dit Lu, le seul survivant d'une famille originale de musiciens, un homme qui vit isolé dans une vieille ferme et que tout le monde évite, car il est réputé amener le malheur et la malchance.
Les deux vont se rencontrer, "flasher" et "fusionner", mais ce ne sera pas sans dommages....
J'ai eu un peu de mal au début. L'histoire me plaisait bien mais je trouve le style vraiment spécial : phrases souvent courtes et hachées, dialogues peu clairs. Et puis, et puis....je fus peu à peu complètement accro, à la fois à l'histoire, et à l'écriture elle-même. Plus j'avançais dans la lecture, plus j'avais l'impression que l'écriture se sublimait, devenait de plus en plus profonde, de plus en plus puissante. Il y a tout un crescendo dans le livre : dans l'histoire et dans l'écriture. Les deux dernières parties où Lu vit seul en ermite sur une île en pleine nature sont magnifiques. L'histoire du début plutôt très calme, très plane, alternée entre les deux héros, prend peu à peu de l 'ampleur, du suspense et ce jusqu'au dernier mot. J'ai lu ces dernières parties d'une traite sans pouvoir lâcher le livre. En dehors de cette histoire d'amour difficile, ça parle de plein d'autres choses : la mer, la pêche, le surf, la musique, les livres... Les paysages (bush et bords de mer) sont décrits avec énormément de vérité. Le lecteur se sent vraiment en pleine Australie. Une grande partie des personnages du livre, même ceux plus secondaires, sont souvent "hors conventions", rebelles, libres, prêts à tout changer dans leur vie. Un souffle australien très dépaysant parcourt complètement ce livre. (J'ai ressenti ces mêmes sensations en lisant "Le pays des marées").
Je n'ai lu qu'un livre pour le thème, mais je crois que j'ai choisi le bon ! Et je relirai Tim Winton !
5/5
Chantal- Nombre de messages : 3224
Location : France
Date d'inscription : 22/12/2008
Re: Tim WINTON (Australie)
CLOUDSTREET de Tim Winton
Je ne referai pas le résumé qui a déjà été fait et bien fait.
Mon Avis:
Je rejoins l'avis de Lalyre. Les personnages de cette histoire, tout "tordus"
et rocambolesques soient-ils m'ont beaucoup amusée.
J'ai passé de bons moments en leurs compagnie.
On se laisse porter par leur histoire de tous les jours.
Leurs personnalités, leurs non-dits, leur exubérance.
Un livre agréable, bien écrit, qui se laisse lire.
Ma note 4/5
Je ne referai pas le résumé qui a déjà été fait et bien fait.
Mon Avis:
Je rejoins l'avis de Lalyre. Les personnages de cette histoire, tout "tordus"
et rocambolesques soient-ils m'ont beaucoup amusée.
J'ai passé de bons moments en leurs compagnie.
On se laisse porter par leur histoire de tous les jours.
Leurs personnalités, leurs non-dits, leur exubérance.
Un livre agréable, bien écrit, qui se laisse lire.
Ma note 4/5
Invité- Invité
Re: Tim WINTON (Australie)
En Australie, deux familles modestes, les Pickles et les Lamb - treize personnes en tout - sont réunies par les aléas de la vie. Elles sont amenées à cohabiter dans une grande maison quelque peu délabrée.
Doux-amer est un qualicatif qui s'accorde bien à ces chroniques familiales. On est tour à tour amusé puis envahi par la mélancolie à suivre les aventures des familles Pickles et Lamb, mais souvent on ressent les deux en même temps. Dans la famille Pickles, les parents semblent trop abimés pour sortir la tête de l'eau, ils vivent dans le désordre et le détachement de tout, au grand désespoir de Rose la fille ainée. Ils se trouvent mis face à leur dérive car ils croisent chaque jour les membres de l'autre famille, les Lamb, modestes comme eux, en but à des difficultés et des malheurs comme eux, mais ordonnés et entreprenants. J'ai apprécié la compagnie de ces personnages singuliers et attachants (surtout Quick et Rose), et aimé déambuler dans cette grande maison délabrée mais animée des bruits de la vie.
Ma note : 4/5
Ladybug- Nombre de messages : 1969
Date d'inscription : 22/05/2009
Re: Tim WINTON (Australie)
Respire
Tim Winton
Ed.Payot/Rivages poche août 2012
303 pages
Quatrième de couverture
Bruce Pike dit « Pikelet » grandit dans une petite ville où, la nuit, le mugissement des vagues de l'océan indien au loin sur la côte attise ses rêves.
Fasciné par l'eau, ni son père ni sa mère, dont il est l'enfant unique, ne lui autorisent le rivage.Un jour, alors qu'il court vers ses treize ans, il se lie avec Loonie, le mauvais garçon du coin. Les deux garçons plongent dans la rivière, même en hiver, et jouent à retenir leur respiration jusqu'à épuisement de leur souffle.
Très vite, ils s'aventurent jusqu'à l'océan et deviennent les deux surfeurs les plus dépenaillés, les plus jeunes et les plus trompe-la-mort de la plage. Fascinés par la puissance de l'eau et leur propre endurance, les deux garçons découvrent l'extase de la suffocation, pulvérisent les règles, bravent le danger et se trouvent un mentor dont l'addiction les mènera à courir des risques qu'ils n'auraient jamais imaginés.
Mon avis
Un beau ciel bleu, la mer qui se déchaîne, quoi de mieux pour surfer, chevaucher les vagues et les crêtes d’eau, des aventures dangereuses remplies d’adrénaline frôlant la folie. Et pourtant les héros de ce roman plongent en apnée dans les tourbillons les plus furieux et profonds qui semblent vouloir les garder pour toujours, mais ils remontent, respirent et replongent fourbus de peur, cependant que l’attrait du danger les contraint à jouer le tout pour le tout, évitant les noyades, toujours surpris de reprendre de l’air à chaque remontée. De très belles descriptions d’une côte sauvage d’Australie avec ses sombres falaises, un roman haletant qui de phrase en phrase, nous fait participer aux sensations de violence, de désirs et d’illusions perdues des esclaves de ce sport mais que de fierté et satisfaction lorsque remontés à la surface ils peuvent se dire, je respire….Des thèmes inavoués chez ces dompteurs de vagues tels la vanité, la jalousie et le triomphe sur la fureur de l’océan. Vraiment un très beau roman qu’il faut lire…..Un coup de cœur 5/5
Tim Winton
Ed.Payot/Rivages poche août 2012
303 pages
Quatrième de couverture
Bruce Pike dit « Pikelet » grandit dans une petite ville où, la nuit, le mugissement des vagues de l'océan indien au loin sur la côte attise ses rêves.
Fasciné par l'eau, ni son père ni sa mère, dont il est l'enfant unique, ne lui autorisent le rivage.Un jour, alors qu'il court vers ses treize ans, il se lie avec Loonie, le mauvais garçon du coin. Les deux garçons plongent dans la rivière, même en hiver, et jouent à retenir leur respiration jusqu'à épuisement de leur souffle.
Très vite, ils s'aventurent jusqu'à l'océan et deviennent les deux surfeurs les plus dépenaillés, les plus jeunes et les plus trompe-la-mort de la plage. Fascinés par la puissance de l'eau et leur propre endurance, les deux garçons découvrent l'extase de la suffocation, pulvérisent les règles, bravent le danger et se trouvent un mentor dont l'addiction les mènera à courir des risques qu'ils n'auraient jamais imaginés.
Mon avis
Un beau ciel bleu, la mer qui se déchaîne, quoi de mieux pour surfer, chevaucher les vagues et les crêtes d’eau, des aventures dangereuses remplies d’adrénaline frôlant la folie. Et pourtant les héros de ce roman plongent en apnée dans les tourbillons les plus furieux et profonds qui semblent vouloir les garder pour toujours, mais ils remontent, respirent et replongent fourbus de peur, cependant que l’attrait du danger les contraint à jouer le tout pour le tout, évitant les noyades, toujours surpris de reprendre de l’air à chaque remontée. De très belles descriptions d’une côte sauvage d’Australie avec ses sombres falaises, un roman haletant qui de phrase en phrase, nous fait participer aux sensations de violence, de désirs et d’illusions perdues des esclaves de ce sport mais que de fierté et satisfaction lorsque remontés à la surface ils peuvent se dire, je respire….Des thèmes inavoués chez ces dompteurs de vagues tels la vanité, la jalousie et le triomphe sur la fureur de l’océan. Vraiment un très beau roman qu’il faut lire…..Un coup de cœur 5/5
lalyre- Nombre de messages : 5794
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Tim WINTON (Australie)
Je le note Lalyre très belle critique de ta part
matw25- Nombre de messages : 865
Age : 32
Location : Besançon (25)
Date d'inscription : 10/01/2011
Re: Tim WINTON (Australie)
Merci de ton passage Matwmatw25 a écrit:Je le note Lalyre très belle critique de ta part
lalyre- Nombre de messages : 5794
Age : 92
Location : Belgique
Date d'inscription : 01/03/2009
Re: Tim WINTON (Australie)
Cet oeil, le ciel
Ort Flack a douze ans. Ses parents sont des hippies installés au fin
fond du bush australien. Son père sombre dans le coma après un accident
de voiture. L'existence d'Ort en est bouleversée : tandis que sa mère ne
fait front à rien, sa grand-mère perd ce qui lui reste encore de
lucidité et sa soeur se réfugie dans la haine. Lui, Ort, " voit " un
oeil au-dessus de la maison, qui, pense-t-il, surveille la famille.
L'arrivée d'un étranger donnera le signe du chaos final. Un récit
étrange, parfois onirique, parfois comique, sur l'amour familial, la
fragilité et la générosité humaine.
Récit d'une tanche de vie familiale vue par un enfant de 14-15 ans...c'est très juste, vrai, Winton excelle à dire ce que voit et ressent un enfant. La mère semble à la fois paumée mais quand même très forte. Malgré son épuisement, elle reste attentive à ce que vivent ses enfants. et puis arrive la foi et cela change la vie, on voit tout autrement!
Ce qui domine, c'est le climat australien, cette chaleur écrasante, la poussière, la beauté du bush, les bruits des oiseaux, le bonheur de se baigner dans des eaux boueuses et troubles mais rafraîchissantes.
J'ai appris une chose: des évangélistes prédicateurs, y'en a aussi en Australie....
ils leur est si facile d'endoctriner les épuisés....on tremble à penser à ce qui se passera quand ceux-ci aussi se débinent...
Pour ma part, j'ai vraiment apprécié et passé un très bon moment.
mais n'ai aucune envie d'aller voir ce coin de terre, rien qu'à lire ai déjà trop chaud!
critiques sympas qui vous résument tout ça très très bien:
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/28514
http://www.biblioblog.fr/post/2010/09/17/Cet-oeil-le-ciel-Tim-Winton
4/5
- Poche: 254 pages
- Editeur : Rivages (2 janvier 2004)
- Collection : Rivages Poches
- Langue : Français
- ISBN-10: 274360249X
- ISBN-13: 978-2743602499
Ort Flack a douze ans. Ses parents sont des hippies installés au fin
fond du bush australien. Son père sombre dans le coma après un accident
de voiture. L'existence d'Ort en est bouleversée : tandis que sa mère ne
fait front à rien, sa grand-mère perd ce qui lui reste encore de
lucidité et sa soeur se réfugie dans la haine. Lui, Ort, " voit " un
oeil au-dessus de la maison, qui, pense-t-il, surveille la famille.
L'arrivée d'un étranger donnera le signe du chaos final. Un récit
étrange, parfois onirique, parfois comique, sur l'amour familial, la
fragilité et la générosité humaine.
Récit d'une tanche de vie familiale vue par un enfant de 14-15 ans...c'est très juste, vrai, Winton excelle à dire ce que voit et ressent un enfant. La mère semble à la fois paumée mais quand même très forte. Malgré son épuisement, elle reste attentive à ce que vivent ses enfants. et puis arrive la foi et cela change la vie, on voit tout autrement!
Ce qui domine, c'est le climat australien, cette chaleur écrasante, la poussière, la beauté du bush, les bruits des oiseaux, le bonheur de se baigner dans des eaux boueuses et troubles mais rafraîchissantes.
J'ai appris une chose: des évangélistes prédicateurs, y'en a aussi en Australie....
ils leur est si facile d'endoctriner les épuisés....on tremble à penser à ce qui se passera quand ceux-ci aussi se débinent...
Pour ma part, j'ai vraiment apprécié et passé un très bon moment.
mais n'ai aucune envie d'aller voir ce coin de terre, rien qu'à lire ai déjà trop chaud!
critiques sympas qui vous résument tout ça très très bien:
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/28514
http://www.biblioblog.fr/post/2010/09/17/Cet-oeil-le-ciel-Tim-Winton
4/5
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: Tim WINTON (Australie)
Respire de Tim Winton :
4° de couverture: Bruce Pike dit « Pikelet » grandit dans une petite ville où, la nuit, le
mugissement des vagues de l'océan indien au loin sur la côte attise ses
rêves.
Fasciné par l'eau, ni son père ni sa mère, dont il est
l'enfant unique, ne lui autorisent le rivage.Un jour, alors qu'il court
vers ses treize ans, il se lie avec Loonie, le mauvais garçon du coin.
Les deux garçons plongent dans la rivière, même en hiver, et jouent à
retenir leur respiration jusqu'à épuisement de leur souffle.
Très
vite, ils s'aventurent jusqu'à l'océan et deviennent les deux surfeurs
les plus dépenaillés, les plus jeunes et les plus trompe-la-mort de la
plage. Fascinés par la puissance de l'eau et leur propre endurance, les
deux garçons découvrent l'extase de la suffocation, pulvérisent les
règles, bravent le danger et se trouvent un mentor dont l'addiction les
mènera à courir des risques qu'ils n'auraient jamais imaginés.
Mon avis: J'ai du mal à donner un réel avis sur ce moment. On peut déja dire en étant très objectif que ça se lit vraiment bien grâce à l'écriture et que l'on s'identifie vraiment au personnage du jeune Piklett. Outre ce thème central du surf et de la mer en général, on découvre la description de la vie d'un petit village australien et de superbes descriptions des alentours. En tout cas, un bon moment de lecture même si je m'attendais à plus de précisions sur la relation entre les deux garçons même si finalement cela évolue mais après cela viendrait à dévoiler l'histoire. Un bon roman dans tout les cas, à découvrir vous ne serez pas déçu.
Ma note: 4.25/5
4° de couverture: Bruce Pike dit « Pikelet » grandit dans une petite ville où, la nuit, le
mugissement des vagues de l'océan indien au loin sur la côte attise ses
rêves.
Fasciné par l'eau, ni son père ni sa mère, dont il est
l'enfant unique, ne lui autorisent le rivage.Un jour, alors qu'il court
vers ses treize ans, il se lie avec Loonie, le mauvais garçon du coin.
Les deux garçons plongent dans la rivière, même en hiver, et jouent à
retenir leur respiration jusqu'à épuisement de leur souffle.
Très
vite, ils s'aventurent jusqu'à l'océan et deviennent les deux surfeurs
les plus dépenaillés, les plus jeunes et les plus trompe-la-mort de la
plage. Fascinés par la puissance de l'eau et leur propre endurance, les
deux garçons découvrent l'extase de la suffocation, pulvérisent les
règles, bravent le danger et se trouvent un mentor dont l'addiction les
mènera à courir des risques qu'ils n'auraient jamais imaginés.
Mon avis: J'ai du mal à donner un réel avis sur ce moment. On peut déja dire en étant très objectif que ça se lit vraiment bien grâce à l'écriture et que l'on s'identifie vraiment au personnage du jeune Piklett. Outre ce thème central du surf et de la mer en général, on découvre la description de la vie d'un petit village australien et de superbes descriptions des alentours. En tout cas, un bon moment de lecture même si je m'attendais à plus de précisions sur la relation entre les deux garçons même si finalement cela évolue mais après cela viendrait à dévoiler l'histoire. Un bon roman dans tout les cas, à découvrir vous ne serez pas déçu.
Ma note: 4.25/5
matw25- Nombre de messages : 865
Age : 32
Location : Besançon (25)
Date d'inscription : 10/01/2011
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