Eugène DIEUDONNE (France)
Page 1 sur 1
Eugène DIEUDONNE (France)
Biographie d'Eugène Camille Dieudonné à partir de Wikipédia
Il est né à Nancy le 1er mai 1884 et mort le 21 aout 1944 à Eaubonne est un anarchiste français, membre de la bande à Bonnot.
Il rencontre Jules Bonnot lorsque celui-ci vient au siège de L'Anarchie, journal anarchiste dirigé par Victor Serge, auquel Eugène collabore. Il est arrêté le 29 février 1912, accusé d'être le quatrième homme du braquage de la Société générale. Bonnot dans son testament innocente également Eugène. Dieudonné comparaît le 3 février 1913 avec les rescapés de la bande à Bonnot, devant la cour d'assises de la Seine. Il est condamné à la peine capitale. Après le verdict, Raymond Callemin (autre anarchiste, membre de la bande à Bonnot) affirme lui aussi qu'Eugène n'est pour rien dans le braquage. Sa peine est commuée par Raymond Poincaré en travaux forcés à perpétuité.
Il est envoyé au Bagne des Îles du Salut où il occupe son temps comme menuisier ébéniste1. Transféré au bagne de Cayenne il s'en évade le 6 décembre 1926. Il est finalement gracié, après les campagnes d'Albert Londres et de Louis Roubaud. Il s'établit alors comme fabricant de meubles dans le Faubourg Saint-Antoine. Il écrit La Vie des forçats à la demande d'Albert Londres et préfacée par celui-ci. En 1934, il collabore au film Autour d'une évasion qui lui est consacré par Jacques-Bernard Brunius, écrivain et cinéaste proche du mouvement surréaliste.
Il est né à Nancy le 1er mai 1884 et mort le 21 aout 1944 à Eaubonne est un anarchiste français, membre de la bande à Bonnot.
Il rencontre Jules Bonnot lorsque celui-ci vient au siège de L'Anarchie, journal anarchiste dirigé par Victor Serge, auquel Eugène collabore. Il est arrêté le 29 février 1912, accusé d'être le quatrième homme du braquage de la Société générale. Bonnot dans son testament innocente également Eugène. Dieudonné comparaît le 3 février 1913 avec les rescapés de la bande à Bonnot, devant la cour d'assises de la Seine. Il est condamné à la peine capitale. Après le verdict, Raymond Callemin (autre anarchiste, membre de la bande à Bonnot) affirme lui aussi qu'Eugène n'est pour rien dans le braquage. Sa peine est commuée par Raymond Poincaré en travaux forcés à perpétuité.
Il est envoyé au Bagne des Îles du Salut où il occupe son temps comme menuisier ébéniste1. Transféré au bagne de Cayenne il s'en évade le 6 décembre 1926. Il est finalement gracié, après les campagnes d'Albert Londres et de Louis Roubaud. Il s'établit alors comme fabricant de meubles dans le Faubourg Saint-Antoine. Il écrit La Vie des forçats à la demande d'Albert Londres et préfacée par celui-ci. En 1934, il collabore au film Autour d'une évasion qui lui est consacré par Jacques-Bernard Brunius, écrivain et cinéaste proche du mouvement surréaliste.
_________________
Lectures en cours:
Prochaine lecture:
Avis en attente:
Awara- Nombre de messages : 7159
Age : 79
Location : PARIS
Date d'inscription : 03/01/2011
Sujets similaires
» Adeline DIEUDONNE (Belgique)
» Eugène DURIF (France)
» Eugène SUE (France)
» Eugène ATGET
» Eugène DABIT (France)
» Eugène DURIF (France)
» Eugène SUE (France)
» Eugène ATGET
» Eugène DABIT (France)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum