Jean-Paul DUBOIS: Prends soi de moi
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Jean-Paul DUBOIS: Prends soi de moi
De : cuné Envoyé : 2005-07-12 06:52
Prends soin de moi
Robert Laffont 297 p. (1993)
Encore une fois, le narrateur s'appelle Paul (Osterman, ici), est un français, installé aux Etats-Unis, la quarantaine, qui regarde en toute passivité les évènements arriver.
Donc Paul a une décision à prendre, chose entre toutes qu'il est totalement incapable de faire, et le temps d'une nuit il déroule les évènements qui l'ont conduit à cet instant crucial : Va-t-il se défiler comme d'hab ou pas ? ... Je pose la question mais elle n'a en fait aucun intérêt, on le sait tous maintenant, les héros de Jean-Paul Dubois sont mous du genou.
Car son écriture est symptomatique des quadra vaguement gauchistes des années 90. On se regarde le nombril, on ne le trouve pas vraiment intéressant d'ailleurs, mais on l'expose, on offre sa sensibilité en cadeau à la foule des groupies déchaînées, on croit qu'on est aimable justement par l'exposition gentillette de ses défauts. Sans doute est-ce que ça touche un certain nombre de personnes qui peuvent se croiser elles-mêmes à un moment ou à un autre dans ces mots.
Peut-être que je ne sais pas lire au delà de ces mots justement, de l'histoire toujours renouvelée mais identique du bon gars qui ne voulait pas vraiment, mais qui est si fatigué, vous comprenez...
Mais en tout cas j'ai eu ma dose de pleurnicheries vaguement érotisées et qui tournent en rond...
Jean-Paul Dubois, c'est bel et bien terminé pour moi !
2/5
Prends soin de moi
Robert Laffont 297 p. (1993)
Encore une fois, le narrateur s'appelle Paul (Osterman, ici), est un français, installé aux Etats-Unis, la quarantaine, qui regarde en toute passivité les évènements arriver.
Donc Paul a une décision à prendre, chose entre toutes qu'il est totalement incapable de faire, et le temps d'une nuit il déroule les évènements qui l'ont conduit à cet instant crucial : Va-t-il se défiler comme d'hab ou pas ? ... Je pose la question mais elle n'a en fait aucun intérêt, on le sait tous maintenant, les héros de Jean-Paul Dubois sont mous du genou.
Car son écriture est symptomatique des quadra vaguement gauchistes des années 90. On se regarde le nombril, on ne le trouve pas vraiment intéressant d'ailleurs, mais on l'expose, on offre sa sensibilité en cadeau à la foule des groupies déchaînées, on croit qu'on est aimable justement par l'exposition gentillette de ses défauts. Sans doute est-ce que ça touche un certain nombre de personnes qui peuvent se croiser elles-mêmes à un moment ou à un autre dans ces mots.
Peut-être que je ne sais pas lire au delà de ces mots justement, de l'histoire toujours renouvelée mais identique du bon gars qui ne voulait pas vraiment, mais qui est si fatigué, vous comprenez...
Mais en tout cas j'ai eu ma dose de pleurnicheries vaguement érotisées et qui tournent en rond...
Jean-Paul Dubois, c'est bel et bien terminé pour moi !
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