Susan HILL (Royaume-Uni)
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Susan HILL (Royaume-Uni)
The vows of silence
Résumé
Un tireur fou tue des jeunes mariées. Un autre terrorise des jeunes. La police est sur les dents, d'autant qu'elle n'a aucune piste et que deux événements à haut risque s'annonce : une fête populaire et un mariage qui comptera des membres de la famille royale parmi les invités.
Pour ne pas lui faciliter les choses, Simon Serrailler, l'inspecteur chef en charge du dossier, doit faire face à des problèmes familiaux : son père veuf a une nouvelle compagne, une ancienne amie réapparaît et son beau-frère a une tumeur au cerveau.
Commentaire
Quelle déception ! Je m'attendais à beaucoup mieux. Côté personnages, ambiance et décors, rien à redire. J'ai beaucoup aimé le personnage principal et les histoires parallèles à celle des meurtres. Des chapitres courts, un style efficace, coulant et simple. Le vrai problème est la lenteur de l'intrigue des meurtres. Il n'y a pas d'indices malgré les quelques pistes lancées et les chapitres écrits du point de vue du tueur. Le pire est qu'à la fin, on ne sait absolument pas comment Serrailler trouve la solution et plusieurs personnages intéressants sont laissés en plan.
En fait, je n'aurais peut-être pas dû considérer le roman comme un policier pour ne pas être autant déçue et surprise, car Susan Hill sait indéniablement écrire.
Auteur
Susan Hill est née en 1942 à Scarborough (Angleterre). Pendant ses études universitaires d'anglais à Londres, elle écrit son premier roman (The enclosure) qui est publié. Huit autres suivront entre 1968-74. Son style est qualifiée de "gothique", en particulier dans The woman in black (1982). Ce roman a d'ailleurs été adapté pour la scène en 1987 et est toujours à l'affiche depuis. Dans la même veine, elle a également écrit La malédiction de Manderley (1993), une suite à Rebecca de Daphné du Maurier. Elle a aussi écrit pour la jeunesse. Egalement disponible en français : Je suis le seigneur du château (1972), La force de l'ange (1993). Elle a reçu plusieurs prix dont le Somerset Maugham Award (1971) et le Whitbread Novel Award (1972). Susan Hill a créé sa propre maison d'édition, Long Barn Books.
Le premier roman policier mettant en scène Simon Serrailler paraît en 2004; The vows of silence est le quatrième de la série. Tous ont été traduits en français.
3/5
(Vintage Books, London, 2009)
Résumé
Un tireur fou tue des jeunes mariées. Un autre terrorise des jeunes. La police est sur les dents, d'autant qu'elle n'a aucune piste et que deux événements à haut risque s'annonce : une fête populaire et un mariage qui comptera des membres de la famille royale parmi les invités.
Pour ne pas lui faciliter les choses, Simon Serrailler, l'inspecteur chef en charge du dossier, doit faire face à des problèmes familiaux : son père veuf a une nouvelle compagne, une ancienne amie réapparaît et son beau-frère a une tumeur au cerveau.
Commentaire
Quelle déception ! Je m'attendais à beaucoup mieux. Côté personnages, ambiance et décors, rien à redire. J'ai beaucoup aimé le personnage principal et les histoires parallèles à celle des meurtres. Des chapitres courts, un style efficace, coulant et simple. Le vrai problème est la lenteur de l'intrigue des meurtres. Il n'y a pas d'indices malgré les quelques pistes lancées et les chapitres écrits du point de vue du tueur. Le pire est qu'à la fin, on ne sait absolument pas comment Serrailler trouve la solution et plusieurs personnages intéressants sont laissés en plan.
En fait, je n'aurais peut-être pas dû considérer le roman comme un policier pour ne pas être autant déçue et surprise, car Susan Hill sait indéniablement écrire.
Auteur
Susan Hill est née en 1942 à Scarborough (Angleterre). Pendant ses études universitaires d'anglais à Londres, elle écrit son premier roman (The enclosure) qui est publié. Huit autres suivront entre 1968-74. Son style est qualifiée de "gothique", en particulier dans The woman in black (1982). Ce roman a d'ailleurs été adapté pour la scène en 1987 et est toujours à l'affiche depuis. Dans la même veine, elle a également écrit La malédiction de Manderley (1993), une suite à Rebecca de Daphné du Maurier. Elle a aussi écrit pour la jeunesse. Egalement disponible en français : Je suis le seigneur du château (1972), La force de l'ange (1993). Elle a reçu plusieurs prix dont le Somerset Maugham Award (1971) et le Whitbread Novel Award (1972). Susan Hill a créé sa propre maison d'édition, Long Barn Books.
Le premier roman policier mettant en scène Simon Serrailler paraît en 2004; The vows of silence est le quatrième de la série. Tous ont été traduits en français.
3/5
(Vintage Books, London, 2009)
s-lewerentz- Nombre de messages : 865
Location : La Chaux-de-Fonds, Suisse
Date d'inscription : 27/10/2008
Re: Susan HILL (Royaume-Uni)
La dame en noir
Au début du XXe siècle, Arthur Kipps, un jeune avoué londonien, arrive dans le nord de l'Angleterre pour s'occuper de la succession d'Alice Drablow, qui habitait seule un manoir isolé sur une presqu'île. Lors de l'inhumation, Arthur aperçoit une vieille femme et tente de lui parler mais elle s'éclipse. Il Ia revoit aux abords du manoir en même temps que se produisent des phénomènes mystérieux.
La couverture donne déjà le ton, il est écrit " croyez vous aux fantômes", à cette question, je ne me prononce pas, surtout après avoir fini le livre.
Les premières pages confirment l'ambiance qui nous attend et donnent envie de lire la suite. Les débuts sont un peu longs à se mettre en place, car le narrateur fait durer le suspense et languir le lecteur.
Mais une fois dans l'action, celle ci ne dure que le temps de 2/3 chapitres, mais je vous déconseille de les lire le soir dans une pièce sombre, l'écriture est très riche d'émotion terrifiante.
La fin du livre apporte beaucoup au récit, la chute en fait sa richesse et donne tout son sens.
Au début du XXe siècle, Arthur Kipps, un jeune avoué londonien, arrive dans le nord de l'Angleterre pour s'occuper de la succession d'Alice Drablow, qui habitait seule un manoir isolé sur une presqu'île. Lors de l'inhumation, Arthur aperçoit une vieille femme et tente de lui parler mais elle s'éclipse. Il Ia revoit aux abords du manoir en même temps que se produisent des phénomènes mystérieux.
La couverture donne déjà le ton, il est écrit " croyez vous aux fantômes", à cette question, je ne me prononce pas, surtout après avoir fini le livre.
Les premières pages confirment l'ambiance qui nous attend et donnent envie de lire la suite. Les débuts sont un peu longs à se mettre en place, car le narrateur fait durer le suspense et languir le lecteur.
Mais une fois dans l'action, celle ci ne dure que le temps de 2/3 chapitres, mais je vous déconseille de les lire le soir dans une pièce sombre, l'écriture est très riche d'émotion terrifiante.
La fin du livre apporte beaucoup au récit, la chute en fait sa richesse et donne tout son sens.
Re: Susan HILL (Royaume-Uni)
Tiens il pourrait bien me plaire ce livre, merci Petitepom je vais me le noter.
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Lectures en cours : Indépendance de Richard Ford ([i]Frank Bascombe T2) $
Dernières lectures : L' Intérêt de l' enfant de Ian McEWAN (4/5), Un week-end dans le Michigan de Richard Ford (4,5/5)(Frank Bascombe T1), [/i]L' Homme du verger d' Amanda COPLIN (4/5), La Pyramide de glace J-F Parot (3,75/5)(T12)
Re: Susan HILL (Royaume-Uni)
LA DAME EN NOIR
Rééditée en novembre par Archipoche
La dame en noir de Susan Hill est présentée par Archipel comme l’histoire de fantôme la plus terrifiante de notre époque et bien après ma lecture, je ne peux que le confirme.
Nous sommes au début du XXème siècle, Arthur Kipps, un jeune notaire, est envoyé dans le nord de l’Angleterre, dans la ville de Crythin Gifford, pour s’occuper de la succession d’Alice Drablow, qui vient de décéder. Pour se faire il va devoir aller dans le manoir de la défunte, il va y rencontrer la Dame en noir et sa raison va vaciller !
Comme Arthur Kipps l’explique au début du roman, il n’y a rien de rocambolesque, de grandiloquent, c’est une histoire de fantôme tout simple mais justement c’est justement parce que cette histoire simplicité qu’elle efficace et terrifiante.
Susan Hill a choisi de faire raconter l’histoire par son héros, il couche son récit sur papier car il lui ai impossible de la conter à haute voix. Et cette narration nous immerge totalement dans le récit, nous sommes avec Arthur quand il circule à tâtons dans le manoir obscur, lorsqu’il entend les bruits inexpliqués et lorsqu’il voit La Dame en noir…
Je n’ai jamais autant flippé en lisant un bouquin, autant dans les films une porte qui claque et je saute au plafond autant pour les livres je suis moins impressionnable. Mais alors là ! Je devais avoir la tension à 18, je m’agrippais à mon bouquin, j’oscillais entre l’envie de faire une pause pour me détendre et l’envie de le dévorer jusqu’à la dernière phrase.
D’ailleurs cette fin, mon dieu cette fin…
Rééditée en novembre par Archipoche
La dame en noir de Susan Hill est présentée par Archipel comme l’histoire de fantôme la plus terrifiante de notre époque et bien après ma lecture, je ne peux que le confirme.
Nous sommes au début du XXème siècle, Arthur Kipps, un jeune notaire, est envoyé dans le nord de l’Angleterre, dans la ville de Crythin Gifford, pour s’occuper de la succession d’Alice Drablow, qui vient de décéder. Pour se faire il va devoir aller dans le manoir de la défunte, il va y rencontrer la Dame en noir et sa raison va vaciller !
Comme Arthur Kipps l’explique au début du roman, il n’y a rien de rocambolesque, de grandiloquent, c’est une histoire de fantôme tout simple mais justement c’est justement parce que cette histoire simplicité qu’elle efficace et terrifiante.
Susan Hill a choisi de faire raconter l’histoire par son héros, il couche son récit sur papier car il lui ai impossible de la conter à haute voix. Et cette narration nous immerge totalement dans le récit, nous sommes avec Arthur quand il circule à tâtons dans le manoir obscur, lorsqu’il entend les bruits inexpliqués et lorsqu’il voit La Dame en noir…
Je n’ai jamais autant flippé en lisant un bouquin, autant dans les films une porte qui claque et je saute au plafond autant pour les livres je suis moins impressionnable. Mais alors là ! Je devais avoir la tension à 18, je m’agrippais à mon bouquin, j’oscillais entre l’envie de faire une pause pour me détendre et l’envie de le dévorer jusqu’à la dernière phrase.
D’ailleurs cette fin, mon dieu cette fin…
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