Mizubayashi, Akira (Japon)
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Mizubayashi, Akira (Japon)
Mizubayashi, Akira :écrivain et universitaire japonais, né en 1951. Auteur de plusieurs livres écrits en français aux Editions Gallimard :
- 2011. Une langue venue d'ailleurs
- 2013. Mélodie : chronique d'une passion
- 2014. Petite éloge de l'errance
- 2017. Un amour de mille-ans
- 2018. Dans les eaux profondes - Le bain japonais
- 2019. Ame brisée
Ame brisée
En 1938 à Tokyo, une répétition de musique classique entre un professeur japonais et des étudiants chinois est interrompue par l’intrusion de soldats japonais. Le violon du Pr Yu est brisé par un militaire et le quatuor sino-japonais est embarqué, soupçonné de comploter contre le pays. Dissimulé dans une armoire, Rei, le fils de Yu, 11 ans, a assisté à la scène. Il ne reverra jamais plus son père. L’enfant échappe à la violence des militaires grâce au lieutenant Kurokarami qui, loin de le dénoncer lorsqu’il le découvre dans sa cachette, lui confie le violon détruit.
De nombreuses années plus tard, Rei est devenu luthier à Paris.
N’ayant lu aucun bouquin asiatique l’année dernière, je me suis promis de lire un roman indien, un roman chinois et un roman japonais cette année. Voici donc pour le roman japonais. Il s’agit d’ailleurs d’un auteur japonais qui écrit directement en français. C’est un très joli roman, sur l’histoire d’un violon brisé et d’une vie passé à le reconstruire, sur l’amour de la musique. C’est trop léger pour être classé comme un grand roman mais ce fut une lecture très agréable.
Note : 4/5
- 2011. Une langue venue d'ailleurs
- 2013. Mélodie : chronique d'une passion
- 2014. Petite éloge de l'errance
- 2017. Un amour de mille-ans
- 2018. Dans les eaux profondes - Le bain japonais
- 2019. Ame brisée
Ame brisée
En 1938 à Tokyo, une répétition de musique classique entre un professeur japonais et des étudiants chinois est interrompue par l’intrusion de soldats japonais. Le violon du Pr Yu est brisé par un militaire et le quatuor sino-japonais est embarqué, soupçonné de comploter contre le pays. Dissimulé dans une armoire, Rei, le fils de Yu, 11 ans, a assisté à la scène. Il ne reverra jamais plus son père. L’enfant échappe à la violence des militaires grâce au lieutenant Kurokarami qui, loin de le dénoncer lorsqu’il le découvre dans sa cachette, lui confie le violon détruit.
De nombreuses années plus tard, Rei est devenu luthier à Paris.
N’ayant lu aucun bouquin asiatique l’année dernière, je me suis promis de lire un roman indien, un roman chinois et un roman japonais cette année. Voici donc pour le roman japonais. Il s’agit d’ailleurs d’un auteur japonais qui écrit directement en français. C’est un très joli roman, sur l’histoire d’un violon brisé et d’une vie passé à le reconstruire, sur l’amour de la musique. C’est trop léger pour être classé comme un grand roman mais ce fut une lecture très agréable.
Note : 4/5
Le petit montagnard- Nombre de messages : 1330
Location : Toulouse - France
Date d'inscription : 13/01/2011
Re: Mizubayashi, Akira (Japon)
Âmes brisée
En 1938, caché dans une armoire, Rei a vu son père japonais et ses amis musiciens, mais malheureusement chinois, emmenés par des militaires. Tout ce qui lui est resté sont les restes du violon, étrangement rapporté par un lieutenant moins barbare que les autres. Rei est emmené du Japon vers la France, adopté par un ami de son père. Il changera de nom, deviendra luthier, mais il sera toujours hanté par cet événement traumatisant. Des décennies plus tard, le hasard lui fait reprendre contact avec ce passé.
J’ai aimé l’idée, l’époque et les questions d’identité. Mais j’ai moins aimé le rythme, le style, les coïncidences heureuses et les moments très émouvants. J’écoute de la musique, mais pas connaisseur au point d’apprécier la passion et dévotion des personnages. J’aurais aussi aimé un peu plus de retenu et d’ellipse dans les descriptions et les scènes touchantes. Un peu plus japonais peut-être ? (pour faire dans le stéréotype)
3/5
RR
En 1938, caché dans une armoire, Rei a vu son père japonais et ses amis musiciens, mais malheureusement chinois, emmenés par des militaires. Tout ce qui lui est resté sont les restes du violon, étrangement rapporté par un lieutenant moins barbare que les autres. Rei est emmené du Japon vers la France, adopté par un ami de son père. Il changera de nom, deviendra luthier, mais il sera toujours hanté par cet événement traumatisant. Des décennies plus tard, le hasard lui fait reprendre contact avec ce passé.
J’ai aimé l’idée, l’époque et les questions d’identité. Mais j’ai moins aimé le rythme, le style, les coïncidences heureuses et les moments très émouvants. J’écoute de la musique, mais pas connaisseur au point d’apprécier la passion et dévotion des personnages. J’aurais aussi aimé un peu plus de retenu et d’ellipse dans les descriptions et les scènes touchantes. Un peu plus japonais peut-être ? (pour faire dans le stéréotype)
3/5
RR
Réaliste-romantique- Nombre de messages : 3252
Age : 48
Location : Outaouais, Québec
Date d'inscription : 30/12/2008
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