Edith WHARTON: Les yeux
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Edith WHARTON: Les yeux
De : cuné Envoyé : 2005-09-12 03:24
Les yeux
Editions Mille et une nuits 45 p.
Nouvelle traduction de l'anglais et postface par Guillaume Villeneuve
Je ne m'essayerai pas à une critique en bonne et due forme après celle -brillante comme toujours- de Clarabel, (ICI)je livrerai simplement mes impressions : Je suis déroutée après ce premier pas dans l'univers d'Edith Wharton.
C'est bien là en même temps tout l'intérêt de l'auteur du mois, on sait qu'on aura l'occasion d'entrer complètement dans l'univers d'un auteur, on prend son temps, car on sait qu'on n'en restera de toute façon pas là, un seul ouvrage, une nouvelle en plus dans le cas présent, ne saurait être représentatif de quoi que ce soit.
C'est donc en ravalant ma fierté que j'avoue être restée toute bête au mot final. Non, je n'ai pas compris la raison de l'abattement de Phil, non, je n'ai pas tout de suite saisi non plus la métaphore des yeux.
Je n'ai pas su résister à lire la postface immédiatement, donc j'ai eu toutes les explications nécessaires, et évidemment je me dis qu'à la seconde lecture et en faisant l'effort de réfléchir un tout petit peu c'était évident.
Mais quand même.
ça me change de la littérature facile que j'affectionne habituellement, c'est extrêmement positif en un sens, il faut juste que je me fasse violence pour me concentrer mieux pour les suivants !
3/5
Les yeux
Editions Mille et une nuits 45 p.
Nouvelle traduction de l'anglais et postface par Guillaume Villeneuve
Je ne m'essayerai pas à une critique en bonne et due forme après celle -brillante comme toujours- de Clarabel, (ICI)je livrerai simplement mes impressions : Je suis déroutée après ce premier pas dans l'univers d'Edith Wharton.
C'est bien là en même temps tout l'intérêt de l'auteur du mois, on sait qu'on aura l'occasion d'entrer complètement dans l'univers d'un auteur, on prend son temps, car on sait qu'on n'en restera de toute façon pas là, un seul ouvrage, une nouvelle en plus dans le cas présent, ne saurait être représentatif de quoi que ce soit.
C'est donc en ravalant ma fierté que j'avoue être restée toute bête au mot final. Non, je n'ai pas compris la raison de l'abattement de Phil, non, je n'ai pas tout de suite saisi non plus la métaphore des yeux.
Je n'ai pas su résister à lire la postface immédiatement, donc j'ai eu toutes les explications nécessaires, et évidemment je me dis qu'à la seconde lecture et en faisant l'effort de réfléchir un tout petit peu c'était évident.
Mais quand même.
ça me change de la littérature facile que j'affectionne habituellement, c'est extrêmement positif en un sens, il faut juste que je me fasse violence pour me concentrer mieux pour les suivants !
3/5
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