lectures abandonnées
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lectures abandonnées
Le livre des morts de Glenn Cooper
ce devait être une après-midi polar, ben c'est raté!
ai refermé ce Livre des morts de 505 pages à mi parcours....
cela commence bien, on est intrigué,
New York en 2009, une série de morts mystérieuses que rien ne semble relier les unes aux autres....sauf que les victimes sont toutes averties par une petite carte postale,
puis brusquement, retour en 47, avec Churchill, on est dans un bunker secret construit pendant la guerre, on évoque un épisode d'Ovnis...
on revient brutaelement au scénario premier, on retrouve l'agent Will et sa partenaire ambitieuses....ils doivent protéger une future victime,
en vain, elle meurt quand même le jour prévu....
puis Zou....page 151, nouveau changement d'époque: on est le 6 julius 777 sur l'Isle de Whit, on com'prend qu'il s'agit de l'ïle de Wright....
bref, me suis découragée....
trop compliqué pour moi, trop décousu,
à vouloir tisser trop de fils, l'ensemble perd ses couleurs, son intérêt...
zut de zut, c'était vraiment une mauvaise pioche ce Cooper là!
dis ça, car n'ai rien lu d'autre....
mais serai diablement méfiante concernant cet auteur à l'avenir....
ce devait être une après-midi polar, ben c'est raté!
ai refermé ce Livre des morts de 505 pages à mi parcours....
cela commence bien, on est intrigué,
New York en 2009, une série de morts mystérieuses que rien ne semble relier les unes aux autres....sauf que les victimes sont toutes averties par une petite carte postale,
puis brusquement, retour en 47, avec Churchill, on est dans un bunker secret construit pendant la guerre, on évoque un épisode d'Ovnis...
on revient brutaelement au scénario premier, on retrouve l'agent Will et sa partenaire ambitieuses....ils doivent protéger une future victime,
en vain, elle meurt quand même le jour prévu....
puis Zou....page 151, nouveau changement d'époque: on est le 6 julius 777 sur l'Isle de Whit, on com'prend qu'il s'agit de l'ïle de Wright....
bref, me suis découragée....
trop compliqué pour moi, trop décousu,
à vouloir tisser trop de fils, l'ensemble perd ses couleurs, son intérêt...
zut de zut, c'était vraiment une mauvaise pioche ce Cooper là!
dis ça, car n'ai rien lu d'autre....
mais serai diablement méfiante concernant cet auteur à l'avenir....
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: lectures abandonnées
J'ai réussi à le finir et j'ai donné mon avis, mais je ne l'ai pas aimé non plus !
zeta- Admin
- Nombre de messages : 4465
Location : Gironde - France
Date d'inscription : 25/12/2008
Re: lectures abandonnées
reflets dans un oeil d'homme de Nancy Huston
pourtant le 4ème de couverture semblait alléchant:
Un dogme ressassé à l'envi clans la France contemporaine : toutes les différences entre les sexes sont socialement construites. Pourtant les humains sont programmés pour se reproduire comme tous les autres mammifères, drague et coquetterie étaient originellement liées à la perpétuation de l'espèce.
Partant de ce constat simple mais devenu anathème, Nancy Huston explore les tensions contradictoires introduites clans la sexualité en Occident par deux phénomènes modernes : la photographie et le féminisme.
Dans ce livre sensible et vibrant d'actualité, puissant et brillamment dérangeant, sur un ton personnel, drôle et pourtant informé, évoquant sans détours sa propre expérience comme celle des hommes qui l'entourent, Nancy Huston parvient à nous démontrer l'étrangeté de notre propre société, qui nie tranquillement la différence des sexes tout en l'exacerbant à travers les industries de la beauté et de la pornographie.
Ben, je ne sais trop pourquoi, ce livre m'est littéralement tombé des mains...
l'ai trouvé terriblement ennuyeux....
à mi-course, l'ai refermé....
est-ce grave? Nancy Huston, la lis avec plaisir, d'habitude...
mais là, cela me semblait un pensum d'universitaire: lire une thèse de doctorat....
pas inintéressante, mais bon....
enfin verrai, qui sait, le reprendrai peut-être un jour....
pourtant le 4ème de couverture semblait alléchant:
Un dogme ressassé à l'envi clans la France contemporaine : toutes les différences entre les sexes sont socialement construites. Pourtant les humains sont programmés pour se reproduire comme tous les autres mammifères, drague et coquetterie étaient originellement liées à la perpétuation de l'espèce.
Partant de ce constat simple mais devenu anathème, Nancy Huston explore les tensions contradictoires introduites clans la sexualité en Occident par deux phénomènes modernes : la photographie et le féminisme.
Dans ce livre sensible et vibrant d'actualité, puissant et brillamment dérangeant, sur un ton personnel, drôle et pourtant informé, évoquant sans détours sa propre expérience comme celle des hommes qui l'entourent, Nancy Huston parvient à nous démontrer l'étrangeté de notre propre société, qui nie tranquillement la différence des sexes tout en l'exacerbant à travers les industries de la beauté et de la pornographie.
Ben, je ne sais trop pourquoi, ce livre m'est littéralement tombé des mains...
l'ai trouvé terriblement ennuyeux....
à mi-course, l'ai refermé....
est-ce grave? Nancy Huston, la lis avec plaisir, d'habitude...
mais là, cela me semblait un pensum d'universitaire: lire une thèse de doctorat....
pas inintéressante, mais bon....
enfin verrai, qui sait, le reprendrai peut-être un jour....
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: lectures abandonnées
l'alphabet de flammes, un roman de Ben Marcus
avais lu une critique dithyrambique.....
me suis découragée à la page 184...le bouquin en compte 340, enfin à peu près.
c'est noir, très noir, et je me demande qui peut s'intéresser à cette histoire....
mais tout bonnement, un jeune peut-être...allez savoir, y'en a pour tous les goûts, des bouquins, pas vrai?
on comprend que le monde a bien changé, qu'il y a une maladie qui vient des enfants et surtout des adolescents, leur langage vous bousille, puis parler aussi, puis la lecture, bref, tout de qui vient du langage....
pour survivre, les parents doivent abandonner leurs enfants.
mais ils semblent partir trop tard....
les descriptions sont vraiment glauques,
on s'enfonce et nage dans les miasmes, les odeurs pestilentielles, les déjections, les haleines putrides,
les chairs se liquéfient, pourrissent, puent,
on n'ose plus se regarder, on n'ose plus se toucher, parler devient difficile, les mots se déforment et l'on finit par gémir, pleurer ou juste grogner bizarrement ou même de plus faire de son du tout, juste exhaler une haleine atroce.
Et il y a des cônes de sel, je n'ai pas été plus loin, donc je ne peux vous éclairer sur leur signification.
Et les gens croyants s'enfoncent dans des cabanons atroces et sales pour écouter une sorte de gourou rabbin....
l'espace alentour est toujuors déglingué et surtout dégueulasse....
A la page 184, ai décidé de prendre une douche et de vite mettre ce roman dans ma boite "bouquins à donner aux gens qui passent dans ma rue"...
Si un rat l'a lu et l'a aimé...je serai heureuse de savoir pourquoi.
avais lu une critique dithyrambique.....
me suis découragée à la page 184...le bouquin en compte 340, enfin à peu près.
c'est noir, très noir, et je me demande qui peut s'intéresser à cette histoire....
mais tout bonnement, un jeune peut-être...allez savoir, y'en a pour tous les goûts, des bouquins, pas vrai?
on comprend que le monde a bien changé, qu'il y a une maladie qui vient des enfants et surtout des adolescents, leur langage vous bousille, puis parler aussi, puis la lecture, bref, tout de qui vient du langage....
pour survivre, les parents doivent abandonner leurs enfants.
mais ils semblent partir trop tard....
les descriptions sont vraiment glauques,
on s'enfonce et nage dans les miasmes, les odeurs pestilentielles, les déjections, les haleines putrides,
les chairs se liquéfient, pourrissent, puent,
on n'ose plus se regarder, on n'ose plus se toucher, parler devient difficile, les mots se déforment et l'on finit par gémir, pleurer ou juste grogner bizarrement ou même de plus faire de son du tout, juste exhaler une haleine atroce.
Et il y a des cônes de sel, je n'ai pas été plus loin, donc je ne peux vous éclairer sur leur signification.
Et les gens croyants s'enfoncent dans des cabanons atroces et sales pour écouter une sorte de gourou rabbin....
l'espace alentour est toujuors déglingué et surtout dégueulasse....
A la page 184, ai décidé de prendre une douche et de vite mettre ce roman dans ma boite "bouquins à donner aux gens qui passent dans ma rue"...
Si un rat l'a lu et l'a aimé...je serai heureuse de savoir pourquoi.
noemiejardine- Nombre de messages : 604
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: lectures abandonnées
Re: Ernst JÜNGER (Allemagne)
géromino Dim 25 Déc 2022, 19:58"Heliopolis" Le livre de poche 1978 413 pages
J'ai repris le livre déjà entamé (voir plus haut) à plusieurs reprises. Pas moyen.
Quelque chose me poussait à persévérer dans cette lecture: la découverte d'une écriture de science-fiction prometteuse, l'originalité du ton, la maîtrise d'une écriture riche et variée (on y trouve de sublimes descriptions de paysages!).
Si j'ai bien compris le début, le commandant Lucius de Geer revient dans la cité d'Heliopolis, ravagée par un conflit (nucléaire..?). Deux élites s'opposent pour prendre le pouvoir politique. Lucius peut-il jouer un rôle dans ces affrontements politiques?
Décidément trop compliqué pour moi; je n'arrive pas discerner où veut en venir l'intrigue -politique-, qui est qui, qui veut quoi, qui est contre qui. Stop!
Si quelqu'un lit ce livre (Franillon avait tenté de m'expliquer, sans résultat probant...) je le remercie d'avance pour ses éclaircissements éventuels!
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géromino- Nombre de messages : 5609
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Re: lectures abandonnées
Re: Patrick SÜSKIND (Allemagne)
géromino Dim 25 Déc 2022, 17:15"Le parfum" Le livre de poche 1992 308 pages
Abandonné au 2/3. Si les cent et quelques premières pages sont parvenues à maintenir un peu d'attention, je me suis vite lassé d'un personnage invraisemblable (au sens littéral du mot: auquel on ne croit pas)! Puis j'ai quand même poursuivi encore une centaine de pages dans l'attente d'un sursaut convaincant. Arrivé à la troisième partie (page 203), j'ai décidé d'arrêter une lecture qui ne me convenait plus sous aucun de ses aspects.
Je ne comprenais plus la thématique du roman.
Voici un personnage -Jean-Baptiste Grenouille-, tour à tour insipide, monstrueux, détestable, au nez à la sensibilité unique au monde, mais au final inintéressant malgré les efforts de l'auteur pour en faire un personnage hors du commun. Franchement, je n'ai jamais ressenti pour lui aucun sentiment de bienveillance ou de sympathie particulière. On parle quand même du meurtrier d'une jeune fille, (au début du livre) dont l'acte se borne par réaction à une impulsion olfactive!
Je n'ai pas compris.
Puis Grenouille fait la rencontre de Baldini, maître parfumeur à Paris. On se dit que quelque chose peut en résulter. Mais non. Puis sept années s'écoulent, pendant lesquelles Grenouille s'efface du monde, terré dans une anfractuosité sur le Plomb du Cantal. Un aristocrate scientifique en mal de notoriété détecte en lui une possibilité d'étayer ses théories saugrenues...
Je me suis arrêté là. La lecture partait dans tous les sens, du moins pas ceux dont j'envisageais la direction.
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géromino- Nombre de messages : 5609
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