Edith WHARTON: Les lettres
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Edith WHARTON: Les lettres
De : Papiillon_vole Envoyé : 2005-09-13 11:09
Les lettres
Folio - 90 pages
Une nouvelle en forme de conte moral, doux et amer.
Une jeune américaine à Paris, Lizzie West, gagne sa vie en donnant des cours aux enfants de ses compatriotes. Peu à peu, elle tisse un lien amoureux avec le père de l'une de ses jeunes élèves, Vincent Deering. Mais, suite au brusque décès de sa femme, Vincent Deering est obligé de retourner aux Etats-Unis pour y régler ses affaires. Les deux amants promettent de s'écrire pour meubler l'absence. Lizzie écrit de longues lettres enflammées et attend en vain une réponse…
Encore une fois Edith Wharton, dans ce style brillant et ironique qui la caractérise, s'applique à montrer la futilité d'une certaine classe sociale américaine, celle des riches oisifs. A la profondeur des sentiments de Lizzie, la jeune institutrice sans le sou, s'oppose la superficialité de son amoureux, faux artiste, inconstant et inconsistant. Et pourtant, quand il faudra faire un choix, Lizzie après un premier réflexe de fuite propre à son caractère entier, sacrifiera ses illusions à son confort.
4,5 / 5
De : Lhisbei Envoyé : 2005-09-13 15:45
Les Lettres
Résumé
A Paris la jeune Lizzie West tombe amoureuse de Vincent Deering le père de la petite-fille dont elle est l’institutrice. Vincent Deering se dit peintre, mais en réalité il végète dans son atelier attendant l’inspiration pendant que son épouse se réfugie dans la lecture. Quand cette dernière décède, Vincent doit retourner au Etats Unis régler la succession. Lizzie et Vincent se promettent de s’écrire souvent. Lizzie tient parole mais ne reçoit aucune réponse de Vincent. Deux ans passent et lorsque Vincent revient à Paris les rôles sont inversés Lizzie a hérité d’un oncle lointain et Vincent est sans le sous.
Mon avis
Toujours aussi ironique la plume d’Edith Wharton. On pense trouver une histoire d’amour à l’eau de rose et on se retrouve avec une observation très fine de la société de l’époque, une dissection des idéaux d’une jeune fille naïve et amoureuse. Et un retournement amer de situation à la fin. C’est tendre mais cruel. Un vrai régal
4/5
Les lettres
Folio - 90 pages
Une nouvelle en forme de conte moral, doux et amer.
Une jeune américaine à Paris, Lizzie West, gagne sa vie en donnant des cours aux enfants de ses compatriotes. Peu à peu, elle tisse un lien amoureux avec le père de l'une de ses jeunes élèves, Vincent Deering. Mais, suite au brusque décès de sa femme, Vincent Deering est obligé de retourner aux Etats-Unis pour y régler ses affaires. Les deux amants promettent de s'écrire pour meubler l'absence. Lizzie écrit de longues lettres enflammées et attend en vain une réponse…
Encore une fois Edith Wharton, dans ce style brillant et ironique qui la caractérise, s'applique à montrer la futilité d'une certaine classe sociale américaine, celle des riches oisifs. A la profondeur des sentiments de Lizzie, la jeune institutrice sans le sou, s'oppose la superficialité de son amoureux, faux artiste, inconstant et inconsistant. Et pourtant, quand il faudra faire un choix, Lizzie après un premier réflexe de fuite propre à son caractère entier, sacrifiera ses illusions à son confort.
4,5 / 5
De : Lhisbei Envoyé : 2005-09-13 15:45
Les Lettres
Résumé
A Paris la jeune Lizzie West tombe amoureuse de Vincent Deering le père de la petite-fille dont elle est l’institutrice. Vincent Deering se dit peintre, mais en réalité il végète dans son atelier attendant l’inspiration pendant que son épouse se réfugie dans la lecture. Quand cette dernière décède, Vincent doit retourner au Etats Unis régler la succession. Lizzie et Vincent se promettent de s’écrire souvent. Lizzie tient parole mais ne reçoit aucune réponse de Vincent. Deux ans passent et lorsque Vincent revient à Paris les rôles sont inversés Lizzie a hérité d’un oncle lointain et Vincent est sans le sous.
Mon avis
Toujours aussi ironique la plume d’Edith Wharton. On pense trouver une histoire d’amour à l’eau de rose et on se retrouve avec une observation très fine de la société de l’époque, une dissection des idéaux d’une jeune fille naïve et amoureuse. Et un retournement amer de situation à la fin. C’est tendre mais cruel. Un vrai régal
4/5
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