Rachel JOHNSON (Royaume-Uni)

Le diable vit à Notting Hill

Note : 2/5

Résumé : Mimi et Clare sont deux amies qui vivent dans un square privé dans le quartier ultra-chic de Notting Hill. Mimi, mariée et mère de 3 enfants, flashe sur son séduisant et multimillionnaire voisin. Clare est marié mais à son grand malheur, ne parvient pas à tomber enceinte.

Critique : plutôt un flop pour ce roman chick-lit. Je voulais le lire pour m’aérer la tête et c’est vrai que c’est léger mais je n’ai pas adhérer. Les personnages sont creux, et affables, dans le genre ultra-riche. Il n’y a pas vraiment d’histoire. Bref, c’est assez décevant comme lecture. A vite oublier.

Jeux d’hiver
Rachel Johnson
Editions de Fallois 22 août 2012
245 pages

Quatrième de couverture
Munich 1936 : Daphné Linden a 18 ans. Née d'une grande famille anglaise, elle a été envoyée par ses parents en Bavière pour apprendre l'allemand, faire du ski, aller à l'Opéra, enfin plus généralement pour parfaire son éducation aussi bien intellectuelle qu'amoureuse. Mais en ce mois de février, quelque chose de bien particulier se passe pendant les Jeux d'hiver : Daphné se lie d'amitié avec deux
jeunes garçons allemands, l'un nazi et l'autre non. Déjà, lors de ses études à Oxford, elle s'était trouvée confrontée à cette dualité idéologique, entre un groupe de professeurs soutenant la politique nazie et un autre conscient du danger du fascisme. Londres 2006, une jeune femme reporter part à Munich faire des recherches sur les Jeux Olympiques de 1936 et découvre que sa grand-mère Daphné Linden a flirté avec le nazisme. Roman éblouissant où les secrets, les trahisons, les amours, la découverte du passé familial ont profondément, à des époques différentes, bouleversé la vie de ces deux femmes. Comme toujours dans les romans de Rachel Johnson, les personnages ont des vies intenses et la satire n'est jamais loin. Avec Jeux d'hiver elle rajoute la dimension tragique d'une famille marquée par l'histoire.

Mon avis
L’histoire se passe en deux époques, 1936 ce sont les mois que Daphné passe à Munich, Betsy son amie vient la rejoindre pour étudier l’Allemand, à mon avis ce sont les châpitres consacrés à cette époque que j’ai trouvés les plus intéressants, car c’est l’avant-guerre. Il faut dire que déjà à ce moment, les trottoirs étaient réservés aux hommes en uniforme de l’armée, il y est aussi question de la jeunesse hitlérienne, Hitler fut applaudi lorsqu’il fit la parade pour les jeux olympiques d’hiver. Mais je reviens aux deux jeunes filles qui font connaissance de deux jeunes allemands qui les accompagnent lors de sorties, car un drame guette l’une d’elles…..
Londres 2006, Francie la petite fille de Daphné, découvre une photo dans un coffret que la vieille dame en fin de vie lui a donné. Sur cette photo, deux jeunes filles posent en compagnie de soldats allemands, en l’une des deux, elle reconnaît sa grand-mère. Elle veut savoir qui étaient les deux jeunes gens qui sont avec elles, ce qu’ils étaient pour Daphné à ce moment, y avaient-il eu des liens entre eux ? Francie est mariée, amoureuse de son mari mais aussi d’un autre homme, ceci dit pour situer l’ambiance des châpitres de l’époque contemporaine que j’ai trouvé un peu comme une histoire rose, j’ai trouvé cela dommage. Daphné aura-t-elle des réponses à ses questions ? Un roman sur les secrets du passé, la recherche de ses racines, des histoires d’amour, cependant j’ai surtout aimé la tendre grand-mère qui hésite pour répondre aux questions de Francie. Un roman que j’aurais aimé sans les divagations de Francie, je n’ai pas aimé la couverture du livre un peu trop rétro, c’est bien pour cela que ma note sera moins que moyenne…..3,5/5