Michel ZORDAN (France)
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Michel ZORDAN (France)
L'insolence du sort
L'insolence du sort est le nouveau roman de Michel ZORDAN. C'est le second dans la série "Les exilés de l'Arcange"
Cette nouvelle histoire ne laisse aucun répit, on retrouve avec plaisir les « héros » du premier ouvrage. Dès la lecture des premières pages, les autres s'enchainent avec un appétit toujours grandissant. L'auteur utilise des mots ordinaires pour une histoire qui ne l'est pas, parfois touchante, parfois déconcertante, parfois dure, très dure même.
Même s’il s’en échappe régulièrement, Michel ZORDAN ancre son récit dans une campagne paysanne des années 30, qu’il dépeint sans concession, mais de façon réaliste : ni misérable, ni idéale.
Autre point appréciable, les acteurs jouent leur propre rôle : les méchants sont très méchants, et les gentils sont gentils, sans plus…
L’histoire nous entraine dans un tour de France chahuté, avec une facilité déconcertante « Bordeaux, Marseille, Lyon, Paris » pour revenir à son point de départ, Floréal. Elle parle d'immigration, sujet très actuel, mais une autre immigration, celle d'entre deux guerres.
La mythique ferme des Montazini, « L’Arcange » joue encore un rôle très remarqué. Elle se dévoile toujours plus, et apparaît encore plus mystérieuse.
On apprend dans ce roman les origines de son nom.
Précision, le narrateur principal est un jeune garçon de 10 ans, même si ce n'est pas un livre étiqueté « jeunesse », on peut le conseiller à partir de 10/12 ans.
Avertissement : aux lecteurs qui ont besoin de 8 heures de sommeil, ne pas débuter la lecture de ce roman en soirée.
Cette nouvelle histoire ne laisse aucun répit, on retrouve avec plaisir les « héros » du premier ouvrage. Dès la lecture des premières pages, les autres s'enchainent avec un appétit toujours grandissant. L'auteur utilise des mots ordinaires pour une histoire qui ne l'est pas, parfois touchante, parfois déconcertante, parfois dure, très dure même.
Même s’il s’en échappe régulièrement, Michel ZORDAN ancre son récit dans une campagne paysanne des années 30, qu’il dépeint sans concession, mais de façon réaliste : ni misérable, ni idéale.
Autre point appréciable, les acteurs jouent leur propre rôle : les méchants sont très méchants, et les gentils sont gentils, sans plus…
L’histoire nous entraine dans un tour de France chahuté, avec une facilité déconcertante « Bordeaux, Marseille, Lyon, Paris » pour revenir à son point de départ, Floréal. Elle parle d'immigration, sujet très actuel, mais une autre immigration, celle d'entre deux guerres.
La mythique ferme des Montazini, « L’Arcange » joue encore un rôle très remarqué. Elle se dévoile toujours plus, et apparaît encore plus mystérieuse.
On apprend dans ce roman les origines de son nom.
Précision, le narrateur principal est un jeune garçon de 10 ans, même si ce n'est pas un livre étiqueté « jeunesse », on peut le conseiller à partir de 10/12 ans.
Avertissement : aux lecteurs qui ont besoin de 8 heures de sommeil, ne pas débuter la lecture de ce roman en soirée.
Invité- Invité
Re: Michel ZORDAN (France)
Merci Damien pour cette critique. Mais attention, le sujet d'une nouvelle discussion ne doit comporter que le nom de l'auteur (nom de famille en majuscule) ainsi que la nationalité de l'auteur entre parenthèse.
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Philcabzi
Ainsi qu'une journée bien remplie donne un doux dormir, ainsi une vie bien employée donne un doux mourir. Leonardo da Vinci
Lecture du moment: Le collier de la reine de Alexandre Dumas
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