Alexandre Lenot (France)
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Alexandre Lenot (France)
Lenot Alexandre
Ecorces vives
Editions Actes Sud/Actes noirs octobre 2018
ISBN 978 2 330 11376 6
204 pages
Quatrième de couverture
C’est une région de montagnes et de forêts, dans un massif qu’on dit Central mais que les routes nationales semblent éviter. Un homme venu de loin incendie la ferme dans laquelle il espérait un jour voir jouer ses enfants, puis il disparaît dans les bois. La rumeur trouble bientôt l’hiver : un rôdeur hante les lieux et mettrait en péril l’ordre ancien du pays. Les gens du coin passent de la circonspection à la franche hostilité, à l’exception d’une jeune femme nouvellement arrivée, qui le recueille. Mais personne n’est le bienvenu s’il n’est pas né ici.
Écorces vives est construit sur une tension souterraine, un entrelacs de préjugés définitifs et de rancœurs séculaires. De ce roman noir – qui est aussi fable sociale, western rural, hommage aux âmes mélancoliques et révoltées – sourd une menace : il faut se méfier de la terre qui dort…
Mon avis
Dans ce roman d’atmosphère ou depuis des temps anciens, des gens luttent et tuent pour préserver leurs biens. Citant les personnages habitant ce roman noir, voici une jeune femme, Louise s’occupant d’une ferme-refuge pour des chevaux appartenant à un couple américains s’étant installés dans cette nature hostile, Lison, jeune veuve vivant avec ses deux enfants, Jean et Patrick, deux frères natifs de la région, cependant voici Eli, un être désenchanté qui va perturber ce petit monde mais Laurentin le capitaine de gendarmerie blessé et déçu par les blessures morales de son métier et Jean qui s’insurge contre la colère et l’envie de violence de ce petit monde vivant entre montagnes et forêts. Une légère enquête sur l’incendie sans suspense car on connaît le pyromane, un milieu assez fermé dans ce village ou les nouveaux venus sont mal vus, alors qu’ils ne font rien de mal. Un climat sombre qui nous fait ressentir une tristesse mélancolique comme si chacun des habitants traînait un besoin de solitude. Un roman bien écrit, la beauté de ces villages ruraux malgré les haines ancestrales, l’alcool et l’ennui, sans doute un roman noir que je n’ai ressenti comme tel….3,5/5
Ecorces vives
Editions Actes Sud/Actes noirs octobre 2018
ISBN 978 2 330 11376 6
204 pages
Quatrième de couverture
C’est une région de montagnes et de forêts, dans un massif qu’on dit Central mais que les routes nationales semblent éviter. Un homme venu de loin incendie la ferme dans laquelle il espérait un jour voir jouer ses enfants, puis il disparaît dans les bois. La rumeur trouble bientôt l’hiver : un rôdeur hante les lieux et mettrait en péril l’ordre ancien du pays. Les gens du coin passent de la circonspection à la franche hostilité, à l’exception d’une jeune femme nouvellement arrivée, qui le recueille. Mais personne n’est le bienvenu s’il n’est pas né ici.
Écorces vives est construit sur une tension souterraine, un entrelacs de préjugés définitifs et de rancœurs séculaires. De ce roman noir – qui est aussi fable sociale, western rural, hommage aux âmes mélancoliques et révoltées – sourd une menace : il faut se méfier de la terre qui dort…
Mon avis
Dans ce roman d’atmosphère ou depuis des temps anciens, des gens luttent et tuent pour préserver leurs biens. Citant les personnages habitant ce roman noir, voici une jeune femme, Louise s’occupant d’une ferme-refuge pour des chevaux appartenant à un couple américains s’étant installés dans cette nature hostile, Lison, jeune veuve vivant avec ses deux enfants, Jean et Patrick, deux frères natifs de la région, cependant voici Eli, un être désenchanté qui va perturber ce petit monde mais Laurentin le capitaine de gendarmerie blessé et déçu par les blessures morales de son métier et Jean qui s’insurge contre la colère et l’envie de violence de ce petit monde vivant entre montagnes et forêts. Une légère enquête sur l’incendie sans suspense car on connaît le pyromane, un milieu assez fermé dans ce village ou les nouveaux venus sont mal vus, alors qu’ils ne font rien de mal. Un climat sombre qui nous fait ressentir une tristesse mélancolique comme si chacun des habitants traînait un besoin de solitude. Un roman bien écrit, la beauté de ces villages ruraux malgré les haines ancestrales, l’alcool et l’ennui, sans doute un roman noir que je n’ai ressenti comme tel….3,5/5
lalyre- Nombre de messages : 5806
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