Gabriel GARCIA MARQUEZ (Colombie)
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Re: Gabriel GARCIA MARQUEZ (Colombie)
Cent ans de solitude
Cinq générations depuis José Arcadio Buendia, fondateur du village de Macondo en Amérique du Sud. Tous les descendants ont des personnalités très fortes et vivent des aventures rocambolesques.
J’avais tenté de lire ce roman il y a vingt ans, mais je m’étais perdu dans les personnages qui portent les mêmes noms et j’avais abandonné la lecture. Cette fois, je traçais un arbre généalogique au fur et à mesure des couples et baptêmes. J’ai aussi remarqué que le livre est divisé en portions, non identifiées, d’une vingtaine de page. En lisant segment par segment, je me perdais moins entre qui était de quelle génération.
De plus, je ne suis généralement pas friand de la magie et des fantômes, mais j’ai abordé ce livre avec l’esprit ouvert, comme un conte. Je me suis laissé porter par les événements et j’ai finalement bien apprécié cette lecture, même si j’ai eu l’impression de rater les références à l’histoire de cette région.
4/5
Réaliste-romantique
Cinq générations depuis José Arcadio Buendia, fondateur du village de Macondo en Amérique du Sud. Tous les descendants ont des personnalités très fortes et vivent des aventures rocambolesques.
J’avais tenté de lire ce roman il y a vingt ans, mais je m’étais perdu dans les personnages qui portent les mêmes noms et j’avais abandonné la lecture. Cette fois, je traçais un arbre généalogique au fur et à mesure des couples et baptêmes. J’ai aussi remarqué que le livre est divisé en portions, non identifiées, d’une vingtaine de page. En lisant segment par segment, je me perdais moins entre qui était de quelle génération.
De plus, je ne suis généralement pas friand de la magie et des fantômes, mais j’ai abordé ce livre avec l’esprit ouvert, comme un conte. Je me suis laissé porter par les événements et j’ai finalement bien apprécié cette lecture, même si j’ai eu l’impression de rater les références à l’histoire de cette région.
4/5
Réaliste-romantique
Réaliste-romantique- Nombre de messages : 3255
Age : 48
Location : Outaouais, Québec
Date d'inscription : 30/12/2008
Re: Gabriel GARCIA MARQUEZ (Colombie)
"La Mala Hora" Le Livre de Poche 1988 220 pages
Après une guerre civile qui a vu les partisans du maire vaincre ses opposants, un petit village colombien vit sous la poigne ferme de ce même maire. L'existence du village semble couler paisiblement. Mais bientôt d'intimes secrets, connus de tout le monde, mais que tout le monde tait, sont divulgués publiquement sous formes d'affiches anonymes. Ces tracts provocants font resurgir des vieilles querelles, désignent les époux infidèles, dénoncent les affaires frauduleuses et magouilles financières du passé.Tout d'abord le curé Angel préfère ne pas accorder trop d'importance à ces discordes bien futiles à ses yeux. Il finit pourtant par demander au maire d'intervenir avant que les choses n'empirent.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans ce livre, qui me paraissait pourtant prometteur. Je n'ai pas trouvé d'énergie au récit, pas de vivacité ni de rebondissements; la lecture est plate, j'avais l'impression d'ânonner en lisant. De plus les personnages sont présentés tellement succinctement que je ne savais plus trop à qui j'avais affaire, tandis qu'à côté des descriptions verbeuses prenaient trop de place. Bref, il manquait au récit du punch pour vraiment apprécier cette histoire.
Note: 3/5
Après une guerre civile qui a vu les partisans du maire vaincre ses opposants, un petit village colombien vit sous la poigne ferme de ce même maire. L'existence du village semble couler paisiblement. Mais bientôt d'intimes secrets, connus de tout le monde, mais que tout le monde tait, sont divulgués publiquement sous formes d'affiches anonymes. Ces tracts provocants font resurgir des vieilles querelles, désignent les époux infidèles, dénoncent les affaires frauduleuses et magouilles financières du passé.Tout d'abord le curé Angel préfère ne pas accorder trop d'importance à ces discordes bien futiles à ses yeux. Il finit pourtant par demander au maire d'intervenir avant que les choses n'empirent.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans ce livre, qui me paraissait pourtant prometteur. Je n'ai pas trouvé d'énergie au récit, pas de vivacité ni de rebondissements; la lecture est plate, j'avais l'impression d'ânonner en lisant. De plus les personnages sont présentés tellement succinctement que je ne savais plus trop à qui j'avais affaire, tandis qu'à côté des descriptions verbeuses prenaient trop de place. Bref, il manquait au récit du punch pour vraiment apprécier cette histoire.
Note: 3/5
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Challenge "Book around the States": 20/50
géromino- Nombre de messages : 5628
Age : 59
Location : Finistère, FRANCE
Date d'inscription : 07/11/2008
Re: Gabriel GARCIA MARQUEZ (Colombie)
CENT ANS DE SOLITUDE
Points 437 pages
Ma note : 2/5
Mon avis : Le moins que l'in puisse dire de cette lecture pour moi, c'est que ce fut laborieux. J'ai entendu tellement d'éloges sur ce livre que je m'attendais vraiment à tomber sous le charme d'un grande saga familiale. Mais le charme n'a pas pris. Tout ne fut qu'un fouillis de personnages portant le même nom, un brouhaha de situations rocambolesques incompréhensibles à mes yeux. J'ai eu la sensation de n'avoir aucun point fixe auquel me raccrocher.
Je reconnais que l'écriture est très belle, mais c'est vraiment difficile de l'apprécier quand on n'entre pas dans l'histoire. Peut-être qu'avec un peu plus de connaissances sur la situation politique de la Colombie, ça m'aurait aidé, mais là, j'en sors assez déçue.
Points 437 pages
Ma note : 2/5
Mon avis : Le moins que l'in puisse dire de cette lecture pour moi, c'est que ce fut laborieux. J'ai entendu tellement d'éloges sur ce livre que je m'attendais vraiment à tomber sous le charme d'un grande saga familiale. Mais le charme n'a pas pris. Tout ne fut qu'un fouillis de personnages portant le même nom, un brouhaha de situations rocambolesques incompréhensibles à mes yeux. J'ai eu la sensation de n'avoir aucun point fixe auquel me raccrocher.
Je reconnais que l'écriture est très belle, mais c'est vraiment difficile de l'apprécier quand on n'entre pas dans l'histoire. Peut-être qu'avec un peu plus de connaissances sur la situation politique de la Colombie, ça m'aurait aidé, mais là, j'en sors assez déçue.
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Lecture en cours : La guerre de la faille I : Magicien - L'apprenti de Raymond E. Feist
PAL : 571
Livres lus depuis le début de l'année : 17 (7478 pages)
Re: Gabriel GARCIA MARQUEZ (Colombie)
DE L'AMOUR ET AUTRES DEMONS
Gabriel GARCIA MARQUEZ
Le livre de Poche 187 Pages
Résumé (source wikipedia)
En 1949, lors de fouilles préalables à des travaux de construction, les soubassements de l'ancien couvent de Santa Clara, à Carthagène des Indes, permettent de mettre au jour un caveau recelant les restes d'une jeune fille dont la chevelure n'a cessé de pousser depuis son ensevelissement, atteignant une longueur de plus de vingt mètres. De ce point de départ, l'auteur nous emmène au milieu du xviiie siècle, à la rencontre de la petite Sierva María de Todos los Ángeles, la petite dont on a découvert le caveau.
Après le siège de Carthagène des Indes, au sein de la vice-royauté de Nouvelle-Grenade, un chien atteint de rage sème la panique dans le quartier du port. Parmi les victimes de ses morsures, Sierva María, fille du marquis de Casalduero. Bien qu'aucun signe clinique ne se déclare, celle-ci est cruellement atteinte. Mais le temps passe, et rien n'arrive, si ce n'est que le marquis, qui jusque-là a laissé le soin de l'éducation de la petite à ses esclaves, souhaite s'en servir pour redorer son blason, terni par sa débauche.
"Découvrant" sa fille capable de parler des idiomes "sataniques" - en fait les langues yoruba, mandingue, congo des esclaves - se convulsant en d'obscènes crises de possession démoniaque - les danses des esclaves - et commerçant avec le démon - car elle porte des colliers de santería - le marquis s'enquiert de la conduite à tenir auprès de l'évêque don Toribio de Cáceres y Virtudes. Celui-ci, pour le guider dans sa repentance, l'enjoint de remettre sa fille entre les mains des nonnes du couvent de Santa Maria, où elle sera exorcisée par le père Cayetano Delaura.
Enfermée parmi les "emmurées vivantes" que sont les clarisses, accusées de tous les maux par l'abbesse Josefa Miranda, à l'esprit formé par le Saint-Office, la petite se trouve effrayée par un contexte qu'elle ne comprend pas. Maîtresse en mensonges, elle ne fait qu'aggraver son cas. Cayetano Delaura, lui, parvient à entrer dans le monde de la jeune fille, mais pour finalement s'y perdre. Il tombe follement amoureux de Sierva María, et ayant informé ses supérieurs de cette situation, il est transféré dans une léproserie. Sierva María est soumise à diverses tortures pour chasser d'elle un supposé "démon".
Mon avis :
N'est-elle pas là, en fin de compte, toute la magie de la littérature ? Pas plus tard que hier, je me trouvais en rafting dans les méandres violents d'une rivière de Tasmanie en compagnie de Richard Flanagan et voici qu'aujourd'hui déjà, je reviens d'un long voyage dans le temps qui m'a amené dans le Carthagène du XVIIIeme siècle au carrefour des civilisations et des religions de l'époque. Cette fois-ci mon guide fût Monsieur Gabriel Garcia Marquez, un illustre écrivain que j'avais un peu oublié, je l'avoue, mais que j'ai redécouvert avec grand plaisir.
Les livres de Garcia Marquez ne semblent jamais souffrir d'un thème obsessionnel. De ce que j'ai retenu de mes lointaines lectures est que "100 ans de solitude" n'a aucun lien avec "L'amour au temps du Cholera" qui lui même n'a aucun lien avec "Chronique d'une mort annoncée". Des spécialistes de cet auteur me prouveraient surement le contraire...
En tout cas, ce " De l'amour et autres démons" se situe à une toute autre époque, loin de l'Amérique du Sud et dans un milieu totalement différent de ce que j'ai pu lire précédemment.
Il est une évidence : L'auteur, pour être si précis dans ses références religieuses et de croyances et de superstitions, pour son aisance à décrire l'ambiance de Carthagène de cette époque, a bossé son sujet. Si à cela on ajoute ses talents de conteurs et son style reconnu, l'évidence est d'affirmer que c'est un bon roman.
Que ceux, qui comme moi, sont rebutés par les romans d'époque sur fond historique, se rassurent. Ce décor historique n'est que prétexte à une belle histoire d'amour originale. Ce livre, assez court et très fluide, se lit facilement. Mon voyage dura 2 soirs et je vous invite à prendre un ticket pour le prochain départ.
Ma note 3.5 / 5
Gabriel GARCIA MARQUEZ
Le livre de Poche 187 Pages
Résumé (source wikipedia)
En 1949, lors de fouilles préalables à des travaux de construction, les soubassements de l'ancien couvent de Santa Clara, à Carthagène des Indes, permettent de mettre au jour un caveau recelant les restes d'une jeune fille dont la chevelure n'a cessé de pousser depuis son ensevelissement, atteignant une longueur de plus de vingt mètres. De ce point de départ, l'auteur nous emmène au milieu du xviiie siècle, à la rencontre de la petite Sierva María de Todos los Ángeles, la petite dont on a découvert le caveau.
Après le siège de Carthagène des Indes, au sein de la vice-royauté de Nouvelle-Grenade, un chien atteint de rage sème la panique dans le quartier du port. Parmi les victimes de ses morsures, Sierva María, fille du marquis de Casalduero. Bien qu'aucun signe clinique ne se déclare, celle-ci est cruellement atteinte. Mais le temps passe, et rien n'arrive, si ce n'est que le marquis, qui jusque-là a laissé le soin de l'éducation de la petite à ses esclaves, souhaite s'en servir pour redorer son blason, terni par sa débauche.
"Découvrant" sa fille capable de parler des idiomes "sataniques" - en fait les langues yoruba, mandingue, congo des esclaves - se convulsant en d'obscènes crises de possession démoniaque - les danses des esclaves - et commerçant avec le démon - car elle porte des colliers de santería - le marquis s'enquiert de la conduite à tenir auprès de l'évêque don Toribio de Cáceres y Virtudes. Celui-ci, pour le guider dans sa repentance, l'enjoint de remettre sa fille entre les mains des nonnes du couvent de Santa Maria, où elle sera exorcisée par le père Cayetano Delaura.
Enfermée parmi les "emmurées vivantes" que sont les clarisses, accusées de tous les maux par l'abbesse Josefa Miranda, à l'esprit formé par le Saint-Office, la petite se trouve effrayée par un contexte qu'elle ne comprend pas. Maîtresse en mensonges, elle ne fait qu'aggraver son cas. Cayetano Delaura, lui, parvient à entrer dans le monde de la jeune fille, mais pour finalement s'y perdre. Il tombe follement amoureux de Sierva María, et ayant informé ses supérieurs de cette situation, il est transféré dans une léproserie. Sierva María est soumise à diverses tortures pour chasser d'elle un supposé "démon".
Mon avis :
N'est-elle pas là, en fin de compte, toute la magie de la littérature ? Pas plus tard que hier, je me trouvais en rafting dans les méandres violents d'une rivière de Tasmanie en compagnie de Richard Flanagan et voici qu'aujourd'hui déjà, je reviens d'un long voyage dans le temps qui m'a amené dans le Carthagène du XVIIIeme siècle au carrefour des civilisations et des religions de l'époque. Cette fois-ci mon guide fût Monsieur Gabriel Garcia Marquez, un illustre écrivain que j'avais un peu oublié, je l'avoue, mais que j'ai redécouvert avec grand plaisir.
Les livres de Garcia Marquez ne semblent jamais souffrir d'un thème obsessionnel. De ce que j'ai retenu de mes lointaines lectures est que "100 ans de solitude" n'a aucun lien avec "L'amour au temps du Cholera" qui lui même n'a aucun lien avec "Chronique d'une mort annoncée". Des spécialistes de cet auteur me prouveraient surement le contraire...
En tout cas, ce " De l'amour et autres démons" se situe à une toute autre époque, loin de l'Amérique du Sud et dans un milieu totalement différent de ce que j'ai pu lire précédemment.
Il est une évidence : L'auteur, pour être si précis dans ses références religieuses et de croyances et de superstitions, pour son aisance à décrire l'ambiance de Carthagène de cette époque, a bossé son sujet. Si à cela on ajoute ses talents de conteurs et son style reconnu, l'évidence est d'affirmer que c'est un bon roman.
Que ceux, qui comme moi, sont rebutés par les romans d'époque sur fond historique, se rassurent. Ce décor historique n'est que prétexte à une belle histoire d'amour originale. Ce livre, assez court et très fluide, se lit facilement. Mon voyage dura 2 soirs et je vous invite à prendre un ticket pour le prochain départ.
Ma note 3.5 / 5
Dkois- Nombre de messages : 3551
Age : 61
Location : Nord France
Date d'inscription : 10/01/2015
Re: Gabriel GARCIA MARQUEZ (Colombie)
L'amour aux temps du choléra
Quatrième de couverture : À la fin du XIXe siècle, dans une petite ville des Caraïbes, un jeune télégraphiste pauvre et une ravissante écolière jurent de se marier et de vivre un amour éternel. Durant trois ans ils ne vivent que l’un pour l’autre, mais Fermina épouse Juvenal Urbino, un jeune et brillant médecin. Alors Florentino, l’amoureux trahi, se mue en séducteur impénitent et s’efforce de se faire un nom et une fortune pour mériter celle qu’il ne cessera d’aimer, en secret, cinquante années durant.
Mon avis : Deuxième tentative avec cet auteur colombien, et cette fois-ci, nous voilà réconciliés ! Après Cent ans de solitude qui m'avait donné du fil à retordre, j'ai cette fois pris beaucoup de plaisir en découvrant la(es) rocambolesque(s) histoire(s) d'amour des 3 personnages de ce roman.
Personnages et ambiance sont magnifiquement dépeints, on s'y croirait. Les évènements se succèdent plus ou moins rapidement tout au long de ce quart de siècle et nous passons par toute une palette d'émotions en suivant les états d'âmes de nos personnages. La manière dont l'auteur décrit l'amour, aussi bien au niveau sentimental que physique, et ce à tous les âges de la vie m'a bouleversée.
Certes, il faut accepter les longs chapitres et quelques descriptions longuettes qui peuvent donner l'impression de tourner en rond, mais disons que certaines lectures se méritent, et le lecteur n'en est que plus ébloui par la plume de l'auteur.
Un classique comme je les aime : fin, intelligent, drôle, poétique et sensuel. A découvrir
Ma note : 4,25/5
Quatrième de couverture : À la fin du XIXe siècle, dans une petite ville des Caraïbes, un jeune télégraphiste pauvre et une ravissante écolière jurent de se marier et de vivre un amour éternel. Durant trois ans ils ne vivent que l’un pour l’autre, mais Fermina épouse Juvenal Urbino, un jeune et brillant médecin. Alors Florentino, l’amoureux trahi, se mue en séducteur impénitent et s’efforce de se faire un nom et une fortune pour mériter celle qu’il ne cessera d’aimer, en secret, cinquante années durant.
Mon avis : Deuxième tentative avec cet auteur colombien, et cette fois-ci, nous voilà réconciliés ! Après Cent ans de solitude qui m'avait donné du fil à retordre, j'ai cette fois pris beaucoup de plaisir en découvrant la(es) rocambolesque(s) histoire(s) d'amour des 3 personnages de ce roman.
Personnages et ambiance sont magnifiquement dépeints, on s'y croirait. Les évènements se succèdent plus ou moins rapidement tout au long de ce quart de siècle et nous passons par toute une palette d'émotions en suivant les états d'âmes de nos personnages. La manière dont l'auteur décrit l'amour, aussi bien au niveau sentimental que physique, et ce à tous les âges de la vie m'a bouleversée.
Certes, il faut accepter les longs chapitres et quelques descriptions longuettes qui peuvent donner l'impression de tourner en rond, mais disons que certaines lectures se méritent, et le lecteur n'en est que plus ébloui par la plume de l'auteur.
Un classique comme je les aime : fin, intelligent, drôle, poétique et sensuel. A découvrir
Ma note : 4,25/5
Pistoufle- Nombre de messages : 1489
Age : 39
Location : Val-de-Marne - FRANCE
Date d'inscription : 10/03/2011
Re: Gabriel GARCIA MARQUEZ (Colombie)
Je suis ravie qu'il t'ait autant plus
_________________
Challenge US : 29/51
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